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Polluants automatisés des esprits

27 Juillet 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Qui ose se dire philosophe
N'est pas un philosophe
Car, les autres, c'est quoi, alors ?
Des crétines et des crétins ?
Qui ose se dire savant
N'est pas un savant
Car les autres, c'est quoi, alors ?
Des crétines et des crétins ?
Tout ce qui prétend
Penser à la place des autres
Alors que tout a été déjà dit ou pensé
Et par beaucoup d'autres, déjà, présent du passé
Il est inutile de parler
Il est inutile de penser
Il est inutile de faire
Et ce à la place des autres
Si les autres parlent
Si les autres pensent
Si les autres font
De toutes façons
Tout a été parlé, pensé, fait
Tout a été dit, pensé, fait, avant moi
Tout a été dit, pensé, fait, avant toi
De toutes façons
Tout a été dit, pensé, fait
Avant, nous, vous, eux, elles, avec ou sans mais
Et tous les livres que nous ne lirons jamais
Et tous les documentaires, films, que nous ne verrons jamais
Il y faudrait plusieurs vies
Aussi personne n'y est vraiment, l'érudite ou l'érudit
De toutes façons
Et forcément, tout est de la contrefaçon !
Et je suis ton savant et je suis ton ignorant
Et tu es mon savant et tu es mon ignorant
Eux, elles, lui, hommes, femmes, enfants
Et en tout cela, le sachant, rien de vexant
Tout est manipulé
Par la manipulation qui manipule
Ce qui manipule lui-même le manipulé
Ce qui manipule lui-même le manipulateur
Perversion narcissique destructrice de toutes les heures
Comme
L'observé de l'observateur
L'observateur de l'observé
Prodrome des prodromes
Du tiercé gagnant à l'hippodrome
L'objectivité de la subjectivité
La subjectivité de l'objectivité manipulée
De l'inconscient qui sait tout y fausser
L'observation manipulée
Des classes sociales avec leurs préjugés
De l'observateur
Par l'observation, de sa propre histoire, manipulée
L'observateur est l'observé
L'observé est manipulé par l'observateur
Tout bavant d'une dette
De l'éducastration et de toute fausse fête
Tout ceci s'enfantant dans les défaites
La dette de la dette de la dette
Tout vit de la dette
Le capital s'en entête
Il ne peut être que de la dette
Contraint d'en être la véritable grosse tête
Les pauvres en crèvent
Les riches en font la grève
Dette, dette, et dix de dette
Du divorce, de la santé, des études
En tout, pour tout, rien ne l'élude
La dette
Est au capital son bureau d'étude
Cela n'est pas le réel
Que nous théorisons
C'est le réel qui nous théorise !
Nous théorisons le réel
Et c'est quoi, le réel ?
Le réel nous théorise
Nous pense, nous anime, et nous terrorise
Nous en faisons des diktats
Nous en faisons des vivats
Le réel, nous le créons
Le réel, nous le construisons
Avec tout l'argent, irréalité, qui tout, détruit
1) Armes
2) Drogues
3) Pétrole
Flics et gabelous
Militaires et autres marlous
Piliers fonctionnaires en défense du système
Toutes les dominations les aiment
Tous les intégrismes s'y promènent
Comme en pollution, mais là, des esprits
Faisant accepter toutes les autres, par dépit
Un Paris-Marseille en train, 80 fois moins polluant
Qu'un Paris-Marseille en avion
Et beaucoup moins aussi
Qu'un Paris-Marseille en voiture
Mais l'aérien n'étant pas taxé
Il est donc d'une bien moindre cherté
Mais, le rail, il faut le rénover
Et sur le prix du billet, c'est reporté
Comme dans les supermarchés sur ce qui est volé
Et là, c'est le voleur qui est volé
Au lieu de tant et tant de travaux inutiles
Petites ou grandes villes et à la file
C'est l'existant rail et tout le reste, qu'il faut/faudrait réhabiliter
Alors qu'au port d'Anvers
50 milliards d'euros s'y déversent
Et chaque année de nouvelles averses
Du trafic de drogue, et de cocaïne
Avec de la technologie maligne
Tout y étant crypté
Indéchiffrabilité, indétectabilité, des complicités
Diverses mafias, la belge, la marocaine, la colombienne
Assassinats, attentats, tortures pleines
De toute une inéluctable impunité
Sans cesse étatisée et toujours hydre de reproductibilité !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Casus belli, vrais et faux souvenirs

22 Juillet 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Et à travers les âges
L'on entendit, l'on entend, l'on entendra
Comme une sempiternelle dépression
N'ayant le goût à rien
D'attendre quelque chose, il n'y a rien
Toujours s'adaptant
Toujours se répétant
Toujours se répercutant
Selon lieux et temps
Selon son lieu, selon son temps
De ce qui circule ou pas dans son sang
L'organisant ou pas dans un signifiant
Sinon, cela est comme inexistant
Tout étant comme un palimpseste
Tout étant comme un inceste
Tout étant comme une claustration
Et là, pas de Latude en évasion
Avec du casus belli pour toute option
Contre la bêtise généralisée, aucune révulsion
Sans compter
Les faux souvenirs des vrais souvenirs
Les vrais souvenirs des faux souvenirs
Comme de toute enfance inventée
Car elle nous est surtout racontée
De l'écrivain de Tanger, Najib Arfaoui
Né en 1943, je crois me souvenir de son AJS-OCI
Comme d'un lieu-dit de sa vie
Souvenance d'un très jadis, se perdant dans son infini !
De tous les desiderata
En chattemite de toute déliquescence
De mon style de la négation
Sans négation du style en péroraison
Tout ne pouvant s'accoler
Tout pouvant se décoder
Ainsi, du Vatican
Drogue, pédophilie, homosexualité, hétérosexualité
Diverses protections, et totale impunité
Des contacts fréquents avec la mafia
Et donnant des leçons au monde, tout est là
Et à quoi bon les grimaces de l'évolution
Il y a 66 millions d'années, une autre grande extinction
Mais presque deux millions d'années plus tard
Et après l'impact, du futur cafard
Fougères, palmiers
Fruits à coque, légumineuses
De la coévolution avec les mammifères
Mais tortues et crocodiles en leurs affaires
Même l'astéroïde de 15 à 20 km, ne sut les défaire
Et nos ancêtres des ancêtres
Sans lesquels, il ne parut point, l'être
Purgatorius et autres bestioles
Qui furent nos têtes de gondoles
Du maniraptorien, et là, pour le vol !
Alors que vingt millions d'oiseaux
Disparaissent, et ce chaque année
Depuis, 1980, 800 millions éliminés
Du moineau domestique, moins soixante-quatre pour cent
Du martinet noir, moins quarante-six pour cent
Car, pesticides, l'éclairage, l'anfractuosité
Moins aussi, de haies, de prairies, et des chats pour les tuer
Comme si le capital et son organisation
Vouait tout au suicide et à la désolation
Moi qui suis tigre capricorne
Même si je ne crois pas à des cornes
Donc, comme le rare tigre de Sibérie
Pouvant, coûte que coûte, survivre aux intempéries
Quand il reste encore trente-huit espèces de félins
Dans un monde dévasté, notre contemporain
Dont le chat forestier d'altitude
Du Jura, le plus puissant, encore à l'étude
Avec des constats nous plombant dans l'hébétude
1830
Dix millions d'éléphants
2023
Quatre cent mille éléphants
Et aucun chatGPT du j'ai pété
Cela pue, et ne saurait, surtout, rien empêcher
Quand toute marchandise rare a son trafic
Sa mafia, femmes et hommes politiques
Du crime social, bois du rouge santal
Et donc du crime économique en fanal
Ce qui conduit au crime environnemental
Syndrome du crime politique, du Dubaï, en fatal
Accusé capital, levez-vous
Vous êtes la folle des folles, le fou des fous !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien 

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La production du tout ignoble

15 Juillet 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Tous et toutes
Se croisent
Tous et toutes se toisent
Comme sur un radeau en perdition
Qui nous méduse, le rideau baissé, en snobisation
Et nous tirons nos valises
Et nous exténuons nos balises
Quand il faut tout porter
Comme de lourds poids, tout soulever
Valises des autres
Valises qui sont nôtres
De toutes les particules enchevêtrées
Du monde du présent, du monde du passé
Des vies et des morts, au tout unifié
Et jusqu'à l'espace-temps qui va s'évaporer
Tout y est multitude
Tout y est solitude
Et à propos de solitude
Certes
Elle est diverse et donc variée
Ainsi, en Chine, loi du multiplié
240 millions de personnes
Vivent seules, rien n'y détonne
Et comme tout est logique, dans le ligoté
Production de 80 pour cent
D'objets sexuels dans le monde
Faisant à peine survivre, un million de salariés
Toute une queue leu-leu du sexophobé
Nonobstant, un chiffre d'affaires de sept milliards
Et tout cela, bien en milliards
Il y a tout un onanisme en marché !
Et puis, pour paraphraser feu Léo Ferré
" Libérez les sardines
Et y'aura plus de mareyeurs "
Tout est donc en orchestration du gâché
Et à cela, l'espèce humaine est bien dressée
Comme pour le tennis à Roland-Garros
750.000 à 1,5 million de litres d'eau utilisés
Et en plus de bonne potabilité
Dans cette compétition et sur sa durée
Toutes les passions sont de grande cherté
Les coulisses cachées de tout un écocidé
Plus ou moins, tout ne peut, ainsi, qu'y participer
Sport, culture, divertissement, économie, politique, aménagement
De toute une architecture de l'aberrant
France
Quatre millions de mal-logés
330 mille SDF, de quoi, vraiment, pavoiser
Les restos du coeur
Pour des estomacs vides, que du bonheur
2200 antennes, 70.000 bénévoles
5,5 millions de gens nourris, chaque année
Des denrées venant de supermarchés
Certes, leurs produits sont donnés
Mais
Ce sont des invendus, ou des invendables
Sans valeur marchande, du pas convenable
Et donc les pauvres, à table
Avec des allègements fiscaux, de ce fait
Rien de gratuit, aucune vraie philanthropie, non mais !
Ce monde est camarde
Même son prétendu mieux, nous y canarde
Quand justement, son mieux est un moins
Tout y est comme une vengeance posthume
Qui dans nos gueules
Nous y revient en sournoise enclume
Gens, évènements, lieux, temps, tout nous y hume
Comme aussi pour refroidir les data centers
Google a consommé
Quinze milliards de litres d'eau en 2022
Dont 90 pour cent d'eau potable
Tout s'y groupe comme en eau de mer
12390 magasins du groupe Casino
Acheter du poison en sortant du boulot
Car
La contamination chimique des aliments
De toutes les denrées alimentaires, au tout continuant
Pour cela ou pour ceci
Pour ceci ou pour cela
Comme une photographie du pétrole TOTAL
Tout y étant incendié en tragique fractal
Avec toutes les maladies inhérentes, ô fatal
D'un monde en guerre permanente
Du restreint et du généralisé, psychose démente
Tout y étant violé comme dans une tournante
Le capital se nourrissant de toute tourmente
Avec tout un faux détournement qui l'alimente
Pervers narcissique toxique y éructant sa fiente !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Les propriétaires du monde et des mentalités

3 Juillet 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Partout, sur la planète
Le fascisme sous ses différents masques
A su s'imposer
Avec ses femmes et ses hommes
Qui se sont infiltrés partout, pas si bêtes
Dans tout gouvernement
En France, Darmanin, le plus voyant
Tout un fascisme libéral
Avec divers partis
Qui ne sont en fait, qu'un seul parti
LR, PS, PC, RN, Renaissance, Les Verts
Macronistes, LFI
Toute une soumission en faux conflits
Il s'agit d'amuser la galerie
Tout un soulèvement réactionnaire
Au service de tout lobby
Laquais de toute industrie
Comme la FNSEA, ce syndicat fascisant
Toujours très violent dans son manifestant
Et en exemple, plus vandalisme, tant et tant
Et encore de nos jours, dégâts matériels, etc. Du terrorisant
2 octobre 1967, Quimper
179 policiers blessés, mais là, tolérance réactionnaire
Les gouvernements savent reconnaître leurs frères
FNSEA, jamais dissoute, toujours tranquille dans son lit
Pour cela, comme une putain, acceptant la sodomie
Quand elle rime avec forçage ou profit
Et s'invitant, des tortionnaires, de pays en pays
Tout se voulant au nom de la démocratie
Pouvant comme l'aurait fait un Hitler
De dissoudre " Les soulèvements de la Terre "
Des écologistes tout à fait inoffensifs
Mais en France comme ailleurs, feu sur les contestataires
Et à la moindre manifestation
Le fascisme ou quel que soit son nom, sait se montrer offensif
Mais le fascisme devenu un gros mot, se voudrait démocrate
Mais le fascisme est aussi devenu technocrate !
Fausses disputes, vraies alliances
Comme Prigojine et Poutine, grand spectacle de fausse démence
Pour mieux conforter la romance, organisant tout son sale
Il s'agit toujours de faire la soupe gouvernementale
L'on y cause toujours la langue du capital
Hypocrisie et mépris dans le passe-partout démocrate
L'opinion n'a plus son courage
Le courage de son opinion
Quand tout devient sans vraie opinion
Tout pouvoir est fasciste, tout pouvoir est Macron
Ou tout pouvoir est tartempion
Tout pouvoir y a des actions
Faisant les réponses et les questions
Tout fascisme en nouvelle appellation
Ou pour le stalinisme, ou pour le libéralisme, de nouveaux noms
Tout pouvoir, rouge, brun, et nationalisme, en rebaptisation
Plus manifestement ou plus subtilement, libéral
Ainsi, du confusionnisme fatal
Concentré, diffus, intégré
Quand tout a été nazifié
Quand tout a été fascisé
Quand tout a été stalinisé
Depuis des décennies et ce dans le monde entier
Les idées gazées et bien diffusées
Des défaites de la pensée sans cesse renouvelées
Tout a été récupéré, déformé, falsifié, répété
En ce qui concerne les grandes idées du passé
Plus la peine d'un parti unique
Quand tous les partis sont cet unique
Cela fait longtemps que le fascisme est passé
Dans toutes les têtes, hélas, comme enclumé
Cela fait longtemps que le nazisme est passé
Dans toutes les têtes, hélas, comme enclumé
Nous sommes ainsi dans les lieux de l'écocidé
Mais comme une permanente fulgurance immarcescible
Tout y fabrique de la perversité irascible
Au tout incrusté dans une prison mentale
De toute secte, croyance, religion, idéologie, le mal !
Quand chaque être humain
Ne fait que produire du déchet
Ainsi, et par française et par français
En 2019
580 kg de déchets ménagers
Par an, c'est édifiant, en effet
Voilà bien, que, déjà
Le banal terrorisme d'Etat
Du monde de production obligatoire des riches
Par ailleurs, propriétaires de tous les médias
Et contrôlant, de ce fait, tout son do, ré, mi, fa, sol, la
Nous sommes devenus son ridicule
Nous sommes devenus son calcul
Femmes, hommes, enfants, tout son bidule
Avec nos notions
Il ou elle, du surdoué ou du nul
Mais comme rien n'est de naissance
Et de fait, les deux termes s'annulent
Avec tout un dressage à la bienséance
Selon les modes, temps, lieux, leurs propriétés en évidence
De nos propres intérêts proches ou lointains
Devenant des idéologies
Devenant des politiques
De nos propres intérêts proches ou lointains
Devenant des religions
Devenant des croyances
De nos intérêts proches ou lointains
Il faut n'avoir, donc, aucune idéologie ou aucune politique
Il faut n'avoir, donc, aucune croyance ou aucune religion
Il ne faudrait aucune armée, aucune police, aucune légion
Oasis de Pythie en orgie
Plaques tectoniques, ce qui crée, ce qui détruit
Accumulateur du cosmique vital
Simplement, l'abolition du capital
Du tout l'organisant, la femme si peu fatale
Moins en notre temps en clabaudant aussi, du capital
Ainsi, même dans l'ex-Internationale Situationniste
Il n'y eut qu'une femme pour dix hommes
Pour la femme, il est vrai, le temps y était plus machiste
Et chaque temps du vivant, pour tout, y fait son somme
Comme du souvenir qui parfois nous terrifie
Et quand tout l'est dans l'organisation de la folie !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique de socialité travestie

1 Juillet 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Nous
Sommes enfermés dans nos placards
Voitures, logements, divorces, mariages
Propriétés, locations, tout un carnage
Séparations
Elles sont nombreuses toutes nos obsessions
Elles sont nombreuses toutes nos cages
Nous en sommes les somnambules, hagards
De vastes entrepôts, de vastes hangars
Alors que :
La vie serait comme éternelle
Si la vie, nous la faisions belle
Abolition
De tous les préjugés
De tous les lieux communs
De tous les jugements de valeur
De toutes les religions
De toutes les idéologies
De toutes les hiérarchies
De toutes les compétitions
De toutes les nations
De toutes les frontières
De toutes les guerres
De toutes les traditions
De toutes les conventions
De toutes les conformations
De toutes les prétentions
De tout Etat, de tout gouvernement
Ce qui empêche de vivre, tout ce qui nous ment
Mais
Mais c'est donc le contraire qui régit tout
Nous en sommes les folles et les fous
Un château de cartes, s'effondrant, coucou !
De toute une socialité sexophobe
Tout y faisant concorde monophobe
Les sociétés de l'inhumanité s'y organisant
Les sociétés de l'inhumanité s'y structurant
Sur les pulsions sexuelles
Bien conditionnées et bien encadrées
Avec pour cela, policières et policiers
Il s'agit, dès l'école, de tout bien castrer
Avec l'alibi fabriqué
La société sait tout parfaitement instrumentaliser
Et toute une richesse
De tout l'administratif qu'elle s'accaparât
Tout y est très pervers
Ainsi
De refroidir des centrales nucléaires
Pompage jour et nuit, 40m3 par seconde
Pour ce qui est de l'eau encore potable
Médaille de bronze
Avec douze pour cent, le nucléaire
Médaille d'argent
Vingt-six pour cent pour l'eau potable
Médaille d'or
Agriculture, cinquante-huit pour cent
Ou aussi
Et c'est parti, mon kiki
1) CO2
2) Noir de suie
3) Méthane
Et le bonjour de la mort, cuicui !
Du réchauffement climatique
Le monde est une foutue trique
Cela en devient de l'apothéotique
Tout s'engraissant dans l'hétéronome
Et il y est bien dressé son autonome
Comme pour les algues vertes bretonnes
Algues brunes, sargasses, aux Antilles, au tout cacophone
Pour le fascisme libéral, tout cela, de la broutille, du nié
De l'odeur d'oeuf pourri, H2S, hydrogène sulfuré
Vraiment, dans la société marchande, tout déconne
Du poison de mort, comme l'orage, tout y tonne
Porcs, volailles, etc. Et du lisier, partout, pour s'y déverser
Comme la police fascisée qui a le droit de tuer
Quand elle se sait dans une bulle d'impunité
Et donc, il faut rester dans les clous
Être au normes
Sinon, ô folles, ô fous
Et l'on ne prêche qu'à l'homme déjà convaincu
Et l'on ne prêche qu'à la femme déjà convaincue
Groupe A
Des engrammes et du signifiant
Groupe B
Des engrammes et du signifiant
Groupe C
Des engrammes et du signifiant
Et ce jusqu'au groupe Z
De tout un codage nerveux
Donc, de tout un codage social
De tous les sons du capital
Et qui feront sens ou pas
Selon les éducations, n'est-ce pas ?
Selon les expériences, n'est-ce pas ?
Selon le milieu social, n'est-ce pas ?
Selon la culture, n'est-ce pas ?
Selon ses lectures, n'est-ce pas ?
Des temps et des lieux
De chaque temps du vivant
De chaque lieu du vivant !
Quand de tous les lieux
Quand de tous les temps
Se chauffant du même feu
De la dominante, du dominant
L'avant-garde de l'arrière-garde
L'arrière-garde de l'avant-garde
Sine die
De tous les faits, de tous les dits
Comme un permanent et silencieux
Du tout religieux et de tout dieu
Kim Phuc ( née en 1963 ) rescapée des bombes
8 juin 1972, l'armée USA/SA/SS, et son napalm
Avec le martyre du Sud-Viêt Nam
C'était autre planète, par exemple, pour Paname
Chacune, chacun, midi à sa porte
Ne voyant, de façon, que l'on en sorte
Ainsi, s'effectuant
Les petits chevaux législatifs, sournoisement
Feu Giovanni Damiani, grand écrivain fasciste
Qui fut au service des allemands
De la Gestapo, sur la bonne liste
Du roman policier, il fut le fervent
Finalement, il fit en petit
D'une autre façon, ce que fait toute gazomonarchie
Pas pire que la répugnante ( née en 1966 ) Paula White
Fasciste religieuse avec derrière toute une idéologie nazie !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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