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Le virus de l'environnementome

15 Avril 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Au Maroc
Masques en vente
Qui pourtant, ne s'en vante
Dans les supermarchés, tout un stock
Huit centimes d'euros
En cette matière, du présent viral, la France fait rideau
Tandis qu'en République tchèque
Au pays du fameux coureur, feu Emil ZATOPEK
Gratuité
Distributeurs de masques proposés
En France
Pays du fascisme, historique
Pays du racisme, historique
Dont s'inspireront toutes les triques
Peu ou pas de masques
Voilà qui classe, voilà qui marque
Par contre, ce pays matraque
Vient de commander
Des aérosols lacrymogènes à diffusion dispersive
La répression toujours à l'offensive
Et là, l'on sait prévoir
Dans toute officine de pouvoir
3,6 millions d'euros hors taxes
Et rien que pour de la partielle contestation
Ne songeant, surtout, qu'à remplacer la domination
Sinon
Cela serait au canon
Sinon
Cela serait, à la mitrailleuse, au clairon !
Et pour mémoire
Toute une propagande instrumentalisante, qui se fait voir
Et tant d'autres exemples que l'on ne peut que croire
En exemple, 25000 personnes, environ, dans le monde
Qui meurent de faim, chaque jour, cela est proprement immonde
Beaucoup plus, pour l'instant, boule de cristal qui sonde
Qu'en France, d'un virus, dont la propagande nous inonde
Voilà qui est dit
Et, hélas, tout est dit
Le virus de l'environnementome
L'environnementome du virus
C'est là, toute l'organisation de la société
Plus grande folie, que toutes les saletés
Comme les exterminations de masse
Bien cachées, car toute votation, cela casse
Des staliniens
Massacrant quatre millions d'ukrainiens
Staliniens, se liquidant entre eux, pas si malins
Plus que du capital
Qui serait le mal
Ou toute autre appellation
C'est surtout, de tout cerveau, une engrammation
Du conditionnement, de l'abêtissement, de la programmation
Tout un asservissement de soumission
Il faudrait, surtout, apprendre autre chose
Autres déterminants, autres causes
Tout nom devrait devenir superflu
Comme tout papier qui deviendrait incongru
Le prénom que l'on se donnerait
Entendu et lu, serait
Plus besoin de citer qui que ce soit
Car chaque être humain serait le roi
Ce que je saurais
Tu le saurais
Ce que je voudrais
Tu le voudrais
L'humanité dans toute personne
Toute personne dans l'humanité !
Tout je est une imposture
Tout je est une forfaiture
Plus qu'une fausseté
Comme une malhonnêteté
Les autres faisant notre codage nerveux
De l'encodage social, devenant neuronal
Environnementome
Du premier au dernier tome
Personne
Ne devrait dire, je sais
Mais, nous savons
Ou plus justement, nous croyons savoir
Avec le doute prudent, du croire
Car
Même la pensée la plus marginale
Car
Même la pensée la moins banale, la plus originale
C'est toujours du transport en commun
D'autres aussi, donc, en plus ou en moins
Rien n'est inférieur
Rien n'est supérieur
Aucune intolérance
Dans toute différence
La liberté
Sait qu'il n'existe aucune liberté
La conscience
Sait que partout, c'est de l'inconscience
Sait que partout, c'est de la recherche de la dominance
De tout individu
Du syndicat, du patronat, du parti, de l'organisation, c'est convenu
Comme dans tous les milieux militants
Certains plus encore que d'autres, au tout PUANT
De toutes convictions et donc de tous les bords
Bâbord et tribord
Qui ont toujours raison, jamais torts
Et depuis le temps qu'on bouquine
Et depuis le temps qu'on voit des films
Les tueries ne sont pourtant jamais mesquines
Toutes les guerres de territoire, qui éliminent
Comme si lire ne servait à rien
Comme si voir des films ne servait à rien
Tout y a été pourtant, exposé
Tout y a été pourtant, comme dans les documentaires, dénoncé
Mais rien, nonobstant
Pour du vrai changement
Tout cela entretenant, finalement
La bête, le capital, le système, la société
Appelez cela comme vous le voudrez
Et surtout, comme vous le pourrez
Entretenant, donc, sa maquerelle ou son maquereau
D'excréments déversés dans son seau
Pandémies diverses, maladies mentales et physiques, inégalités
Et à chacun, chacune, sa plus-value, pour y participer
Tout gouvernement est un vampire
Qui de toute crise accroît son empire !

Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

 

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Vraie révolution et fausse contestation

13 Avril 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

" Être mort de son vivant, c'est ça la vraie mort "

Henry Miller ( 1891 - 1980 ) romancier et essayiste

Dietrich Von Choltitz
Notoire falsificateur
Qui en août 1944, obéit aux ordres d'Hitler
Et non pas le contraire
Des endroits stratégiques furent minés
Mais, la résistance parisienne sut l'empêcher
Sinon, Paris aurait brûlé
Sinon, Paris aurait été ravagé
Il y eut, malgré tout
Elle est tenace, la rage des fous
Quelques V1 et V2, mais pas beaucoup
Car Paris ne fut plus ciblé
Anvers, Londres, devenant des priorités
Mais, toute mémoire déforme les faits
Du moment que cela plaît
La mémoire des vainqueurs
Qui mettent tout à leur heure
La mémoire des vaincus
Dont l'on n'a rien su
La mémoire des vainqueurs
La mémoire des falsificateurs
De faux vainqueurs
De vrais vaincus
Et la vie mangée toute crue
De la vraie mort comme le disait feu Henry Miller
Plus le droit de rien faire
Juste le droit de se taire !
Avec des féministes vaginocrates
Pendant des hommes phallocrates
Tout une conception du sexe, réactionnaire
Qui interdirait, de nouveau,  les livres de feu Henry Miller
Lui qui aimait tant les nichons
Lui qui aimait tant les vagin
Mais le réduire à cela, certes, serait vain
Tout un érotisme de tendre sensualité
Tout un érotisme de cérébralité
Dans un contexte érudit de grande générosité
Hors le champ du droit de cuissage
L'argent du droit de passage
L'argent de notre véritable dressage
Mettez des pièces dans la fente
Métaphore de ce qui tente
Et la tirelire s'ouvrira
Et ta libido, tu assouviras
Comme un droit de violer, finalement
Et forcé ou volontaire, le consentement
Avec des films que l'on ne pourrait plus faire
Car cela n'est plus dans l'air
Comme mon cousin, réalisateur indépendant
Voulant adapter la trilogie du Hotu
Certes, trop cher, d'autres impossibilités, évidemment
Et puis, Albert Simonin, c'est trop cru
Ou alors
Juste pour le plaisir
Avec quelques personnes pour le lire
Pourtant, juste une histoire, des années vingt, du milieu
De la prostitution de jadis, de ses lieux
Mais l'artillerie lourde
Féministes sexistes, puritaines et réactionnaires, si gourdes
Qui aux misères sexuelles restent sourdes !
Toute une pruderie forcenée
Comme liée à une pornographie stéréotypée
Les deux font la paire
Les deux font la misère
Les deux font la guerre
Comme ensemble, des personnes enfermées
Sans fuite possible, et ne pouvant plus se supporter
Du couple, du groupe, l'enfer incarné
Et tout existe, a existé, existera
Toute invraisemblance, toute circonstance, voilà
Tout ayant été répété
Tout ayant été oublié
Vrais et faux souvenirs
Vrais et faux soupirs
Tout se confondant
Tout se conjuguant
Comme si tout était une tromperie
Comme si tout était une menterie
Et même à la télé
L'on se demande, c'est quoi la réalité ?
La mienne ?
La sienne ?
La tienne ?
Sauf celle de l'effondrement
Et nous sommes déjà, dedans !
Disparition des insectes, l'espèce humaine, la plus bête
Disparition de la biodiversité, l'espèce humaine, la plus infecte
Au tout égocentré
Au tout suicidé
Au tout magalomanisé
Au tout galvaudé
Au tout imité et répété
Que peut-on croire ?
Qui peut-on croire ?
Comme le mot de révolution
Rimant avec fausse contestation
La révolution de la contestation
N'est pas la contestation de la révolution
La libérale ?
La nationale ?
La gauchiste ?
La fasciste ?
Toutes les grandes gueules s'y disputent
Dominants et dominantes qui y mutent
Toutes les versions du capital
Et en ce domaine
Comme dans tous les domaines
Encore mieux aucun ami
Que de faux amis
Et en ultime conclusion
C'est de A à Z, que tout doit être remis en question !

Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

 

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Coalescence des aberrations

11 Avril 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

" Et que l'univers est vide. Si les étoiles étaient des brins d'herbe, l'écart entre eux serait de plus de cent kilomètres.

Aurélien Barrau ( physicien et philosophe )
Des univers multiples

Rien, n'est d'aujourd'hui
D'ailleurs ou d'ici
1 et 0, au tout binaire
Déjà, feu G.W. Leibniz
( 1646 - 1716 )
Savant devançant son temps, interdisciplinaire
Comme en marche athlétique, Yohann Diniz
Donc, des machines à calculer
Pascal, Leibniz, en avaient fabriquées
Avec des réseaux informatiques
Déjà conçus, au niveau de la mathématique
Tous les mondes sosies
Tous les êtres sosies
Du coq à l'âne, c'est ma manne, et oui
Même sans les mondes multiples
Du cosmologique au quantique
De l'euclidien à l'hyperbolique
Mais simplement de notre propre Univers
Des mondes où je suis toi
Des mondes où je suis il
Des mondes où je suis gueux ou roi
Mêmes vies, d'autres vies, d'autres moi
Nous sommes galaxies
Nous sommes des morts et des vies !

" En effet, ces univers identiques auraient les mêmes passés, mais pas nécessairement les mêmes futurs. Si ces volumes de Hubble grandissent, de nouveaux " objets " en général différents d'une région à l'autre, vont potentiellement y pénétrer et générer des évolutions différentes. Les copies peuvent diverger. "

Aurélien Barrau ( physicien et philosophe )
Des univers multiples

Et aussi, des planètes
Comme la Terre, mais à la Renaissance
Parfois, du début à la fin, rigoureuse correspondance
Comme la Terre, mais à l'époque des dinosaures
Comme la Terre, mais en 2578
Comme la Terre, mais à l'époque de la Grèce antique
Dans un voyage de mécanique quantique
De l'expérience de pensée, vitesse superluminique
Début des mondes
Fin des mondes
Toutes les époques
Tout un stock
Qui de nos certitudes se moquent
Qui de nos habitudes font toc-toc
Surtout de nos esprits
Qui sont si rétrécis
Du bon sens, en dépit
Tout est fait, la cruauté comme essence
Sinon
Il n'y aurait pas
Car l'organisation de la vie, s'y opposerait
N'est-ce pas ?
Car, voici quelques faits
En France, trente mille décès
Inhérents au froid en 1963
660 campements et bidonvilles français
Ce en avril 2020
32000 adultes et enfants, premiers de viralité!
Pour le désastre de la gestion, c'est 20 sur 20
Et toujours vous votez
Voilà bien de la complicité
Car, c'est au tout vilain
Zoonose
Soixante pour cent
Des maladies infectieuses, chez l'homme
C'est de l'origine animale, en somme
Des animaux non humains
Aux animaux humains
Avec aussi 75 pour cent des maladies émergentes
L'économie de ce monde est totalement démente
Avec la bénédiction des dominants et des dominantes
Des crimes contre l'humanité
De toute une fin spectacularisée
De toute une fin programmée
C'est au pas de quartier
Il y a ceux et celles
Qui croient vivre
Il y a ceux et celles
Qui croient les regarder vivre
Acteurs et actrices
Spectateurs et spectatrices
Qui de plus en plus, ne font plus qu'un
Qui de plus en plus, ne sont plus rien
Comme
Des compulsions de répétitions freudiennes
Quoi qu'il en coûte, quoi qu'il advienne
Et je n'ai pas le gros cou
Comme l'on dit en Belgique
Pays champion incontesté de l'humour fou
Toute une coalescence frénétique
Mais comme chaque être vivant est unique
Il faut de l'humilité pour ne pas être égocentrique
C'est là, l'apanage, de l'espèce humaine, si destructrice !

" Probabilité d'apparition de notre univers : 1 sur 10 puissance 59, cinquante neuf zéros, tirer les 6 bons numéros au loto cosmique, encore plus improbable qu'au loto humain . "

Aurélien Barrau ( physicien et philosophe )
Des univers multiples

Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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Le confinement du contrôle des populations

5 Avril 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Culture de la dominance
La dominance de la culture
La culture des bourgeoisies
Les bourgeoisies de la culture
Qui récupèrent tout
Qui s'approprient tout
La bourgeoisie première classe révolutionnaire
Qui au fil du temps historique devint réactionnaire
Mais si la révolution bourgeoise est faite
La révolution prolétarienne reste à faire, allant de défaite en défaite
Comme le dit feu G.E.Debord, d'une façon si nette
Et pour paraphraser feu le poète chanteur Léo Ferré
Les révolutions, cela les amuse avant de les intéresser
L'on peut d'ailleurs être con
Et être même cultivé
L'on peut d'ailleurs être conne
Et être même cultivée
De même
L'on peut être conscient ou connaissant
Avec peu ou pas de culture
De même
L'on peut être consciente ou connaissante
Avec peu ou pas de culture
Mais quelle culture ?
La scientifique, la philosophique, la sportive, la poétique, la littéraire
Et tous les autres airs
De l'érudition dans l'une, dans l'autre la perdition
Et puis
L'on est toujours
Inculte pour certains et certaines
Et puis
L'on est toujours
En érudition pour certains et certaines
L'on trouve de tout comme jadis à la Samaritaine
Et dans une société harmonieuse et équilibrée
Qui serait, pour nous, difficile à imaginer
Ni juge, ni avocat, ni policier
Et au féminin cela peut se conjuguer !
Si l'on évoque le récent confinement
Qui aurait pu être évité en procédant autrement
En amont, au tout social, évidemment
Tous pour les hôpitaux et la sécurité des gens
Mais là, comme les riches et les notables ne sont pas épargnés
L'on en fait cas, et rien, si cela n'avait touché que la pauvreté
Mais, même à Hong Kong, mégapole de 7,5 millions de personnes
L'on s'y était préparé d'avance, et ainsi, la cloche sonne
En rapport populationnel, peu de contamination et quelques décès
Et donc, le gouvernement français de la crise sanitaire, bientôt, en procès !
Car, il y eut déjà, des précédents
Dont ne tint compte aucun président
1920
La peste aux abords de Paris
1957
La grippe asiatique, 100.000 décès en France
Mais, après moi le déluge, mot d'ordre de la finance
Instrumentalisant
De bons prétextes et du larmoyant
Avec du peuple, l'assentiment
Tout un fascisme de répression
Tout un fascisme de surveillance et d'oppression
Police, armée, partout, en habituation
Pétain revient
Tu as oublié tes chiens
Et donc des prétextes de continuation
Pour totalement contrôler les populations !
Donc
Sous le règne de l'argent, tout génère de l'isolement
Toutes les idéologies, isolant et s'isolant
Toutes les religions, isolant, et s'isolant
Chaque groupe humain, sa grille interprétative, voulant l'imposer
Sans compter
Ici, comme souvent, l'erreur serait de généraliser
Que la plupart des idées sont là pour nous cadenasser
Aussi
Il ne faudrait aucune notoriété
Il ne  faudrait aucune célébrité
Quand seuls des gens connus
Ou alors de faux inconnus
Ont le droit de s'exprimer
Ont le droit d'être écoutés
Car, l'on ne peut que le constater
Ce sont des biais via l'autorité
Et de toute autorité
Il faudrait se défaire et la refuser
Si tout individu devenait ingouvernable
L'on pourrait enfin partager la table
Mais
Toutes les bourgeoisies
Sont frileuses
Mais
Toutes les bourgeoisies
Sont peureuses
Mais sont, tels des membres amputés
Qui toujours savent repousser
Pas besoin, ici, des étonnantes planaires
Dont les tissus se régénèrent
Il faudrait le blob, physarum polycephalum
Contre ces cancers érigés en summum !
Peu importe le prétexte
Même avec un bon texte
Tout confinement
Car, pour l'indigence, c'est différent
Et c'est forcement plus éprouvant
Que pour l'opulence, c'est assez évident
De l'espace vital
Qui se paie cher sous le capital
Quand tout roule
Quand tout va bien
Nulle part, au pire, une petite houle
Pas difficile de faire le gentil ,d'aller bien
Pas difficile de faire la gentille, d'aller bien
Mais dans un système pareil, qui peut vraiment aller bien ?
Quand rien ne roule
Quand rien ne va bien
C'est plus difficile de faire le gentil, d'aller bien
C'est plus difficile de faire la gentille, d'aller bien
Et inhibition de l'action
Pour tous et toutes
Et réaction organique à l'agression
Pour tous et toutes
Ainsi, des gens connus
Prêts à tout pour montrer leurs culs
Avec des admirateurs et des admiratrices
Prison des tuteurs et des tutrices
Cela passe si vite, les caprices
De cela, peu est vu
Et la vie courante partagée serait totalement destructrice
C'est l'éternel, j'aime ce qu'il fait
C'est l'éternel, j'aime ce qu'elle fait
Mais, je ne pourrais pas vivre avec
En n'importe quel domaine
Bon sens, de la nana ou du mec
Cela étant dit, sans envie, et sans haine
Bref
Tout enfermement
Tout confinement
En soi, avec ou de part les autres
L'enfermement du confinement
Le confinement de l'enfermement
Ce sont,avant tout des mentalités
C'est de l'organisation de la société !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 
 

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Numerus clausus du FERMEZ VOS GUEULES !

3 Avril 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Me voici
Censuré sur des sites
Hier, comme aujourd'hui
Se réclamant de l'anarchie
Chacun et chacune avec son anarchie
C'est pas la mienne, et l'on te chie
De la contamination réactionnaire
Et donc, de l'infiltration en milieu libertaire
Comme l'instrumentalisation de virus en trou de ver
Il faut toujours que j'expulse mes colères
De l'estomac, cela peut éviter le cancer
Et si les raisons de ces gens, pour m'exclure, sont justifiées, j'en reste amère
Anarchistes lignistes
Des endroits où l'on ne me serrerait pas la main
Souvent de jeunes incultes
Souvent, des vieux qui se butent
Pas de quoi s'étonner
Depuis des années et des années
Tous les esprits nazifiés
Tous les esprits fascisés
Tous les esprits droitisés
Il faut suivre la ligne
Sinon, vous êtes l'indigne
La ligne du parti
La ligne de l'organisation
La ligne du syndicat
La ligne du site, et tout est dit
Et toute ligne, c'est du caca
Haï universellement, je suis, voilà !
Toute idéologie
C'est de l'esprit de troupeau
Toute religion
C'est de l'esprit de troupeau
Toute manifestation, le plus souvent
C'est de l'esprit de troupeau
De la nouvelle jeunesse, de nouveaux seaux
Une vérité dont personne ne veut
Regarder cela en face, qui le peut ?
Comme un virus
Du FERMEZ VOS GUEULES en numerus clausus
Prière de tout accepter
Partout la police, partout l'armée
C'est pour votre bien et plus aucune liberté
Mais alors, et le virus des accidents de la route ?
Chaque année, dans le monde, mais personne ne l'écoute
Un million de mortes et de morts, et là, ni police, ni armée, dans la soute !
Et toute digression, sur celui, sur celle, quand on l'ose
Aucune pause, du en joue, feu
Avec des drones chez vous, de mieux en mieux
Bref
De la fausse démocratie
Mais, de la vraie tyrannie
Finalement
Ne participer à rien
Grève de l'acte cioranien
Cela peut-être bien
Pour ne pas, ne plus se tromper
Par la déception, ne pas être rongé
Il faudrait tout boycotter
Quand tout est aberré
Comme nos prétendus philosophes de télé
Tout un assortiment de faussaires assermentés
Et c'est arte qui est la chaîne de télé, la moins polluée
Ni amour, ni amitié
Quand tout est devenu fausseté
Et je ne suis pas nihiliste
C'est toute la présente organisation du monde qui est nihiliste
Il n'y a quasiment plus que divers dogmatismes
De tous les échouages des ismes
Certes, jadis, en Espagne républicaine, il y eut l'anarchosyndicalisme
Voilà pourquoi, Michèle Bernstein ( née en 1932 ) proposa
En 1957, le terme de situationniste, que son succès, forgea
Du nihilisme, de tous, de toutes, de moi, l'on pourrait le dire
Et de moi, l'on va encore médire
En-dehors, en-dehors, je dois le dire
Très jeune, j'étais un stirnérien
En vieillissant, je le redeviens !
Et vous
C'est quoi votre fascisme ?
Et vous
C'est quoi votre stalinisme ?
Et vous
C'est quoi votre gauchisme ?
Et vous
C'est quoi votre libéralisme ?
Et vous
C'est quoi votre démocratisme ?
Et vous ? donc
C'est quoi votre capitalisme ?
Et vous
C'est quoi votre isme ?
Chacun, chacune, le sien
Oh, le vilain
Qui dérange bien
Certes, je le sais bien
En-dehors des clous
En-dehors des folles et des fous
En-dehors des tabous
Moi, l'ignoré de partout
Sauf en quelques endroits
Sauf pour qui cela fait foi
Jeux olynfrics des idéologies
Jeux olynfrics des religions
Elle est partout la peste
Quand tout le monde se déteste
Justement, à cause des idéologies
Justement, à cause des religions
Rien n'est pire
Véritable empire
Que la peste des esprits
Dont je récolte tous les lazzis !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, pouète, peuète, paraphysicien
 

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Paraphysique des niveaux d'organisation

1 Avril 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Contagion psychologique, contagion émotionnelle
Rien de plus viral
Rien n'est plus fatal
Certes, ce que j'écris, l'on s'en fiche, c'est que dalle
Du biologique
Du psychologique
Du politique
Du religieux ou de l'idéologique
De l'économique
Donc
Contagion virale, biologique
Contagion émotionnelle
Contagion idéologique et politique
Contagion psychologique
Contagion économique
Tout cela est bien contagieux
Toi, moi, elles, ils, eux
La contagion des conditionnements
Les conditionnements de la contagion
Les déterminants du conditionnement
Le conditionnement des déterminants
Au tout contagieux
Tout un bruit odieux
Hélas
Peu de misophones
De toute cette cacophonie aphone
De tous les formulaires
Et à tous les formulaires
Trop peu, à être des réfractaires
Trop peu d'inclassables
Trop peu d'incassables
Gens seuls dans leurs idées
Car du tout préparé en idée, se méfier
Mais c'est un prix à payer !
Et alors, que pour tout, il faut un permis
Comme en prison, de la société, une décalcomanie
Avec ou sans virus
Encore plus évident avec virus
Permis de sortir
Permis de circuler
Permis de copuler
Permis de se regrouper et de manifester
Permis de voyager
Permis de ceci
Permis de cela
Permis de vivre, et là, tout est dit
Le monde est une prison
Presque tous
Comme des matons
Presque toutes
Comme des matonnes
Mais, nonobstant
Chaque jour dans le monde
Des éjaculateurs font des rondes
Centaines de milliers de naissances de l'inconscience
Comme un horrible non-sens
L'on ne fait que coïter ou quoi ?
Mais la morale est sauve, ma foi
C'est juste pour enfanter
C'est juste pour se conformer
Alors que nous vivons
Sur une centrale nucléaire naturelle
Moins délétère qu'une centrale artificielle
Donc, les forces terrestres en perpétuelle activité
La géologie du globe, géologie modifiée
Ce à chaque seconde
Ce qui peut, en trois heures, générer
Une énergie nucléaire correspondant
Et ce, à quatre mille fois, édifiant
L'explosion atomique d'Hiroshima
De quoi méditer, voilà !
Et si comme la foudre
Réserve inépuisable de poudre
Sur la planète Terre et chaque jour
Frappant quatre millions de fois
De nouvelles vraies idées nous frappaient
De nouvelles vraies idées nous transformaient
Et bien cela se saurait !
Notre planète, comme tout cerveau, planète toute façonnée
Par l'humanité
L'humanité, de part toutes ses activités
Est devenue une force géologique à part entière
Mais sur des millions ou des milliards d'années
Tout est d'une grande précarité
23 heures, cela était la durée d'une journée
Sur Terre, il y a ainsi 350 millions d'années
Et en vérité
De tout, nous sommes engrammés et conditionnés
Femmes, hommes, enfants
Avec tous les déterminants
Dans des niveaux d'organisation différents
Dont c'est la prime au subconscient
Avec tout ce qui ne rentre pas dans notre signifiant
Quand rien n'y est codant
Comme une langue étrangère en passant
Nos cuirasses caractérielles nous stagnant
Toute soumission, toute obéissance, s'y confortant
Toute compromission du au suivant
Tout un processus désangoissant
Dans un tout du punissant
Dans un tout du récompensant !
Le capital et ses chimères
Le socle illusionniste des milliardaires
Mais jamais aussi somptueux
Aurores boréales, dont nous jouissons si peu
Intense vent solaire
Il y a de la fuite dans l'air
Car sur le ring du mégavers
Le naturel
Supplante toujours l'artificiel
Comme de vrais seins
Par rapport à de faux seins
Ainsi Cignus X-1
Premier trou noir détecté
Quinze masses solaires
Du trou noir ordinaire
Et au centre de notre galaxie, caché
C'est par millions de masses solaires qu'il faut compter
Et parfois, du proche et de l'ailleurs
Hier, aujourd'hui, demain, la même heure
Des millions ou des milliards
Comme autant de soleils fêtards
Du massif ou du supermassif
Contrôlant l'architecture de l'univers
Envisageant la géométrie non conforme d'autres plurivers
Tout se dévorant
Tout se nourrissant
Tout se grandissant
Au tout, comme un rayonnement d'Hawking, s'évaporant
Hydrogène, hélium, souvent, au restaurant
Des étoiles s'effondrant
Des trous noirs fusionnant
Des étincelles
Des ondes gravitationnelles
Toute une accrétion de gaz et de poussières
Ni effets spéciaux
Ni du vrai, ni du faux
Tout se contentant d'être, univers, multivers
Et pour nous prendre à revers
Paraphrasant feu le savant érudit Henri Laborit
Dans l'enfer orchestré de son oubli
La seule raison d'être d'un être
C'est d'être
Tout le reste est de la blablalogie
Rien d'important, rien de dérisoire
Des choses et des êtres, l'infini, de toutes les histoires !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 
 

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