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De l'interconnexion globalisée et mondialisée

20 Juin 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

La pensée séparée
D'elle-même et des autres
Fut rebaptisée, c'est normal
Dissonance cognitive, mais même mal
Par les diverses voix du capital
Ainsi
Un seul exemple, en pensée globale
Sans aucun réductionnisme
Sans aucun fatalisme
Sans aucun particularisme
Pour toute inégalité, du local au global
Pour comprendre vraiment
La moindre des inégalités
Car ainsi, c'est comprendre vraiment
Toutes les inégalités
Et donc la moindre injustice
En protection des armées et de la police
Car toutes les inégalités
Sont liées, reliées, interconnectées
Un seul exemple y suffit
Tout, partout, y étant de la même lie
Et il y a toujours pire
Là, où tout est empire
Ainsi, historiquement
La France, un pays de racisme
La France, un pays de fascisme
Dont l'Italie sut s'inspirer
Mais au début, son antisémitisme fut nié
D'autres pays aussi, divers nationalismes
Donc, comme en France, les pensions de retraite
Pour se rendre compte, si simple, si bête
Hommes, en pension mensuelle moyenne
1924 euros
Femmes, en pension mensuelle moyenne
1145 euros
Et en mélangé, pension mensuelle moyenne
1503 euros bruts
Hors réversion, tout de même
Avec sans doute, en ridicule, une doyenne
Le capital est la pire des brutes !
C'est comme pour les gens du voyage
Qui vont de cage en cage
France, 1358 aires d'accueil
Mais en réalité que des écueils
Tu parles, mon oeil
De mon oeil gauche si abîmé
Car
698 aires d'accueil, pour beaucoup, très polluées
Tant de lieux de la mise à l'écart
Confort minimal, de quoi en avoir marre
Et ce, pour environ, 300.000 personnes
Et il y a tant de bureaucratiques préliminaires
Face à l'urgence, face au liminaire
Que l'on peut s'interloquer
Que l'on peut se demander
Si tout, et partout, en tout, en plus ou moins
N'est pas comme au Mexique, au tout malsain
Des cartels de police
Des cartels de drogue, du complice
De la corruption, de la malice
Fosses communes, assassinats de masse
Et aussi, au tout face, 400 millions d'oiseaux
Qui ont disparu en trente ans
D'un fait l'autre, au tout navrant
Au tout dégueulant
Le capital ne construit rien, il CASSE
Avec des merdias médias qui sont sa propriété
Et dans nos caboches qui sont ainsi cadenassées
Le capital est un maquereau
Nous en sommes les putains
La plupart
Des programmes de la télévision
La plupart
Des programmes de la radio
Ne font qu'entretenir le système
La fausse contestation, ainsi, les gens l'aiment
Partis, syndicats, organisations, le même thème
Pas étonnant
Avec la virilité fascisante qui s'apprend
Si
Dans un accident de la route
Vaille que vaille, coûte que coûte
Une femme a 47 pour cent de probabilités
De plus qu'un homme, de se retrouver, accidentée
De plus
Toujours pas esbaudissant
Si dans l'ordre de l'utilisation
Et dans la logique de la consommation
1) Sable
2) Eau
3) Pétrole
Certes
Il y a environ 10 puissance 24  de grains de sable
Mais notre monde est fini et rien n'y est inépuisable !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Prison des déterminants et des automatisants

13 Juin 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

" Quand vous vous saisissez d'une tasse de café, le mouvement de chaque atome de votre main, de votre bras, de votre corps et de votre cerveau est entièrement régi par les lois de la physique. La vie n'est rien de moins que de la physique chorégraphiée. "
 
Jusqu'à la fin des temps de Brian Greene. ED: Flammarion
 
Tous les cas
De toute figure
Ont existé
Tous les cas
De figure
Existent
Tous les cas
De figure
Et qui du contraire se figurent
Existeront
Toutes les convenances
Toutes les inconvenances
Toutes les outrances
En toutes choses
En tous domaines
En toute perfection
En toute imperfection
Tous les systèmes politiques
Tous les systèmes philosophiques
Tous les systèmes scientifiques
Tous les ratages, essais, critiques
Toutes les sexualités
Tous les films, tous les livres
Toutes les sociétés et toutes les cultures
Toutes les ratures
Cela arrive déjà, quelque part
Cela est déjà arrivé, quelque part
Cela arrivera, quelque part
Avec tout ce que l'on ne peut
Encore concevoir
Avec tout ce que l'on ne peut
Encore imaginer ou prévoir !
Certes
Selon, chaque unicité
Certes
Selon, chaque singularité
Cette marotte
Qui me trotte
Qui me tirlipote
Ce que nous pensons
D'autres le pensent
Ce que nous faisons
D'autres le font
L'ont pensé, le penseront
L'on fait, le feront
Je voudrais une tranche de vie
De quelle époque ?
De quelle défroque ?
Au tout loufoque, j'en ris
Si tous les autres
Si toutes les autres
Qui sont en moi
Qui sont en toi
En nous
En vous
Et qui font la loi
En sortaient
Quelle foule, cela ferait !
Et cela fait du moi
Et cela fait du toi
Du vous, du nous
Du il, du elle, c'est fou
Avec la prison de toutes les prisons
La prison de notre engrammation
La prison de notre programmation
Et même le sachant
Et même le contrôlant
Comme une impossible évasion
Car, le tissu social
Car, le tissu culturel
Car, le tissu religieux
Car, le tissu idéologique
Car, le tissu écologique
C'est du transformé en tissu nerveux
Dans nos veines et dans nos artères
Depuis le ventre de la mère
Nous nous baignons dedans
Et c'est horrible à dire
Mais il faut oser l'écrire
De toute action, il faut l'acquittement
Se jouant de nous, l'excuse de l'inconscient
Avec une propension
Comme folioscope en possession
Dans toute sa dépossession
Flûte alors
Nous sommes, avons été, serons
Les personnages d'un livre
Des fictions du cinéma
Des créations imaginaires
D'anciens vivants, d'anciennes vivantes
D'anciens morts, d'anciennes mortes
Zut alors
Femmes, enfants, hommes
Nés ainsi, je ne sais combien de fois ?
Femmes, enfants, hommes
Morts et mortes, je ne sais combien de fois ?
Mais ouf
Mais plouf
Comme si cela n'était qu'une seule fois !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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Le satyre de la satire

6 Juin 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Des français, gestapistes
Comme sous Vichy, encore en piste
Plus français
Que les français
Traitant les autres comme des métèques
Eux-mêmes ont des noms de métèques
Sans doute des complexés
Sans doute des refoulés
Et au village de Zemmour
L'on ne fait jamais un four
Il y a même toute une cour
Avec des gardes du corps
Car on leur souhaite un mauvais sort
Sachant
Provoquer des colères politiques
Tellement est puissante leur débilité frénétique
Et puis
Aucun minus télévisuel
Toujours s'aplatissant, leur fait la part belle
Une balle
Une rafale
Pour ce qui ne vaut que dalle
Toute une extrême droite du capital
Qui se pavane, qui se régale
Avec des juifs
Contre les juifs
Avec des arabes
Contre les arabes
La télévision leur donne du rab
La petite bourgeoisie réactionnaire en raffole
Sa petite culotte s'y affriole
Sa mouille s'y colle
Toutes les propriétés s'y accolent
Avec leurs diplômes assermentés
En de la culture soumise et aveuglée !
Et quand, partout, trop d'imbéciles
Il finit par y avoir la guerre sociale, la guerre civile
Mais
L'armée et la police
Ont des armes, la force, la loi
Mais, les armées et les diverses polices
Alliées des droites, font peur, ma foi
Toujours du côté
Du fascisme
Du nazisme
Du libéralisme
De divers nationalismes
Et donc, du capitalisme
Et qui purent ainsi, liquider
Les anarchistes, les gauchistes, les communistes
Sans pour autant, devenir
Il le prouva, l'avenir
Des anarchistes, des gauchistes, des communistes
Donc
L'on pourrait liquider
Le fascisme
Le nazisme
Le stalinisme
Le libéralisme
Les divers nationalismes
Et donc, le capitalisme
Sans devenir pour autant
Car pour ce faire, les imitant
Des fascistes
Des nazis
Des staliniens
Des libéraux
Des divers nationalistes
Mais, l'on ne peut bâtir
Une société idéale et sociale
Sur des monceaux de cadavres
Et comme tout a été bâti
Sur des monceaux de cadavres
Tout est du cadavre !
Mais tout ceci
Est de la satire en raillerie
De la paraphysique satire
Car de toute politique, je suis le satyre !
Bref
De quoi, quand même, avoir de la haine
De quoi avoir de la peine
J'imagine une manifestation
De toutes les fausses contestations
Où tout le monde
En viendrait aux mains
Où tout le monde
Sortiraient les poings
Enfin
Quelle rigolade
Enfin
Quelle poilade
L'unité
De la fausse conscience
La fausse conscience
De l'unité
De ce monde répugnant
De ce monde fascisant
Je suis le dégoûté
Je suis l'inconsolé
Je suis le dégueulé
Comme et avec beaucoup d'autres
Contre toutes les menteries, encore quelques apôtres
Et à force de reptation
Toute une communion de l'acceptation
Partis et syndicats en collusion
Un monde génocidaire
Un monde réactionnaire
La vérité pendue à un réverbère
Avec nos têtes remplies de merde capitaliste
Quand même, tu exagères, merde, sale misanthrope anarchiste
Mais, tout ceci est de la satire
Car, de toute politique, je suis le satyre !

Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

 

 

 

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Logométrie logomachique

3 Juin 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Toute une logométrie
Avec sa fraction de logomachie
Propre à chaque idéologie
Propre à chaque religion
Avec leur propre logique
Avec leur propre déterminisme
La logométrie
Avec sa fraction de logomachie
Propre à toute dominance
Propre à toute hiérarchie
Avec des soucoupes volantes, ovnis
Projection de l'anthropométrie
L'imaginaire de l'anthropométrie
Anthropocentrisme en trou de souris
Car
Si les hommes les plus cruels font l'Histoire
Car
Si les femmes les plus cruelles font l'Histoire
Imposant, ainsi, ce qu'il faut croire
Imposant, ainsi, ce qu'il faut savoir
Tout s'étant fait et se faisant à leurs images
Quand seul importe la victoire
Quand seul importe le pouvoir
Et tout sur ce passage est au tout saccage
L'architecture
Des plus impitoyables
La culture
Des plus impitoyables
Le sport
Des plus impitoyables
Le divertissement
Des plus impitoyables
L'industrie
Des plus impitoyables
La technologie
Des plus impitoyables
Et dans chaque tête, de l'impitoyable !
Ainsi
Si feu ( 1881 - 1942 ) Stefan Zweig s'est suicidé
C'est qu'il avait trop bien compris
Qu'avoir permis le régime nazi
De tout un monde démissionnaire
Qu'après et de toutes façons
Elle ne serait plus jamais la même, la chanson
Ainsi
Si feu ( 1931 - 1989 ) Thomas Bernhard
Est mort à 58 ans d'une maladie
C'est que lui aussi, avait bien compris
Que l'Autriche était encore et toujours nazie
Et que le monde, le deviendrait aussi
D'une façon l'autre et petit à petit
Avec d'autres armes, quoique, les matraques font mal
Et ou avec des masques de carnaval
Chaque fascisme traitant l'autre de fascisme
Pas étonnant
Si tant de personnes
Sont comme mortes dans la vie
Pas étonnant
Si tant de personnes
Sont comme vivantes dans la mort
Et au fond
Tout est de la supercherie
Et au fond
Tout est de l'escroquerie
Et au fond
Tout est de la tromperie, de la vilenie
Vie de la mort
Mort de la vie
Le temps de l'extrême droite
Le temps de la pensée étroite
Des têtes comme des seaux vides
Que l'on remplit d'eaux crasseuses et livides !
Et dans ton berceau
Il y avait un piano
Et dans ton berceau
Ceci ou cela, la fabrique des idiots
Mais, alors
Il ne s'agit pas d'un sort
Et à la naissance
J'avais la même paye que mon patron
Se dit tout garçon
Sans être pour autant, fanfaron
Et selon chaque classe sociale
Et selon chaque catégorie sociale
Et selon chaque corporation ou caste
Comme si l'on avait signé un pacte
Préjugés, lieux communs, jugements de valeur
Chaque seconde, chaque minute, chaque heure
Et l'on vous fait croire à votre liberté
Pour mieux vous soumettre et vous exploiter
Pour mieux vous dominer
Pour mieux vous faire tout accepter
La liberté
Sait, qu'elle ne peut exister, la liberté
L'on ne choisit jamais rien
Car chaque être humain est un produit
De son milieu fini, de son environnement fini
De ses déterminismes sociaux infinis
De ses automatismes sociaux infinis
Et ne faisant que répéter
Et ne faisant qu'imiter
Et ne faisant que reproduire
Ce faisant, rien ne peut vraiment finir
Les religions, les idéologies, les croyances
Toute une engeance
Toute une vengeance
Conflits, guerres, massacres, génocides
Des coups d'Etat
Mais pas de révolution, voilà
De la révolte, mais vite réprimée, c'est bien cela
Assassinats, meurtres, tortures, homicides
Des individus aux sociétés, au tout putride
Quel beau monde, que voilà !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique : Anthropophonie, biophonie, géophonie, astrophonie

1 Juin 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Mes écrits
Sont nuls à chier
La fureur de ce qui nie
La rumeur des voix harpies
Mais d'autres le pensent aussi
Comme moi, parfois, c'est ainsi
Mais au moins, cela aura servi
Pour tous les constipés
Pour toutes les constipées
Qui devraient, pour cela, m'en féliciter
Mieux que les dragées Fuca
Avec moi, c'est radical, voilà
De toutes mes anacoluthes
Qui sont toujours en lutte
Oui
Je le sais
D'ailleurs, de ce que je ponds, rien ne me satisfait
Ce ne sont que des pets
Sans aucun présent
Puisqu'il n'existe pas, le présent
En physique, il est toujours absent
Car, même dans une seconde
Des tas et des tas de monde
Toute une imperceptible faconde
Du subliminal
Que l'inconscient enregistre sans mal
De ce que l'on pense ne pas avoir vu
De ce que l'on pense ne pas avoir entendu
Tout, ainsi, se joue de nous, fatal !
( bis ! ) Mes écrits
Sont nuls à chier
La fureur de ce qui nie
La rumeur des voix harpies
Mais d'autres le pensent aussi
Au moins, cela aura servi
Pour tous les constipés
Pour toutes les constipées
Mais, je n'attends aucun merci
Tant mieux ou tant pis
Et de bien des vilenies
L'invisibilité sociale peut bien protéger
De toutes les religions
Qui voudraient, sinon, vous lapider
De toutes les idéologies
Qui voudraient, sinon, vous lyncher
Comme de toutes les colonisations
En déni de toute restitution
De tous les vols, de toutes les spoliations
De bien des pays africains
Pillés, volés, des larcins sans fin
De France et d'ailleurs
Tous les musées menteurs
La plupart des objets exposés
Pour beaucoup, sont au tout volé
Et, s'il fallait tout restituer
Certains musées français seraient bien vidés
Car
Tant de musées, de faux, sont gorgés
Tant de musées, au tout volé, au tout pillé !
Avec des discours politiques
Avec des modèles du discours logique
Justifiant, ainsi, toute initiative
Ou, réfutant ainsi, toute initiative
Au moins
Pour paraphraser le savant
Primatologue, éthologue, ironisant
Frans de Waal ( né en 1948 ), toujours franc
Le chimpanzé est un politicien honnête
Lui, veut le pouvoir
Lui, au moins, le fait savoir
Car, l'homme politique humain
Lui, est un chimpanzé qui serait malhonnête
Qui dissimulerait sous un air bête
Toute une politique du truqué
Comme le football, Coupe du monde fascisé
1978, en Argentine, match Argentine-Pérou, truqué
Avec des militaires fascistes au pouvoir
Argentine 6, Pérou 0, vaste foire
Le monde entier prit pour une poire
Et, depuis toujours
Que le capital fait sa cour
En tous les domaines
C'est une même scène
Variants, mutants, de nouveaux mécènes
Avec dans l'entropie du monde et de sa folie
Anthropophonie, biophonie
Géophonie, astrophonie
Toute une cohésion du gâchis !
Rien, vraiment, ne se tarit
En tout, un même babillage
En tout, un même habillage
Et sous chaque habit, encore la rage
Comme les réseaux albanais de prostitution
Avec les pays de l'Est, le trottoir en institution
Traite des blanches, esclavage sexuel
Femmes vagins, la vie n'est pas belle
Femmes bouches, quand la vie est cruelle
Et alors
Pour être un peu retord
Un milliardième
De milliardième de milliardième de seconde
Après le Big Bang, et si l'on sonde
Gravité étirée répulsive, de l'espace
Inflation avant concentration
Inflation après expansion
De la désintégration
De l'évaporation
Toute une amoralité
De la construction des mondes
De la destruction des mondes
De façon naturelle
De façon artificielle
Hors toute moralité
Hors toute immoralité
Et mieux vaut
En toutes les choses et en tous les domaines
Trop douter que trop croire
En chaque matin et en chaque soir !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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