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Articles récents

Viol de la pensée, la pensée du viol

8 Novembre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

" La publicité est devenue le moteur de tout le système, elle est la dictature invisible de notre société. "
 
Jacques Ellul ( 1912 - 1994 )
 
Premier contact
Avec la pornographie sans tact
En Allemagne
Via internet, 12,8 ans, et sans doute, ailleurs
Un commerce où tout est drogué et truqué
Où tout est déliré, maquillé
Où rien n'est de réalité
Dans ce domaine ou d'autres, d'ailleurs
De fausses promesses
De vraies détresses
Et là aussi, en toute déconfiture, l'on s'y promène
Les médias
Produisant et alimentant les médias
Les uns et les autres, se confortant
Mais aussi
Comme une suite de paradoxologie
Toute une agnotologie
Produire de la fausse conscience
Produire de l'ignorance
Produire de l'artificiel
Produire du superficiel
Dans tous les secteurs de la vie
Du travail, des loisirs, du sport, l'aliénation qui unifie
Dans bien des fausses envies
Des amours et des amitiés, toute une lie
Dès la naissance, le livre que l'on lit
Toute une engrammation de menterie
La menterie de toute conscience
C'est dans l'air, l'on en parle
De la fausse réelle résonance !
Que les simples lithophones du passé
Pierres musicales sans aucune fausseté
Comme pure vision de l'immédiateté
D'une époque sans éco-anxiété
De cette solastalgie mal apprivoisée
Car
Nous autres
S'inscrivant
S'inspirant
Se répétant
Dans tous, toutes, les autres
Tout s'incrustant
Dans l'oubli même du conscient
Tout se soumettant
Dans le gravé de l'inconscient
Passé, présent, futur, des déterminants
Ainsi la Semaine sanglante à Paris
La fameuse Commune de Paris
Au moins quinze mille massacrés
Par la réaction versaillaise, assoiffée
De vengeance, de haine, de sang, de cruauté
Surtout
Du dimanche 21 mai 1871
Au dimanche 28 mai 1871
Avec encore des mercenaires
Qui sont toujours parmi toute guerre
Et qui sont donc de toutes les ères
Il suffit de bien les rémunérer
Pour qu'ils soient de votre côté
De fait, en 1871, la Banque de France
Il aurait fallu l'incendier, une rétroactive évidence !
Mais le biais cognitif
Qui nous dérange devient fictif
Sauf le subliminal publicitaire sournoisement actif
En France
Trente neuf millions d'euros environ par an
Sont dépensés en publicité
Pour nous faire acheter
C'est ainsi du viol de la pensée
Comme de la vente forcée
Du non exonéré par le conditionné
Comme de toute une presse
Du scandale et de la fesse
L'empire Rupert Murdoch en Angleterre
Micros, caméras, de l'espionnage
Pour la vie privée, du carnage
Et pas seulement, aussi, en Australie
Où sévit le Murdoch, aussi
Partout, des propriétaires divers
De tous les pays de la planète Terre
De nos opinions fabriquées
De nos goûts orientés
Avec tout un stock
Et cela n'est pas du toc
Les propriétaires qui façonnent nos opinions
Les propriétaires, s'affrontant, parfois, entre lobbys patrons
Les rivalités, parfois affinitaires, étant partout
Les indiscrétions se répandant surtout
Et ainsi, du fils du fasciste ( 1896 - 1980 ) Oswald Mosley
Pape des courses d'automobiles, Max Mosley
Contre le capitaliste et fasciste libéral, Rupert Murdoch
Mais tout est d'hier
De l'endroit à l'envers
Passé, présent, futur, en clone odorifère
Comme le ski, qui ne date pas d'hier
3200, 5200, 10.000 ans même, avant notre ère
De pays comme la Mongolie
Passé, présent, futur, pour tout faire
Tout s'interpénétrant en se réactualisant
Tout se combinant en se recontextualisant
De déterminant en déterminant et se succédant !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Taphophilie mentalisée

2 Novembre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Une piqure de kétamine
Au-delà de la vitamine
Et tout soldat
Devenant insensible et donc plus performant, voilà
Et à toute souffrance
Devenant comme indifférent
Et à toute peur
Devenant comme sans fondement
Mais
C'est comme si
Le monde entier
Avait, par cette substance, été piqué
De toute une apathie
Pour tous les autres
Pour toutes les autres
Comme si partout
Et surtout dans tous les esprits
Une sorte de taphophilie
Comme si le monde
S'organisait comme une tombe
Quand la mort
Paraît vivante
Quand la vie
Paraît morte
Et nonobstant avec du paradoxe
Qui plus que jamais, nous boxe
Avec toute une orthorexie
Avec ainsi, tout aliment suspect, c'est ainsi !
De toutes façons
C'est de la terre que nous mangeons
Et même avec des crustacés de la mer
Et la raison est parfois avec son contraire
Ce qui se voit
Ce qui ne se voit pas
Ce qui se sait
Ce qui ne se sait pas
Ce qui a été su
Ce qui n'a jamais été su
De nos sols bétonnés
Toute forme de vie, pouvant l'éliminer
Mais le peu qui s'en échappe
Du transfert en nouvelle écharpe
Et
Présent, futur, passé
Passé, présent, futur
Futur, présent, passé
Des poupées russes bien emboîtées
Même si tout est oublié
C'est inscrit dans l'histoire de l'humanité
Tout s'y meurt, donc
Tout s'y vit, donc
Tout s'y échoue, donc
Tout s'y épanouit, donc
Chacun, chacune
Prenant l'invisible relais
Prenant l'indicible relais
Pour en être, l'indéfectible une
Chaque seconde
Est du passé
Chaque seconde
Est du présent
Chaque seconde
Est du futur
En une seule entité
Du temps ainsi à peu près conceptualisé
Du temps ainsi à peu près inventé
Du souvenir
Devenant matière et ne pouvant s'enfuir
Forcément
De toute action, il reste toujours quelque chose
Et pas forcément, hélas, de la belle rose
De la drogue du passé, nous prenons nos doses
Du c'était mieux
Du c'était moins bien
Mais qui, vraiment, se souvient
Comme les grèves de 1947 en France
Avec une police qui emprisonna
Avec une police, qui sur la foule, tira
D'une guerre jamais finie, et qui, protéiforme, continua
Quand les syndicalistes staliniens furent débordés
Manifestations, grèves, qu'ils ne purent contrôler
Et donc encore moins, arrêtées
Tant il est vrai et pas assez répété
Que le stalinisme comme d'ailleurs le trotskisme
Qui sont des communismes de guerre
Il peut être brun ou rouge le fascisme
Sont finalement et définitivement contre le communisme libertaire
Et donc à l'opposé comme son contraire !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique de l'échelle de temps

1 Novembre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Et même à dire
Et même à relire
Feu ( 1740 - 1814 ) le marquis de Sade
Fin lettré et cultivé
Sa passion du théâtre, souvent oublié
Pour des écrits sulfureux, souvent emprisonné
Alors
Qu'à toute guerre, et en rapport
Son écriture fut imaginaire, plus qu'un mauvais sort
Tout ce qu'il a pu faire ou écrire
Tout ce qu'il a pu imaginer
Tout ce qu'il a pu concevoir
Avec quelques bougies dans le noir
De femmes enconnées puis cousues
Mais là, c'est du lu
Et avec la petite vérole ou un rat, pas cru
Toutes les horreurs
Toutes les douleurs
Psychologiques, physiques, érotiques
De toute guerre, c'est pourtant la pratique
Viols, tortures, mutilations, amputations, pendaisons
Et là, cela n'est pas de l'imagination
Pourtant, il y a peu de la réprobation
Sade n'était qu'un libre-penseur et libertin
Sade était un moraliste, philosophe, écrivain
Le contraire, d'un assassin, d'un homme de guerre
C'était surtout le monde de l'imaginaire !
Et puis
Dans les abattoirs
Il vaut mieux ne pas y aller voir
Et toute guerre
Est, a été, sera, un abattoir
Et là
Cela n'est plus pour se défouler ou exorciser
Toutes les frustrations accumulées
Au fil des années
Mais pour exécuter
Mais pour maltraiter
Mais pour torturer et tuer
Aucune guerre n'est moraliste
Cela procède de l'esprit nationaliste
Et des gens mangent de la viande
Des animaux non-humains
Qu'il faut donc pourtant zigouiller
Que d'autres, pourtant pas moins malins
Avec des discours logiques pour pouvoir les manger
Et d'ailleurs, il n'y a que deux millions
De végétariens et de végétariennes
De végétaliens et de végétaliennes
En France
Mais avec des produits hyper-transformés
Mais avec des produits hyper-industrialisés
Quoi qu'on fasse
C'est toujours une peu ragoûtante mélasse
Donc, le végétarisme
C'est 39,5 en apport énergétique
Donc, l'omnivorisme
C'est 33 pour cent en apport énergétique !
Toute évaluation
Toute expérience
Toute connivence
Toute compétence
Toute incompétence
N'est qu'une échelle de temps
Le seul constat d'un moment
De ceci découle que toute vérité ment
Comme une jupe qui à chaque instant
Du trésor de l'intime, qui allait, en se soulevant
Au niveau de l'individu
Au niveau des sociétés
Du million d'années
De l'à peine passé pour le géologique
C'est plus en raccourci pour l'anthropologique
Et de l'immédiateté pour le psychologique
Avec tout un spectacle du catastrophique
Quand la catastrophe
Est annoncée
Quand la catastrophe
Est aménagée
Quand elle est gérée
Quand elle est spectacularisée
Du présent, du futur, du passé
De la tectonique des plaques géologiques
De la tectonique des plaques psychologiques !
Et finalement
Tout, en tout, partout, est violent
De la société et de ses divers agents
Toute une maintenance contre le déviant
Alors que c'est le système lui-même qui est dément
Un viol
Toutes les huit heures
Contre des femmes considérées sans valeur
Donc, des sans domicile fixe, en France
Une société où tout est violé
Une société où tout est maltraité
Au tout humilié, au tout faussé
Certes
La richesse beaucoup moins que la pauvreté
Avec une nature déréglée
Comme au Japon où tout paysage est défiguré
Afin de se protéger
Des raz-de-marée
Les chats, raz-de-marée des oiseaux
Machines à tuer des lézards, piafs, mulots
Et un couple de chats, peut en quatre ans
Avoir environ 20.000 descendants
De l'industrialisation momification
De l'ancienne Egypte, aux nouvelles races, en création
La marchandisation des rapports humains
La compétition des rapports humains
Ne peuvent  produire, restreinte ou généralisée, que de la violence
Le capital fabrique et cumule toutes les violences !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Le corps de l'économie

11 Octobre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

La survie
Quand vivre
N'est plus qu'un souvenir
Malgré tous nos soupirs
De la comparaison en délire
Quoique
Pour les pauvres, cela a été toujours
Et elle a plus, dans son sac, qu'un tour
La sous-vie ou la survie
Et, donc, comme un éternel cloaque
C'est bien là le couac
Ainsi
Du sous-marin allemand en 1915
Treize à vingt personnes pour un WC
Avec mauvaises odeurs, de l'insalubrité
De l'exiguïté, de la dangerosité
Mais aussi de l'efficacité
Pour des navires, les couler
Comme pour le Lusitania, torpillé le 7 mai 1915
Par un loup gris des mers
Le Pearl Harbor de l'époque
Du conflit maritime sans équivoque
Avec en 1917, des USA, l'entrée en guerre
Comme plus tard, en 1941, du même repère
Du mouvement intrinsèque à la vie
Pour le fini ou dans l'infini
Mais toujours inhérent à ce que l'on a appris
Car, et puis
La seule raison d'être
D'un être
C'est d'être
Comme le disait, souvent, feu le savant Henri Laborit
Pour tout le vivant, maintenir sa structure
Pour ne pas devenir une informe confiture
Et tout le reste serait du discours logique, de la blablalogie
Mais
Avec le poids colossal de la pression foncière
Mais
Avec le poids colossal du tout pécuniaire !
Mais au fond
Comme pour le cinéma
Avec toute une professionnalisation
Avec toute une spécialisation
Avec donc, de bonnes actrices, de bons acteurs
Comme au théâtre d'ailleurs
Avec de bons comédiens et de bonnes comédiennes
Qui font le job, qui font le métier, quoi qu'il advienne
Il y a aussi l'inconscient et l'affectivité
Qui tel ou telle, nous font préférer
Pour aussi nous fausser
Pour aussi nous tromper
Comme il y a aussi des dentistes, des maçons, des médecins
Comme il y a aussi des ouvriers, des ingénieurs et des techniciens
Certes
Mieux vaut tomber sur de la compétence
Que sur de la tragique incompétence
Sinon
Aïe, aïe, la santé
Ouille, ouille, avec toutes ses possibilités
Du film gâché
De la pièce sabotée
De la maison qui peut s'écrouler
Avec toute une prolifique variété
D'autres exemples à imaginer
Et que vous trouverez
Tout étant prévu pour nous emmerder
Femmes, hommes, enfants, personne ne peut y échapper
Avec toute une domination masculine
Avec tout son langage comme bagage
Symbolisant la force et les armes
Avec une moins visible domination féminine
Avec tout son langage comme bagage
Symbolisant et se rétrécissant au charme !
Biphonation
D'archéologie du genre
Le corps de l'économie
Sans l'économie du corps
Ou avec l'économie du corps
Des deux, ne pouvant faire fi
Et la solidarité
N'est pas, tant s'en faut, propre à l'humanité
Ainsi
Dans les bois, de rousses fourmis
Qui ont plusieurs reines
Assurant ainsi leurs étrennes
Et pouvant aller chercher
Jusqu'à sept cent mètres des congénères égarées
Mais de fait, chaque espèce avec ses spécificités
Qui à nulle autre ne peut vraiment être comparée
De la vie, tout le panoptique
Où l'on voudrait
Tout contrôler, tout surveiller
Où dès le berceau, c'est presque plié
Et par beaucoup, cela est toléré, voire accepté
Ou alors
Il faut pouvoir dérailler
Et où l'on ne vous attend pas, aller
Et s'il y a un futur terrien
Peut-être un jour, du bébé sur mesure
Comme pour des chaussures
Pour les riches, bien sûr
Et encore avec du haut de gamme, avec du bas de gamme, en dur
Avec des caractéristiques génétiques précises
Mais même avec de bons gènes pour le physique
Le plus important restant du domaine acquis du psychologique !

Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

 

 

 

 

 

 

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Désempathie psychotique

9 Octobre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Désempathie psychotique
Du monde comme de l'Amérique
Et avec le numérique
Rien n'est simplifié
Tout est de plus en plus compliqué
Pour surtout la survie
Soi-disant, la faciliter
Un monde de folie ou tout devient un cauchemar
Comme pour se faire correctement soigner, presque un canular
Nous sommes dans l'enfermement
De rapports humains très violents
Dans une page ( né en 1964 ) de Bret Easton Ellis
Pour y être, pas besoin d'une hélice
Et plus haut, l'on va
Dans les nombreuses hiérarchies
Plus c'est salaud
Plus cela nous chie
Plus c'est psychopathe
Tous les grades du pire
Dans les structures hiérarchiques de dominance, se mirent
Toute hiérarchie est psychopathe
Avec son effet bonimenteur
Avec son effet spectateur
De l'organisation de la terreur !
Ou alors
Quand plus personne ne dort
Un effet de meute
Avec tout son ameute
Comme légitimement
Fos-sur-Mer
Avec toute une prise de conscience, amère
De toute une population
En lutte contre la pollution
Et toutes ses maladies en association
Et là, cela n'est pas du triangle des Bermudes
Avec tant de fausses études
Du fantasme et du faux mystère
Quand c'est la navigation qui ne sait pas y faire
Aussi, disparitions voulues et volontaires
Du climat imprévu ou du piratage
Pour le vrai arcane, encore à refaire
Donc, ni même des poches de gaz
Tout mystère est souvent bien naze
Rien n'est vraiment mystérieux
Justement du fait que tout est mystérieux
Ainsi de nos ancêtres pas si lointains
Qui avaient la peau noire, les yeux bleus ou clairs, c'est certain
Aux femmes accouchant accroupies ou debout
Belles, élancées, et comme les hommes, musclées !
Avec les grands-mères ménopausées
Pour des jeunes enfants, s'occuper
Enfants
Allaités, jusqu'à trois ou quatre ans
Et pour chaque enfant
De bien s'en soucier, la mère avait le temps
Femmes, hommes, enfants
Au tout participant
Au tout s'égalant
Au tout se complétant
Une vie enrichissante
Une vie épanouissante
Sans toute une technologie envahissante
Et, sinon
Pourquoi vouloir vivre plus longtemps ?
Tout ceci semble bien prosaïque
Face à notre présent monde, si tordu, si psychotique
Enfantant du terrorisme
Enfantant du fanatisme
Ainsi du djihadisme
Forgé par la guerre russo-afghane
( 1979 - 1989 ) équipant, formant, armant, l'insane
Fortifiant les futurs ( 1m95 )  Oussama ben Laden
Via les USA et divers pays alliés
Alliances toujours perverties et vite reniées
Un environnement de diverses psychoses
Les psychoses diverses de l'environnement
Et l'environnement est avant tout du mental
Avant d'être de l'espace vert, c'est normal
Le mental
Transformant TOUT selon son mental !

Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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La publicité est une putain

6 Octobre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Toutes les diverses droites
Se disputent, se partagent, le totalitarisme
Un totalitarisme qui ne dit pas son nom
Dont le fondement est le pognon
Toute une conception
Toute une habituation
De toute une déshumanisation
Avec toujours, du pain et des jeux, en fausse compensation
Tout un système décomplexé, spectacularisation du nazillon
Qui s'habille maintenant en fanfaron
Qui fait plus que de la figuration
La politique du capital fait son travail
Seconde après seconde, c'est au corps qu'elle nous travaille
Tout un dépliant, tout un éventail
De tout un merdiatique
De toute une psychose clinique
Tout étant
Tout appartenant
De quelques milliardaires
De quelques réactionnaires
Avec en complicité généralisée, peu de retardataires
En amnésie
De l'Histoire passée
En amnésie
De l'Histoire revisitée
Avec de nouvelles générations
En décérébration
En crétinisation
Fausses valeurs
Faux référents
Mais, hélas, vrais malheurs
Les bras m'en tombent
Démembration de la faconde !
Tout un fascisme démocratique
Des factions, des fractions
De toute une habile fausse critique
De nos cerveaux en marchandisation
L'on s'y pousse au portillon
Surtout au moment des élections
Certes, les gens votent de moins en moins
Mais, cela ne compte pour rien !
Car finalement
C'est l'économique
Qui fait toute politique
Quand il faut nourrir des milliards de gens
Avec l'industrie qui surgit, évidemment
Des poules génétiquement modifiées
De l'industrie volaillère, toute une immoralité
Et ceci est une litote
Que l'on peut étaler sur tout toast
Donc, environ, 320 oeufs par an
Une poule sauvage, c'est environ, vingt oeufs par an
Comme en tout, ceci est une moyenne
Comme donc en tout domaine
La poule artificielle
La poule industrielle
Au bout de seize semaines, pondant
Alors que sa croissance osseuse, c'est écoeurant
Au bout de trente cinq semaines, se forgeant
Et pour tout ou presque, tout ainsi s'organisant
Toute une surpopulation en fonctionnement
Nous sommes déjà dans l'abîme
Nous en voyons, et depuis longtemps, les cimes
Et toutes les relations s'y abîment !
L'argent nous engloutissant
L'argent nous nourrissant
Et surtout nous engrammant, nous conditionnant
Et donc principalement, nous relationnant
Dans la gabegie institutionnalisée, s'y organisant
Et face à cela, une impuissance du tout démissionnant
Ou alors
Des luttes corporatistes parcellaires
Des luttes corporatistes fragmentaires
Sans aucune perspective vraiment rébellionnaire
Et encore moins vraiment révolutionnaire
Revenant aux sources de l'anarchie et du libertaire
Et donc de tout un écroulement
Avec son contraire, qui serait esbaudissant
Ainsi, de l'Arctique, trois fois plus vite, se réchauffant
Que le reste du monde, attristant
Du gaz, du pétrole, des gisements
599 champs gaziers et pétrolifères
Qui ont été déjà découverts
222, environ, déjà exploités, déjà forés
Avec une horrible toxicité dégagée
Assureurs, pétroliers du monde, banquiers
De tout un fascisme laïque
De tout un fascisme religieux
Qui nous brandissent leurs triques
Avec toute une publicité médiatique
De la putain,du maquereau, en prophétique
La publicité est une catin
S'ouvrant, s'offrant, au plus friqué, au plus faquin
Le publicitaire est son souteneur
De la manipulation mentale à toute heure !
Mais si l'antisémitisme
Fut le fond de commerce du nazisme
Jusqu'en 1938, le fascisme italien
Ne fut ni raciste, ni antisémite
Et plus tard, avec toute une stratégie opportuniste
Ce furent des banquiers juifs qui financèrent Mussolini
Et puis, les nazis auraient fini
Par zigouiller les fascistes italiens, trop typés, aussi
Ou pour des histoires de territoires ou de colonies
Et cela aurait pu se faire, avant, d'ailleurs, ainsi
Comme pour la publicité
Et de tout son monde colonisé !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien 

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Hors-champ littéraire

3 Octobre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Je le sais bien
Du style bourgeois, je n'ignore rien
Je n'ai aucun style littéraire
L'on me l'a dit, c'est moins que rien
Je n'en ai rien à faire
Et cela tombe bien
Je n'en veux aucun
Ni cela me flatte, ni cela m'atteint
Car, je suis, de toutes façons, hors-champ littéraire
Je ne fais jamais que m'accoucher
Des obsessions de mes fades pensées
Et c'est quand même moins douloureux
Que l'enfantement de futurs malheureux
Futures elles, futurs eux
Car, en France, une fois sur trois
Et c'est devenu comme une loi
La femme qui accouche
Est la victime de la violence obstétricale
Et sa protestation, on la mouche
Forceps, épisiotomie, comme du fatal
Ou alors
Du hors-sol, du en-dehors
Pour à personne, ne faire du tort
Pour le confort de l'équipe médicale
C'est le plus souvent, la péridurale
Pourtant, là, c'est pour la future chair à profit
Nonobstant, là, c'est pour la future chair à canon
Alors, des profits et des canons
Alors, pour l'avortement, prévoir une torture infinie !
Pollution hospitalière
Pollution des façons de faire
Toute une agression à ciel ouvert
Et ne parlons pas des soins dentaires
Car avant de pouvoir se faire soigner
L'on a largement le temps de crever
TOUT, comme une obsolescence programmée
La désuétude planifiée de logiciels datés
En une mesure de gazage carboné
Pollution numérique, c'est à resignaler
Pire que le trafic aérien, c'est bien noté
Certes
La marchandise veut circuler
Avec hélas, principalement, des transports routiers
Et en France
Encore une triste évidence
Pour le transport fluvial
Celui qui fait, qui ferait, le moins de mal
C'est seulement
Toute une logique du navrant
Deux pour cent
De tout le trafic
De tout le fric
Comme les armes bien françaises
Vendues à des puissances étrangères
Pour contre certains pays, faire la guerre
Pour entretenir les dictatures et les tyrannies
De cette complicité, l'on ne peut faire fi !
Et sur ce podium de la crapulerie
En première position, les Etats-Unis
Puis en médaille d'argent, la Russie
La France, médaille de bronze, horrible orgie
Et d'une horreur l'autre, tous les pays
Tout étant de la compétition
Sport, de l'école à l'université, science, idéologie
Police, armée, religion, tout le monde en apprenti
Vendre le plus possible
Acheter le plus possible
De l'échange le plus possible
Dominer, en résumé, le plus possible
Tout y est comme une médaille
Quoi qu'il en coûte, vaille que vaille
De la peine de mort à petit feu
De la misère à plusieurs, en solo, à deux
Elle est toujours là, la peur
Certes
Avec moins de manifeste qu'en d'autres heures
1793 - 1794, la Terreur
17000 personnes guillotinées en France
16594 personnes identifiées, pas une évidence
Sans compter ceux d'après
Sans compter celles d'après
Puisque cette horreur
De la Révolution bourgeoise française
Jusqu'en 1981, fut encore à l'honneur
Mais il mutile, traumatise, blesse, tue, encore plus, le travail
Dans le monde entier, c'est la boxe incessante du labeur
Et à la société, tout travail est son tueur
Et à côté, Theraphosa blondi, mygale goliath
N'est que de l'échec et pat
La plus grande araignée au monde
Jamais ne gronde, de grande douceur
Jusqu'à 30 cm, la femelle vivant 15 à vingt ans
Et le mâle seulement environ trois ans
Feu le savant ( 1762 - 1833 ) Pierre-André Latreille
Qui en 1804, pour la décrire, n'eut pas son pareil
Vraiment
Que l'être humain, rien n'est plus exaspérant !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique des us et coutumes

1 Octobre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

2,9 pour cent
Du réchauffement climatique
C'est aussi du transport maritime
Toute une activité économique qui déprime
Mais d'un cynisme l'autre
Mais d'une invisibilité l'autre
Sauf quand il s'agit de payer
Là, elle revient vite, la visibilité
Mais
Tout a été
Mais
Tout est
Mais
Tout sera
J'ai été
Je suis
Tu as été
Tu es
La vie humaine
La vie non-humaine
Ne sont pas
Des vies devant soi
Ne sont pas
Des vies derrière soi
Elles sont
Dans chaque nouvel instant
Comme un nouveau mariage
Comme un ancien mariage
Comme un nouveau divorce
Comme un ancien divorce
D'un moment l'autre
D'un monde l'autre
D'une époque l'autre
D'un multivers l'autre
Tout est veuvage
Tout est ravage
Tout est clivage !
Tout est comme un lignage
Tout est comme un cousinage
Tout est comme un voisinage
Ainsi des primates
Semnopithéques
Langurs
Douroucoulis
Gibbons à mains blanches
Singes araignées
Babouins jaunes
Macaques de Barbarie
Lémuriens
Drills
Sapajous
Macaques à queue de lion
Singes-lions
Galagidés
Gorilles des montagnes
Chimpanzés
Et tant d'autres espèces oubliées ou disparues
Avant d'être identifiées, qui l'eût cru ?
Jeu de cartes, aux nombreuses faces inconnues
Tout apparaît, tout disparaît
De l'évolution et de ses pets !
Et surtout
Un jour, l'espèce humaine disparaîtra
Ouf, et bien, en effet, bon débarras
D'ailleurs, la planète Terre y survivra
Espèce qui au vivant
Fit la guerre
Qui à son semblable
Fit la misère
De cette espèce
L'on se désespère
Sauf de feu la période matrilinéaire
Avant
Qu'elle ne devienne guerrière
Avant
Qu'elle ne devienne propriétaire
Du nomadisme au sédentaire
Surpopulation en étatisation
Surpopulation en industrialisation
Finalement
Le plus grand chasseur fut le néandertalien
Bisons, Mammouths, pour nourrir les siens
Et par des températures de moins vingt
Des clans de 13 à 20 personnes, attaquant de grandes proies
Avec une très grande adaptation, poumons, nez, au froid
Planification, répartition
Préparation, communication
Anticipation, puis langage
Ordre ou désordre, mais des temps anciens
L'on sait si peu ou même rien
Voilà pourquoi, rien n'y fait loi !
Et avec les gens
Qui croient tout savoir
L'on s'appauvrit
Et avec les gens
Qui ne croient rien savoir
L'on s'enrichit
Croire tout savoir
C'est justement ne rien savoir
Croire ne rien savoir
C'est justement savoir
Savoir que l'on a pas de savoir !
Avec le relatif de l'absolu
Avec l'absolu du relatif
Fausseté de toute vérité
Vérité de toute fausseté
Et il faut bien doser
Et il faut bien mélanger
Pour pouvoir s'y retrouver
Sans, dans les sophismes, trop s'empêtrer, trop s'égarer !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Mondialisation de la pollution

20 Septembre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Engrais phosphatés
Via le Maroc
En producteur premier
Solide comme le roc
El la fluorose
Cela n'est pas de l'eau de rose
Cadmium de Pologne
Poumons en tragique trogne
Quand le charbon dégomme
Chaque pays
Rien à foutre de la gueule d'autres pays
Chaque personne
Rien à foutre de la gueule d'autres personnes
C'est le glas, dring-dring, qui sonne
Avec chaque nation
Avec sa propre pollution
Import-export en adéquation
Comme un nuage
Qui serait bien volage
Toute pollution s'internationalisant
Et partout, TOUT, se répandant
Avec la sinistre impression
L'impuissance de tourner en rond
Malgré des luttes contre, comme une malédiction
Cercle vicieux du tourner en rond
Quoi que l'on fasse
Tout y fait trace
Et il y a encore un peu de place
Rien, jamais, vraiment, ne s'y efface
Et nous nous polluons
Et vous vous polluez
Ils et elles se polluent
Et, bis repetita, quoi que l'on fasse
Tout y fait trace
Et quoi que l'on dise
Sans qu'aucunement, je ne médise !
Quand il faut à nouveau polluer, propre
Pour pouvoir dépolluer le moins propre
Des énergies faussement vertes
Des énergies pas vertes
Une pollution en mondialisation
La mondialisation de la pollution
Cela est à tous et à toutes
Pour s'y cacher, aucune soute
Notre commune prison
Notre seule vraie communion
Avec toute une fausse compassion
Du conditionnement comportemental en affectation
Une prison, coûtant encore plus chère
Que celle de Guantanamo, si délétère
Alors, que cependant
Et c'est proprement effarant
13 millions de dollars par détenu
Avec depuis 2001, 780 détenus
Et il n'y a plus, à ce jour, que 39 détenus
Coût de Guantanamo et sa prison, par an
540 millions de dollars
Faire florès pour le cafard
Le capital, dans nos fioles, ce crachat
Et au cas par cas
Vraiment, sur cela, mon mollard
Quand le vol
Crée de l'emploi
Quand le crime
Crée de l'emploi
Quand la misère
Crée de l'emploi
Quand la pollution
Crée de l'emploi
Sotte société et sots métiers
Toute la perversité d'une société
Qui avec cela, comme cela, ne peut que fonctionner
Sinon, du chômage généralisé
Toutes les absurdités y sont liées, y sont là !
Et cela serait encore pire, si personne ne s'y opposait
Et cela serait encore pire, si personne ne luttait
Avec toute une inutilité
Qui y organise sa terrifiante absurdité
Comme les nazillons qui sont invités
Comme la zemmourisation qui peut parader
De nos jours, sur des plateaux de télé !
Comme aussi
Les 70.000 livres, en France, publiés
Et par année
Mais depuis que les gens lisent
Rien n'a vraiment changé, nonobstant
Mais surtout
Depuis que les gens élisent
Mais surtout
Depuis que les gens disent
Rien n'a vraiment changé, édifiant
Les inégalités
Les injustices
Les disparités
L'intolérance
Les scandales, les souffrances
Les guerres, la torture, l'indifférence
La fascisation des esprits, habituation du navrant
Et tout cela se mimétisant
Tout cela s'institutionnalisant
Indéfiniment
Sous d'autres formes
Sous d'autres normes
Alors, à quoi bon ?
Si c'est pour la sacro-sainte consommation
Alors, à quoi bon ?
Si c'est pour la sacro-sainte spectacularisation
Si à l'innommable, c'est pour l'intégration
Comme la destruction des bords de mer
Forcément, la société marchande laisse faire
De zéro à dix mètres, comme après une guerre
Anéantissement de toute une faune marine
Avec des herbiers qui déclinent
Mais, chacun, chacune, ne voyant que midi à sa porte
Et tout le monde pense avoir raison, de la sorte !

Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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6, 12, 18 litres, la chasse d'eau

15 Septembre 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Exposition à Nantes
L'art dit contemporain comme une rente
Tout un prétendu art
Hypnose du lard
Le faux formant le goût
Et ce en tout
Et chaque nouvelle génération
Des nouveaux faux, de nouvelles contrefaçons
Le contemporain
De l'ancien mal repeint
Au tout crétin
Arnaque et foutage de gueule
Personne ne s'y sent seul
Et tout le monde
Se regardant
D'un air si condescendant
Pauvrophobie
Grossophobie
Maigrophobie
Richophobie
Toute une panoplie
Et nous ne prêchons qu'à des convaincus
Et nous ne prêchons qu'à des convaincues
Cons vaincus, connes vaincues
De personnes, donc, déjà convaincues
Et tout ce qui ne rentre pas dans son signifiant
N'est pas entendu
Ne sera pas perçu
Et ainsi, gens contre gens
Pour que rien ne change vraiment
Chaque groupe humain, dans son signifiant, se confortant !
Tout moment
Tout instant
Comme un usufruit de programme
Comme un produit d'engramme
Partout, en tout
Nous entendons
TAM-TAM
Comme celui des motards
En France, cinq cents se tuent chaque année
22 fois plus de risques, de la probabilité
D'être tué en moto qu'en voiture
Et ce à kilométrage égal
La moto produisant onze fois plus, faux régal
De monoxyde de carbone que la voiture
Huit pour cent des accidents de la route
Et pour obtenir votre sympathie, une déroute
Sont inhérents à une défaillance technique
Plus qu'un métier
Vivre devient un sacerdoce
Avec l'horreur permanente, convoler en justes noces
Peu de chair, surtout de l'os
Parcours du combattant, simplement pour exister
Car pour tout, il faut se bagarrer, il faut banquer
Quand tout participe de la banque
Chaque personne prise comme branque
Chaque individu
Vache à lait du capital
De tout billet imprimé, malhonnêteté fatale
Et pour un billet de banque français
Abîmé ou neuf, mais, de toute vie, comme une défaite
Un billet français, c'est cent trente corps de métier !
Et qui dit argent
Dit, flic, voyou, politicien, mafieux, truand
Avec son plus grand faussaire
Feu ( 1912 - 2003 ) Ceslaw Bojarski
Qui travaillait tout seul, expert du faux, inégalé
Ingénieur, technicien, qui fut bien mal employé
Et pour le localiser et pour le loger
Longtemps, ce fut une parfaite impossibilité
Mais voyageant partout
Surtout train, comme un fou
Pour discrètement, les billets, les écouler
Sans se faire trop repérer
Par son mal de dos, il fut trahi
Et fut obligé, ainsi
De prendre deux complices, idiots, deux simples d'esprit
Alors, vite, cela finit
Et par dénonciation, il fut pris
Le corps de l'économie
N'est pas l'économie du corps
Sauf celle de l'esprit
La plupart des gens
Se parlent mal
Se regardent mal
Se comportent mal
C'est là, la loi croissante du capital
Rien ne peut-être décroissant sous le capital
Et pas de véritable changement
Ou alors, vers l'anarchie et hors du capital
Il y a tant de frontières
Qui sont surtout dans nos têtes
Avec toute une répugnance identitaire
Mais, ouf, aucune dans l'univers, dans le plurivers
C'est si bête
De toute humanité comme une défaite
Un peu comme pour l''Afghanistan
Où furent formés les fanatiques religieux talibans
USA et des alliés, contre URSS, la guerre d'Afghanistan
2430 kilomètres de frontière avec le sinistre Pakistan
De l'ouest
Jusqu'à l'Est
La plus longue des six frontières de l'Afghanistan
Il faudrait tirer la chasse d'eau
De toutes les bêtises, prendre les ciseaux
Et la chasse d'eau, c'est si peu écolo
6, 12, 18 litres d'eau
Ce à chaque chasse d'eau
Selon les équipements, terrifiante chasse d'eau !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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