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L'inertie captatrice involutive

28 Septembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Tout le monde
Se fichera sur la gueule
Ce sont toutes les armes
Qui rigolent
Tout, petit à petit, se libanisant
Et rien, n'est plus complexe, qu'au Liban
Tous contre tous
Toutes contre toutes
C'est de la déroute
C'est du fort, c'est du Beyrouth
Les gens ne se supportent plus
De la banqueroute en toujours plus
La fragmentation fragmentée qui nous suce
Car
Qui est qui ?
Car
Qui est quoi ?
Comme je l'écrivais déjà
Au début des années 70, mais là, c'était caca
Tout autre que soi est devenu l'ennemi
Et même
Par-delà les religions et les idéologies
Faites-moi fusiller tout cela
En joue, feu, et voilà
Tout cela compensé par une sournoise hypocrisie
Du faux ouf dans du vrai plouf
Quand depuis des milliers d'années
Nous apprenons à nous haïr, à nous maudire, à nous tuer
Du c'est moi que voilà, c'est moi la force, il faut dominer !
Le monde marchand est une tirelire
Dans la fente, des sous, et tu tires
Sinon, juste le droit à la mire
L'on ne devrait pas dire argent, mais viol
Tu as de l'argent ? Tu as du viol ?
Ce viol de tous les viols
Ouvrant toutes les serrures
Forçant toutes les ouvertures
Du sexe, des propriétés, s'appropriant toute idée
Argent, viol, de tous les principes
Argent, viol, de toutes les éthiques
Tout est viol de A à Z
Le viol, lui-même, violé de son violé
Tout le monde se déteste
Tout le monde s'empeste
Avec ou sans les mêmes idées
Avec ou sans les mêmes pensées
Avec ou sans les mêmes religions
Avec ou sans les mêmes idéologies
Mais ce que je voudrais vraiment écrire
Je l'oublie tout le temps
Et finalement, de me lire
Tout un ratage, tout un faux boucan
Nonobstant
Le vrai parfum du monde, c'est la haine
Le vrai parfum du monde, c'est la peine
La plupart des regards comme des mitraillettes
De nous, ne restant que des miettes
Ou de l'indifférence tranquille et abjecte
Quand trop de monde ainsi se traite
Dégainant en premier à tue-tête !
Du négatif pour accoucher du positif
Et donc à couper pas mal de mauvais tifs
De ce couple Busway nantais, des regards violents
Sans conteste, lapidation directe avec le méchant
Mais toute marge
De toute ville, pourrait le dire
Sauf y avoir un certificat de conformité
Ou de notoriété ou de célébrité
Et nous revivons ce qui a déjà été vécu
Et nous relisons ce qui a déjà été lu
Et nous redisons ce qui a déjà été dit
Et nous réécrivons ce qui a déjà été écrit
Et nous refaisons ce qui a déjà été fait
Et nous repensons ce qui a déjà été pensé
Et tout ce que vous voudrez
Déjà, et avec ou sans mondes parallèles
Univers, multivers, pour voler, il faut toujours des ailes
Et les guerres, les guerres, les guerres
Se substituant, du sexe, du sexe, du sexe
Se substituant aux baisers et aux caresses
Se substituant à toutes les tendresses
Et pas la barbarie de la pornographie
Qui n'est que la pornographie de la barbarie
Et donc, la guerre, la guerre, la guerre
Encore et encore, la guerre, la guerre, la guerre
Et pas des caresses, des caresses, des caresses
Et pas, s'écouter, s'écouter, s'écouter
Et pas, se raconter, se raconter, se raconter
Pour pouvoir, enfin, se rencontrer, se rencontrer, se rencontrer
Voilà bien, sans dans l'espace, se propulser
Voilà bien, que contre toutes les détresses
Chacun, chacune, pourrait y trouver son ivresse
Bises, bisous, baisers, avec ou sans les fesses
Et puis, pas une raison de fermer sa gueule
Du tous contre tous, du toutes contre toutes, tout s'y dégueule
Merde, encore raté, je n'arrive pas à m'exprimer
De toute une pourriture d'intellectualité
De ce qui sait si bien nous baratiner
De toutes les obédiences et pour tout assassiner
De l'effondrement, du massacre, de la souffrance
Du tout empiré, minute après minute, c'est même plus chut
Dans une implacabilité d'évidence !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Kleptocrates du charlatanisme

23 Septembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Le technosolutionnisme
Américain, fut à une époque
De ce qui put favoriser, son expansionnisme
De même
Et qui peut suivre, aime
Une paix séparée
Entre l'Angleterre et l'Allemagne d'Hitler
Pourtant si peu moins réactionnaire
Mais, là, surtout contre les noirs
En plus hypocrite, et donc en moins antisémite
Churchill l'impérialiste, fourbe, rusé, en imposa le rythme
Toujours en retour du passé
Du capital expansionniste
Au capital adoubé technosolutionniste
De la tyrannie des intérêts privés
Il s'agit de préserver la grande propriété
Certes, pas celle du toit sur la tête
Car, que payer un loyer
Argent perdu, cela n'est pas si bête
Mais les grandes et grands milliardaires ou millionnaires
Et qui font TOUT
De ce qui se fait et de ce qui se défait
Tout ou presque étant à leur image
Avec de solides prisons, de solides cages
Et c'est la folie pour qui n'est pas sage !
Tout s'y organisant comme à l'armée
Il y faut marcher au pas cadencé
Foules hypnotisées dans leurs rangs serrés
Du bonnet blanc et blanc bonnet, en risible diversité
La misère, aussi, pouvant se hiérarchiser
Ceux et celles
Qui n'ont et n'auront le droit à rien
Juste de regarder, mais pas celui, de toucher
Faudrait quand même pas exagérer
Ce sont les notables, mandarins, riches, qui peuvent toucher
Du cul des femmes
Se la jouer, tout feu, tout flamme
Passer à la caisse
Des nichons et des fesses
Prostitution légale du mariage
Prostitution illégale du faux ménage
La cherté y variant selon les ritualités
Mais
De vertu, de l'arrangé, sachant se parer
Dans les transactions et au tout, dealé, négocié
Je vaux tant
Tu vaux tant
Il vaut tant
Ils ou elles valent tant
Et donc, ce à quoi, l'on peut ou pourra espérer
Là où tout ne peut que s'y endetter
Comme la dette française en 2023, de quoi s'enrouer
Trois mille milliards d'euros
112 pour cent de la richesse nationale !
Et pesant sur chaque personne
Comme des tonnes et des tonnes
D'un vol Paris-Pékin, 1,2 tonne de CO2, par personne
Avec toute une presse réacosphérisée
Presse écrite ou parlée,  tout y est charlatanisé et falsifié
De tout un empire depuis longtemps kleptomanisé
Tous les fonds des tiroirs capitalisés
Ont été et sont bien raclés, comme le font, les chalutiers
Et ce à 26 pour cent pour le fond des mers
Et la contestation vraie n'y a plus sa place
Ou alors, opération du crâne, le pic à glace
Et de force ou de gré
Tout y devenant comme de l'affidé
Tant que l'on y a son petit truc
Tant que l'on y a son petit machin
La misère y fait sa maligne et son malin
Plus bas que soi, et l'on s'y fait, prince ou duc
Tout y devenant aussi de l'idiot socratique
Mais là, en inversion du sens critique
Faisant le tour de la Terre, poussières d'heures
Pas comme le loup qui en vingt-quatre heures
Peut ou pourrait parcourir deux-cent kilomètres
Comme ma pomme, 1995, jadis, du grand marcheur
Mais c'est vraiment un cinéma permanent
Mais c'est nous qui sommes sur l'écran
Les films d'horreur sont maintenant pour les enfants
Par rapport à ce qui nous attend, vraiment !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Sans zoopharmacognosie du récurrent

13 Septembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Et toujours
Et depuis toujours
Très peu ou très beaucoup
Toujours et à la fois
Donc, les deux à la fois
Pour ceci ou pour cela
En ceci ou pour cela
Le savant ou l'ignorant de quelqu'une ou de quelqu'un
Et de quelqu'une ou de quelqu'un
Le savant ou l'ignorant
La savante ou l'ignorante
Ainsi
Tous les traités
Tous les accords
Sont du transitoire
Sont du suppositoire
Fausses transactions
Fausses obligations
Surtout
Il faut que les affaires continuent
Tout y est mensonger, tout y est faux cul
Il s'agit, en fait, du partage des territoires
Les guerres en font du provisoire
Tel pays pouvant devenir un autre pays
Telle région pouvant devenir une autre région
Quand tout conflit international
Fabrique du territoire, et du national
Voilà, la finalité de toute guerre
Avec sa propre histoire unique
Avec sa propre filiation inique
Tout y est tragique et sans comique
C'est là aussi
Le domaine de la dopamine impulsive
Avec peu du contrôle noradrénaline, censure affective
Tout y est turbidité, salmigondis
Sybarite, clapotis
Tout pouvant très bien s'y cosmopolitiser
Tant que la polysémie peut s'y agencer
Elle peut même s'y fasciser
Quand toute outrance opposée
Peut pour un temps, y vociférer
Quand tout purisme, un temps, peut s'en arranger !
Toute une recherche de la dominance
Infernale cadence, faux parfum de résilience
De tout un délit de fragrance
C'est foutu, depuis longtemps, salut la compagnie
Et dans notre infini bien fini
Foutez-vous en jusque-là
Dans un tout capitalisé et bien pourri
Où toute vulve à son prix
Et puis, et puis, basta
De toute une sanie
Se rimant en idyllique métonymie
Quand tout ce qui peut exister
Existe, fiction de la réalité
Réalité de toute fiction
Ou même l'excellent acteur Alain Delon
Inutile de dire, là, qu'il s'agit d'une fiction
Dans le film de 1961 de René Clément
" Quelle joie de vivre " étonnant
Gravit une église de l'Italie
Pour y planter le drapeau noir de l'anarchie
Aussi, et même dans cette hallucination
Précisant qu'il n'est pas anarchiste, sans confusion
Finalement
Il faut être heureux et fier
Il faut être heureuse et fière
De n'avoir point du disciple, papier ou fer
Et surtout pas son propre disciple
Et surtout pas sa propre disciple
Il n'y faut porter aucune culotte ou aucun slip
Car nous errons comme des squelettes ambulants
Et pour couvrir cela, le port de vêtements
Tout intérêt devenant une conviction
Hélas, toute conviction n'est que de l'intérêt !
Rabâcher, toujours rabâcher
Ce qui est un peu, beaucoup, ma spécialité
Pourtant, tout ne fait que reculer
Début des années 1870, New York
Des millions de grévistes
L'Histoire en est souvent récidiviste
Pour obtenir la journée des huit heures
Et il fallut encore lutter pour la faire appliquer
Mais tout se perd dans la pensée séparée
Quand le racisme et le sexisme
Dans les syndicats, aux armées, aux maisons
Semant la désunion et la fascisante réaction
Tout a déjà été
Tout, en tout, pour tout
Tout est déjà là
De petites avancées pour mieux régresser
D'un pays l'autre
D'une époque l'autre
Ce ne sont pas les gens
Qui n'aiment pas la vie
C'est la vie
Qui n'aime pas les gens
De son organisation de pure folie
Du Droopy, 1948, de ( 1908 - 1980 ) Tex Avery
Insemable, partout ubiquitaire, la fuite en dépit
Tout, plus ou moins, participant au poison
Tout organisant le poison, du capital, fric flic
Crépuscule, aurore, tout asphyxique
Encore 200 à 300 mille chimpanzés en Afrique
Mais avec 60 pour cent de pesticides présents
Ce, dans l'organisme, des chimpanzés d'Ouganda, terrifiant
Oralité d'épitaphe en apostasie
De la monoculture annihilant leur habitat
Et à l'effondrement tout un consensus
Toujours a été subsumé dans le plus
Toute prostitution, sans opinion, suce, suce
Mais là, sans zoopharmacognosie, du récurrent
Tout l'apprentissage aberré en inculcation
Plus violent que le pire des poisons
La mort par cyanure, 4 à 8 minutes, de suffocation !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Programmatisme étudiant l'exonymie

2 Septembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

La loi des grands nombres
Est comme de la matière sombre
Quelque chose de difficile à se représenter
Il en va ainsi, aussi, pour les probabilités
France
3,6 millions de vaches laitières
Soit 30 millions de tonnes, en équivalent CO2
Vaches usines nourries sur pattes
Soja, maïs, de l'exportation, et ça rate
10.000 litres de lait par an et par vache
Vaches nourries à l'herbe et au foin
Et là, exclusivement
5000 litres de lait par an et par vache
Chaque temps de produit humain
Pour un profit, n'est jamais vain
Tout s'y concentre
Tout s'y diffuse
Tout s'y extermine
Tout s'y exploite
Les gens qui se regardent de travers
Ou de bulles d'indifférence
L'argent y devenant la seule romance
Le virus de la haine
De tous les virus, c'est lui qui malmène
De toutes les têtes contrefaçonnées
Qui ainsi, le faux, ne peuvent qu'interpréter
Il faut être aux normes du capital
Sinon, pan ! de la  fusillade et son râle !
Moi, qui me ventile à l'hémistiche
Je n'y ai cependant le verre du pastiche
Car si parfois, je semble pétitionner
Jamais, je ne songe, un instant, à prétéritionner
Ainsi, tout le vivant, est fortement impacté
460 millions de tonnes par an
Du plastique en 2023, véritable ouragan
Et tout cela, en 2060, ira, en triplant
Déjà, cinq grammes
Par semaine, chaque personne en mangeant
Et comme cela est souvent dit
C'est comme une carte de crédit, bon appétit !
Et pour le nucléaire, aussi
Besoin, 1030 tonnes d'uranium enrichi
Et par an, rien que pour la France
En 2022, 62,7 pour cent de son électricité
Mais la Russie et à un prix cassé
En fabriquant 66 pour cent
Pour le monde entier, de tout son utilisant
Et encore, l'Ukraine, de la Russie, l'envahissant
Pas le moindre embargo, pour sûr
Sur l'uranium, et aussi, d'évidence, franco-russe
Tout est finalement gelé
Pouvant, tôt ou tard, se remanifester, car pas réglé
Tout devenant de la dépendance économique
Tout devenant de la dépendance politique
Tout devenant de la dépendance psychologique
Tout devenant de la dépendance affective
Technologique, informatique, industrielle
Avec des interactions plus ou moins formelles
Dans le :
Toutes contre tous
Tous contre toutes
Toutes contres toutes
Tous contre tous
Et pour tout le monde, de la banqueroute
Mais
Tout ayant déjà été dit, pensé, écrit, fait, imaginé
Par des inconnus à jamais oubliés
Et spoliés par des gens connus
Comme si, ainsi, cela était une nouveauté
Hélas, souvent appauvrie plus qu'améliorée
Et c'est ce vol cérébral qui fait toute célébrité
Ainsi, toute citation
Ne peut véritablement appartenir qu'à qui la comprend
Et pouvant même la détourner en l'améliorant
Tout comme tout commerce se dispersant
Et tous les pays, obligatoirement, s'y internationalisant
De même, du port des vêtements, France, Europe
Toute une importation de Chine ou idem
Et au minimum à soixante dix pour cent, c'est au top
Comme il y a plusieurs siècles sur la planète
Main-d'œuvre à peine payée ou sous-payée
Mauvaise qualité, du produit tout pollué
De l'exploitation du pauvre d'Asie
Pour vêtir des pauvres, d'ailleurs, d'ici
Avec tout ce qui s'ensuit de l'accidentologie
Accidents mortels au travail
Des tas de mutilations ou des maladies, du travail
Hier, aujourd'hui, demain, elle continue l'ignominie
Et ce, mais si bien scotomisée, dans tous les pays
Tout un programmatisme étudiant l'exonymie !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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Paraphysique du technosolutionnisme

1 Septembre 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Tout a été dit
Tout a été écrit
Tout a été fait
Est et sera, avant nous, après nous
Mais nous ne le savons pas, c'est tout
Mais nous l'ignorerons toujours, c'est tout
Aussi
S'approprier quoi que ce soit
Sans au moins l'améliorer
Il y a vraiment de quoi se marrer
C'est comme
Pour les savants, les ingénieurs, les techniciens
D'excellentes mémoires mais pouvant être crétins
Sachant, certes, tout bien mémoriser
Pour dans des hiérarchies, s'élever
Mais gens
Indispensables pour faire fonctionner
La société de tout un empire technologisé
Avec donc des femmes et des hommes du système
Et donc, d'autant mieux rémunérés
De la hiérarchie des indispensabilités
C'est comme
Pour l'industrie du divertissement
De la science, de la technologie, son pendant
Artistes, écrivains, acteurs et actrices, comiques, du tout distrayant
Sportifs professionnalisés et donc dopés
Ainsi, du cyclisme en exemplarité
Avec dix mille euros, par mois, pour un simple équipier
Dix à 25 fois plus pour le chef premier
Avec donc trop d'argent en jeu, pour tout révéler !
Toutes les mafias diverses
Le monde entier en fait des averses
Dans tous les sports
Dans tous les arts
Dans toute science
Dans toute technologie
De toute une cooptation
De toute une copulation
Et se partageant le magot
Transports accélérés mondiaux
Fausses algarades, faux idiots
Ils et elles, sont aux télés, sont aux radios
Dans les journaux
Et pour la populace, il ne reste que les mégots
Mais là, pour les applaudir
Et non hélas pour les vomir
La polulace jamais lasse, en redemande
Du populo facho en quémande
Les mafias politiques
Et qui édictent, ainsi, l'économique
Partis, organisations, associations, clubs, syndicats
Il y est rare, le pas caca
Tout s'organisant par et pour les richesses
Et pour la grande majorité, le spectacle de cette ivresse
C'est aussi cela
Le secret de la fabrication pauvre
Bouffe de merde ou même pas
Sexualité de merde ou même pas
Seulement ce qui peut fortifier
Le système, est très fortement récompensé
Luxe, beauté, santé, et toutes les propriétés
Et tout ce qui en général, peut gratifier !
Nonobstant que
Tout soit devenu totalement TERRIFIQUE
Pire que le plus casse-cou des téléphériques
Toute action et surtout des riches
Devenant maudite et maléfique
Des bourgeoisies bouffies ou plus faméliques
Ainsi
De la batterie des voitures électriques
15 kg de lithium
60 kg de nickel
40 kg de cuivre
30 kg de cobalt
Et pour l'éolien aussi critique
D'un mégawatt installé
Six tonnes de cuivre en terre
Neuf tonnes de cuivre en mer
Du câblage peu écologique
Et ces dix dernières années
En cette ère de totale monstruosité
46 pour cent d'oiseaux comme les martinets, en moins
Mais les technosolutionnistes
Crèveront aussi, dans le faux abolitionniste
Rien que les algues
L'algue avec flotteur
Stipe, thalle, crampon, tout un bonheur
Laminaires, grandes algues brunes
Les fucales de trois sortes, fucus denté
Du vésiculeux et du spiralé
Toute une laisse de mer
Qui peut pourrait en dire long sur notre monde amère !
Toutes les nourritures que l'on pourrait faire avec
Et le tout comme du bonbec
D'un monde obsédé de l'identitaire
Et pétitionnaire du tout compétitionnaire
Transidentité, transsexualité, transitude
Société demanderesse et bougresse, des attitudes
Quand tout fabrique du malheur
Dans une permanente et spectacularisée terreur
Toute une psychiatrisation
Toute une pathologisation
Tout en dépersonnalisation
Alors, qu'aucune forme normale de sexualité
Ne peut exister, et c'est donc, selon chaque individu
Ce qui est préféré, point barre, cela ne devrait, même pas, se discuter !
Mais la réacosphère est partout aux manettes
Elle peut ainsi sortir toutes les sornettes
Ayant bien su pénétrer dans toutes les têtes
Et la raison
La queue entre les jambes, en pleine défaite
Et pour la nourriture
Donc, peut-être qu'un jour, dans le futur
Algues comme de la salade de mer
Milliers et milliers, peut-être des millions d'espèces
Et contre l'industrie de l'agrochimie
Ayant déjà tout empoisonné
L'algue, le plastique, ne pourra tout dégrader
Et le charlatanisme dénonçant le charlatanisme
Comme le fascisme osant dénoncer le fascisme
Et comme l'on ne prêche qu'à des personnes déjà convaincues
Ma tête est malade parle à mon cul
Non pas ce qui est
Mais ce que l'on veut qui soit
Avec des groupes de gens, comme il se doit
De A à Z, de ce qui seul, est ainsi, l'existant
De A à Z, de ce qui seul, est ainsi, signifiant !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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