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Paraphysique de l'intelligence

23 Mai 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

( Texte perdu de mars 2015 )

Contre presque tout
Et même sinon tout
Il faudrait l'Intifada
Et cela n'a absolument rien de fada
Car tout est contestable, voilà !
Tout est devenu fou
Même si nous avons
Huit formes d'intelligence, admettons
Pas une intelligence unique, d'un seul type
Mais des intelligences multiples
3 ou 4 intelligences majeures
Et d'autres intelligences mineures
La logique, la mathématique
L'émotionnelle, la linguistique
La visuelle, la spatiale
La relationnelle, la musicale
La mémoire des aptitudes
Les aptitudes de la mémoire
Cependant
L'intelligence relationnelle
Entre toi, moi, eux, ils, elles
Semble partout absente
Notre intelligence est bien inconséquente
Comme le citoyen arabe d'Israël
Qui ne récolte de la relation, aucun miel
Pour les juifs, il est une relation économique
Avec une natalité plus forte que les juifs, gros hic
Ils sont déjà 1.800.000 arabes d'Israël
Mais pour eux et elles
La vie est beaucoup moins belle
Toute relation humaine est économique
De toutes façons, dans le monde, c'est plus qu' endémique
Et toute notion de nationalité est débile
Où c'est une intelligence débile
Cela fait toutes les guerres
Où c'est une intelligence guerrière
Séparation de l'intelligence
Intelligence de la séparation
Car c'est toute une synergie
De l'adaptation à la vie
Il y a plusieurs mémoires
Cela, on ne peut que le croire
Mais l'intelligence c'est autre chose
L'intelligence est une, elle est sans cause
Elle est contre toute guerre
Elle est contre toute hiérarchie
Elle est contre toute autorité
Elle est contre toute vanité
Elle est contre toute religion
Elle est contre toute idéologie
Elle est contre toute compétition
Elle est contre toute représentation
Certes, les aptitudes ont besoin de l'intelligence
L'intelligence peut se passer des aptitudes
L'espèce humaine est tout sauf intelligente
L'espèce humaine a des mémoires performantes
Tout s'achète, tout se loue, tout se vend
Tout se fait la guerre, tout est dément
C'est en effet très intelligent
Comme l'escort girl
300 euros de l'heure
Avec l'anal, c'est en plus, 50 euros de l'heure
C'est la vendeuse de Kiev, exploitée
190 euros pour 15 jours, en toute précarité
Alors qu'en tant que prostituée
A Paris, 10.000 euros, elle peut gagner
Mais pour pouvoir le supporter
Elle devra le plus souvent, se soûler
Pour la famille, des mensonges, il faudra inventer
Ainsi elle ne sera pas mal jugée
Et puis avec l'alcoolisme
Et le milieu du proxénétisme
Ainsi, à 25 ans
Le corps qui inscrit tout, paraîtra 35 ans
Pour des chefs d'entreprise, hommes d'affaires
Toujours les exploiteurs, les réactionnaires
Car pour les pauvres, c'est trop cher
Et les souteneurs sont en Chypre du Nord
Où ne peut les atteindre, aucune police, aucun accord !
Se prostituer
Ne semble pas intelligent
Mais dans notre société
Où d'une façon l'autre, tout est prostitué
Vos reproches
Déjà je les entends
Ce gars est vraiment moche
Toutes les certitudes, il les amoche
La preuve qu'il n'est pas intelligent !
Certes, tout est paradoxal
Exemple dans le domaine de la contestation sociale
Je manifeste contre les violences policières
Et là, à mon censeur, la main, je la sers
C'est lui le boss d'un site alternatif
Sa copine me fait la bise, j'en suis méditatif
Je sais qui il est, il ne sait pas qui je suis
Avec l'anonymat, tout est permis
Mais aucunement, je ne le maudis
Chacun et chacune sa route, chacune et chacun sa vie
Ainsi tout est bien superficiel
Ainsi tout est bien virtuel
Je suis une litote propédeutique
Anecdotique
Simplement là pour aiguiser l'esprit critique
Pas celui des intellectuels formatés, d'élevage
Dont les cerveaux auraient besoin d'un bon lavage
Qui passent à la radio, à la télévision
Ils et elles font ainsi un acte de soumission
Il et elles prêtent serment à la domination !
Ce sont les pierres de la délitescence
Qui entretiennent toutes les violences
Qui entretiennent toutes les dépendances
Violence de la dépendance
Dépendance de la violence
Il faut être iconoclaste à l'iconoclaste
Et ce à toutes les castes
Tout ce qui paraît dans le spectacle
Est la police, est une matraque
Le spectacle de la contestation
N'est pas la contestation du spectacle
Et les gens n'ont plus la moindre vraie amitié
Car partout tout est compétitivité, donc rivalité
Et les gens n'ont plus de vrai amour
Quand c'est la guerre économique qui rime avec toujours
Les gens veulent des coups de fouet
La domination sait répondre à leurs souhaits
Car elle prend les gens pour d'incorrigibles niais
C'est en effet très intelligent
Comme
Les cobayes humains, cadavres humains
Le 1/12/1944, découverts par les alliés américains
86 corps de juifs, dans le formol, conservés
Ceux qui restaient, les autres jetés ou découpés
C'était l'université nazifiée de Strasbourg
Sous la direction de feu ( 1898-1945 ) Auguste Hirt
Et de toute une cour
Anéantir le juif comme un rite
De 1941 à 1944, sous prétexte d'anatomie
Pour rien, aucune étude ne se fit
Les cadavres ne furent jamais étudiés
Mais furent bien au Zyklon B, les premiers gazés
Il s'agissait de faire une collection
Un musée juif, pour les prochaines générations
Ce Hirt qui fut un professeur
Et qui disait aux élèves femelles
Incroyable une débilité pareille
De se mettre derrière les garçons, ô terreur
Car il ne supportait pas l'odeur
Des femmes en menstruation, cette horreur !
C'est en effet très intelligent
Comme
La circoncision
Et toujours la religion
Pour justifier une mutilation
Avec l'alibi prétendument médical, pour la tradition
Comme l'imaginé Jésus, verser le sang
Du père à l'enfant
Toute tradition
Cela n'est pas intelligent
C'est du conformisme et de la répétition
Le contraire de la raison, de la réflexion
C'est donc complètement idiot
Et dès 1860 pour les enfants américains
La circoncision ce rituel crétin
Pour lutter, en vérité, contre la masturbation
Et l'hygiène médicale en scotomisation !
Comme
Alors que c'est à peine la survie
Et de moins en moins la vie
Sur notre Terre
Où toute l'organisation générale est réactionnaire
Explorer Saturne et ses 60 lunes
Comme Titan, Encelade
De l'eau liquide ou en glace
De la vie microbienne ou autre, quelle rigolade
A la misère, c'est une mauvaise farce
Ou Jupiter
Europe, Ganymède, Callisto
De la vie gazeuse, cela serait rigolo
Et de nouvelles allergies
Ramenées de notre espace infini
Déjà que notre système immunitaire
Se bien défendre, ne sait plus le faire
1 personne sur 2 sera allergique en 2050
Dans le monde, très médiocre qualité de l'air
Et déjà 1 personne sur 4 en France, de nos jours
Pas de vie sur Terre, malgré tous nos beaux discours
Voilà pourquoi nous allons la chercher ailleurs
Se rendre la vie impossible, l'être humain est chercheur
C'est en effet très intelligent !

Patrice Faubert ( 2015 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Déstabilisation, Infiltration, intoxication

18 Mai 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

2018
Prisons françaises
70367 personnes incarcérées
Et la comparution immédiate pour ne rien arranger
Mais il faut que toute réalité se taise
En prison, l'on y déprime, l'on s'y tue
Du désespoir de déréliction, de la braise
Jamais, la prison, ne fait sa mue
En vérité, il faudrait l'abolir
Avec cette inhumanité, enfin, en finir
Seule
Une société sans aucune prison
Serait effectivement une société de raison
Mais comme dehors les murs, c'est aussi une prison
Où chacune est sa matonne, où chacun est son maton
L'on y déprime aussi, l'on s'y tue aussi, l'on y perd la raison
Tout être humain devrait être pris en considération
Cela ne devrait souffrir aucune exception
Mais pour cela, attention
Contraception, avortement, stérilisation
STOP, à la surpopulation
Il faut une grève de l'enfantement
La femme protestant ainsi, contre la guerre, contre ce monde d'argent
Or donc, pour en revenir aux effroyables prisons
Quelconque
N'est pas la comparaison
La capacité du pénitentiaire français
C'est 59459 places, l'on cérébralise, de suite, le méfait
Un taux d'occupation de 118 pour cent
C'est là un constat bien alarmant
Et qui vole un pain va en prison
Et qui vole le contribuable va au palais Bourbon
Sans compter
Toutes les prisons intérieures
Plus nombreuses que les prisons extérieures
D'aucunes et d'aucuns
Pensant que d'aucunes et d'aucuns
Ont des vies de merde
Mais dans une société de merde
Toutes les vies, pauvres ou riches, sont de la merde
Cela est tempéré
Bien plus que compensé
Mais riches ou pauvres, la merde est bien emballée !
Pour cela
Il y a les voitures et les voyages
Il y a toutes les religions
Il y a toutes les idéologies
Il y a la sexualité
Mais ça, de moins en moins, faut pas rêver
Il y a Internet et les livres
Mais surtout, donc, la radio et la télévision
Le reste étant pour une population plus privilégiée
Avec même sa petite ou grande maison
Cela change la mentalité
L'accès à la propriété
Faîtes de vos esclaves salariés
Ou d'ailleurs pas salariés
Car l'on peut aussi, hériter
Une classe de propriétaires
Qui deviendra très rapidement, très réactionnaire
Et donc absolument tout cela
Pour oublier
Que nous ne communiquons, vraiment, jamais
Ou si superficiellement
Pour oublier
Que nous ne nous regardons, vraiment, jamais
Ou si rapidement
Pour oublier
Que nous ne nous écoutons, vraiment, jamais
Ou en faisant semblant
Et même quand nous sexons
Car c'est ainsi que nous nous récompensons
Plus que, contrairement aux bonobos, nous nous réconcilions
Et c'est surtout, à deux, une sorte de masturbation
Le contraire devenant presque une exception
Finalement
Le capital ou autre dénomination
Est une déstabilisation
Est une infiltration
Est une intoxication
Un peu comme pendant la guerre d'Algérie
L'on ne sait plus qui est qui
L'ennemi devient un ami
L'ami devient un ennemi
Quand en plein soleil, il est minuit
Et d'après Oxfam international
Connaissant bien les rouages du capital
La France est le pays le plus brillant du capital
Devant même les Anglo-Saxons
67 pour cent des bénéfices vont aux actionnaires, ainsi font, font
27 pour cent pour l'investissement
Et bien sûr, 5 pour cent, seulement
Pour le personnel salarié
De tous les pays et donc du marché
C'est le meilleur rendement au tout capitalisé !

Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

 

 

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Pentobarbital de sodium

14 Mai 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

" On comprend que cette contamination qu'elle soit prénatale mais surtout postnatale soit capable d'influencer et de moduler le déclenchement de la puberté et eu égard à cet effet oestrogénique, et bien, on va imprégner la petite fille en oestrogènes qui vont être capables de stimuler la glande mammaire, de stimuler l'utérus, et aussi de stimuler les centres nerveux qui régulent le déclenchement de la puberté "

Professeur Charles Sultan ( endocrinologue et pédiatre )

Pentobarbital de sodium
Gardénal, phénobarbital, nembutal
La famille du grand sommeil
Du vivre impossible, quand profond, d'être, est le mal
Quand tout nous est refusé
Tout ce que l'on peut aimer
Pour les uns et les unes, c'est la sexualité
Mais il y a la ménopause
Mais il y a l'andropause
Toujours quelque chose
Pour nous emmerder
Pour les uns et les unes, c'est voyager
Mais son argent, il faut pouvoir dépenser
Ou alors
Dans le couple, les goûts ne sont pas partagés
Toujours quelque chose
Pour nous emmerder
Mais pour paraphraser feu Boris Vian
Y'a quelque chose qui cloche, j'y retourne immédiatement
Il n'y a jamais aucune rencontre
Seulement des solitudes qui se rencontrent
Dans un monde d'argent au tout insipide
Il devrait d'ailleurs y avoir beaucoup plus de suicides
Pour tout, il faut payer, il faut en chier
La sexualité, le mariage, le divorce, pour manger ou dormir, pour voyager !
Il n'y a finalement
Que de fausses relations
Qui sont déterminées
Par des systèmes politiques
Nous menant à la cravache, à la trique
Mais puisque l'on nous dit
Que c'est la seule vraie vie
Nous buvons tout cela jusqu'à la lie
Aucune réalité augmentée
Ne pourra, de ce fait, rien améliorer
C'est pas le, je  kiffe total
Comme dirait la jeunesse du capital
De ce déguisement de jeunesse
Avec certes, une précocité pubertaire pour les filles
Quand les perturbateurs endocriniens étrillent
Des oestrogènes en folie
Dans une sotte société où tout se relie
Et il y a aussi l'enfant prépubertaire
Dont l'endurance sait tout faire
Et encore plus endurant
Qu'un sportif professionnel, sidérant
Pas étonnant
Me souvenant de mes performances physiques d'enfant
Des kilomètres de course à pied
Chaque jour, et pas le moins du monde, fatigué !
Certes
Cela n'est pas le record d'apnée
137,5 minutes, de la baleine à bec de feu Cuvier
L'élégance de l'équilibre
L'équilibre de l'élégance
La force des mécanismes
Les mécanismes de la force
Certes
Mes rodomontades
Sont au nez, une désagréable moutarde
Car de rien
Je ne suis le thuriféraire
Restant critique même sur feu l'Espagne libertaire
Restant néanmoins une référence humanitaire
Je suis comme un dinosaure
Toute la mentalité du capital m'ignore
En voie de disparition
En voie d'extinction
De personne, c'est ainsi
Je ne puis espérer aucun satisfecit
De l'âge de la pierre
De l'âge du fer
De l'âge du silicium
De l'âge de la réalité augmentée
Sur l'autre, tout vous saurez
Une réalité, il est vrai, d'une si grande pauvreté
C'est d'une tristesse à pleurer
Rien à cacher
Tout totalitarisme est pour la transparence, ne pas l'oublier
Les statistiques probabilistes rendant pourtant cela de grande inutilité !
Par exemple, l'âge moyen de la femme ménopausée
Est de 52 ans avec en moyenne, sept ans de durée
Mais tout n'est pas forcément hormonal
Il faudrait donc une écoconception  du mental
Testostérone, progestérone, oestrogènes
Par le bout du sexe, la physiologie génitale, nous mène
Messages chimiques, au moins mille hormones
Qui jouent leur partition dans nos corps, dring-dring, cela sonne
Mais au moins, la sexualité
C'est bon pour la santé
C'est pas comme la cigarette
Car pour les poumons, cela n'est pas une fête
Cent millions de personnes décédées
Au cours du siècle dernier
D'une addiction l'autre, il faut bien compenser
Quand de tout plaisir ou presque, l'on est privé
Du métier de vivre, l'on est bien mal salarié
26 avril 1986, Tchernobyl
Des centaines de milliers de liquidateurs à la file
Et sur des années, tous s'en allant mourir, cela défile
Alors que 700 kg d'iode
Bien des fins horribles, cela aurait pu éviter
Au moins, juste après l'accident
Rien ne fut fait, cela est édifiant
Face à tout ce terrifiant
Dès l'enfance, il y a l'école, il y a les parents
Le pentobarbital de sodium est une bienveillance
De ce monde du capital et de ses malfaisances
De ce monde réactionnaire
De toutes les familles identitaires
De toutes les familles réactionnaire
De tous les fascistes, de tous les doctrinaires
Tout ou presque est à vomir
Moi, j'ose le dire
C'est finalement la mort qui est la seule délivrance !

Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

 

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Numérisation des idiosyncrasies clonées

10 Mai 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

" La plupart des plantes ne sont donc jamais seules. Elles ont vitalement besoin de champignons du sol pour les nourrir, qui eux aussi dépendent de leurs hôtes végétaux : même grandes, même avec des croissances vigoureuses, 90 pour cent des plantes dépendent de champignons, en véritables colosses ( à l'échelle des hyphes de champignons ) aux racines microbiennes. "

Jamais seul ( Ces microbes qui construisent les plantes, les animaux et les civilisations )
Marc-André Selosse

Numérisation du désir
Numérisation des envies
Numérisation de l'imaginaire
Quand toute la production du virtuel
En colonisation du réel
L'on se rencontre vite fait
L'on se sépare vite fait
Durée d'une relation, trois ans
D'une génitalité l'autre, tentant
Alors que partout en Europe
La relation génitale fait un flop
En moyenne, huit rapports sexuels par mois
Pour un couple, et la femme ne jouissant pas, une sur trois
C'est au tout électronique
Du livre électronique
Du sexe électronique
Toute la misère électronique
Toute une autosuffisance électronique
Optimisation de la relation électronique
La technologie nous isole
La technologie nous dégueule
Plus aucun vrai contact humain
Quand tout est du rapport putain !
Car là
Où il y des comptes
C'est le capital qui nous monte
Les bons comptes
Ne font pas les bons amis
Les bons comptes
Sont des rapports nazis
Là où il y a des comptes
Il n'y a justement pas d'amis
Ni la moindre vraie relation, là où il y a des comptes
Je te dois combien ?
Tu me dois combien ?
Or, tous les jours, le capital nous invalide
De la relation humaine, c'est le grand bide
Comme aussi au Japon, le pays des robots sexuels
Et à chaque augmentation de salaire
Le travailleur a le droit à un rapport sexuel
La femme japonaise étant parfois sexuellement réactionnaire
Mais le monde est proxénète
Mais le monde est putain
Louer son corps ou sa tête
Ou alors crever de faim
Et pour oublier tout cela
Des distractions abrutissantes, le système y pourvoira
Avec toute une nouvelle jeunesse sans mémoire
Du tout pour sa gueule, on la fait boire
Une génération, qui le plus souvent, ne dit même plus bonjour
Ni à elle-même, ni aux autres, elle court, elle court !

" Cela décharge toute la nervosité qu'on peut avoir. Cela remplace une femme "
Michel Gasty ( record d'endurance de twist, 1962 )

Des palliatifs en tous genres
Du palliatif sexuel ou du palliatif tous azimuts
De chaque année du capital, cela mute
Toute sublimation de l'encore, encore
Toute radio du capital y participe
Toute télé du capital y participe
Par intérêt et par principe
France inter
La bourgeoisie se croyant éclairée
Europe 1
La bourgeoisie crétinisée
Mais toutes deux aliénées
Et bien sûr, croyant à des absurdités
Car il faut bien propager l'inégalité
Du doué ou du pas doué
Donc, de la supériorité ou de l'infériorité
Alors
Qu'il n' y a que du motivé ou du pas motivé
Et surtout le pourquoi du motivé ou du pas motivé
Où l'on retrouve les classes sociales
Où l'on retrouve l'organisation de l'Etat et du capital !
Il faudrait
Déconditionner la plupart des gens
Il faudrait
Rééduquer, réengrammer, recoder la plupart des gens
Mais il faudrait en avoir les moyens
Tout se jouant là, cela est certain
Car, la plupart des gens
Ne font que répéter
Ne font qu'imiter
Ne font que se conformer
Ne font que se normaliser
Des clones idiosyncrasiques sans originalité
Riches ou pauvres, des vies gâchées
Dès la naissance, tout un chemin irrévocablement balisé
Le seul choix du n'avoir aucun réel choix
D'une aliénation l'autre
D'une réaction l'autre
D'une saloperie l'autre
D'une ignorance l'autre
D'une guerre l'autre
D'un couple l'autre
D'une maladie l'autre
D'un sot métier l'autre
Mais aussi, fort heureusement
Moteur de l'humanité, finalement
D'une solidarité l'autre
D'une entraide l'autre
Et donc, malgré tout, bonne continuation
En attendant la vraie révolution
Et à la vôtre
Quand tout individu, de près ou de loin, est agent du système
Avec tout un individualisme du même
Avec tout un égoïsme du même
L'agent secret ou pas secret n'est pas forcément du Mossad
Mais par sa prolifération citoyenne, nomade
Le gendre de Nasser, fut le meilleur agent du Mossad
Connu ou pas connu, au système, aucun n'est fade !

Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

 

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Come-back de la gauche du capital

7 Mai 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

France
5 mai 2017
La gauche du capital manifeste
De toutes ses trahisons, elle empeste
Plus qu'une manifestation
La gauche du capital se lance dans sa reconstruction
Il s'agit de préparer les futures élections
P comme pourri
S comme salaud
Parti socialiste
Voilà la salope opportuniste
Du grain à moudre pour les fascistes
Et cela va main dans la main
Faux socialistes et vrais staliniens
C'est toujours la même chose
Pour la récupération politicienne, aucune pause
Plus que jamais
Du vrai révolutionnaire, comme un souhait
Ni de droite
Ni de droite
Puisque tout ou presque est de droite
Pour que surtout, rien ne change
Rien d'étonnant, rien d'étrange
Le capital est la pire des fanges !
Un jour dans les rues
Des ennemis partout
Des amis, nulle part, surtout
Des cerveaux malades, sortant du pus
De la fausse convergence, du faux lien
Division de l'unité
L'unité de la division
C'est ainsi qu'avec le corporatisme
Se greffe dessus tout opportunisme
Et à la toute fin
Gagne à ce jeu truqué, toujours le vilain
Le libéral, le fasciste, le stalinien
Or, toutes les versions
Du capital, et il y en a beaucoup, en rang d'Oignon
Comme l'Hydre qui ne vieillit pas !
Esbaudissant, n'est-ce pas ?
Mais, elle est toujours mangée
Ainsi, son immortalité est feintée
Alors que dans toute grande ville
Comme une chambre à gaz, façon plus subtile
Des millions de décès
Dans le monde, chaque année, c'est un fait
L'être humain devenu éponge aux radicaux libres
Et être libre, c'est savoir que rien n'est libre !
Mais hélas
Le passé ne semble jamais avoir été
Sauf pour qui y est né
Chacun, chacune
Naissant dans son propre temps
Et à tout passé, fait écran
De ce temps présent
Le jeune est né dedans
Et c'est comme si
De ce fait, pour lui
Tout avait été toujours comme cela
Car cela est son seul référent, voilà
C'est sa seule quotidienne réalité
Le reste est  comme purement imaginé
Et s'il ne s'intéresse pas à l'Histoire
Tout ce que l'on veut, on lui fera croire
Le capital rajeunit sa pensée molle
Avec les tendances du moment, se met à la colle
La pensée du sur place mobile, comme seule école
Trop peu se disant
Trop peu y réfléchissant
Ma vie de merde
Il faut que je la perde !
Et attention
Car à toute fausse révolution
Toute bourgeoisie y apporte son petit panier
Comme Mai 68, qu'elle sut si bien défigurer
L'espèce humaine
N'est pas une réussite
Peut-être ailleurs, une meilleure suite
Et tous les gens
Qui confisquent nos mots
Les reprenant mal à propos, les salauds
La spécialité de bien des bobos
Et tous les jours
Être comme un obligé
De tant de gens détestés
De gré ou de force, il faut leur parler
Mais écrire, de toute parole, c'est se vider
Il n'y a finalement, que la vie administrative
Pour pas crever, il faut qu'on la vive
Des papiers, des familles, des vacances, des transports, du chômage
Spectaculaire intégré, marchandise unifiée, toutes nos cages
De quoi avoir la rage
De ce monde au tout taré
Il faut le dynamiter
Car de ce monde, l'on ne peut s'exiler !
 
Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 

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Aphorisme paraphysique de démystification

4 Mai 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

Le premier mai 2018
Manifestation parisienne, j'y étais
Juste devant la contestation qui voulait en découdre
Avec mon drapeau d'anarchie, pour honorer cette foudre
Beaucoup de bruit, pour rien, non mais
Quelques vitrines brisées, et après
Quelques personnes cagoulées
Un minimum, pour ne pas se faire repérer
Quelques symboles capitalistes détruits
C'est normal qu'il en soit ainsi
Tout cela est pourtant bien gentil
En rapport des manifestations de jadis
Du début des années soixante dix
Rien que feu la Ligue Communiste
Des centaines de militants casqués, vrais trotskistes
Prêts à s'insurger, d'autrefois, les vrais gauchistes
Pour la castagne, s'y joignaient des autonomes et des anarchistes
De nos jours, tout est de la rigolade
Sauf pour le pouvoir en place, quelle blague
Les méchants sont dans les gouvernements de tous les pays
Les méchantes sont dans les gouvernements de tous les pays
Mafieux et mafieuses, gangsters, criminels, banquiers, truands
Psychopathes, assassins, économistes, démentes et déments
Les gentils sont les manifestants
Les gentilles sont les manifestantes
Les vrais casseurs sont dans les gouvernements de tous les pays
Les faux casseurs sont les manifestants et manifestantes de tous les pays
Et puis, le trop peu qui est cassé
Est par les assurances, la plupart du temps, remboursé
C'est le monde renversé
On vilipende qui veut tout changer
La réaction, sait, les siens, récompenser
Toute une pourriture qui nous gouverne
Partout dans le monde, d'horribles badernes
C'est notre misère, c'est notre peur
C'est notre conditionnement, c'est notre terreur
Et rien qu'un peu de verre brisé
Maintenant, peut les incommoder
Tout étant tellement peu contesté
Et à la soumission généralisée, la réaction est habituée
McDonald's de bouffe de merde, vitrine explosée, une voiture brûlée
Et toute la propagande capitaliste, offusquée
Tant de journalistes choqués
Il leur en faut peu à ces stipendiés !
Les forces du capital aiment tout spectaculariser
D'un simple débris de verre, dans une manif, se gargariser
Leur projet réel, étant l'interdiction de manifester
Et pendant ce temps, casse sociale généralisée
Tout se faisant subrepticement, année après année
Les pauvres ne pouvant plus se faire soigner
Surtout les personnes salariées mais mal payées
Il faut avoir de l'argent ou un bon réseau
Et encore, dans le chacun pour soi, étatisé
De tout un personnel soignant, souvent sans âme, débordé ou boboïsé
Surtout les médecins spécialistes, le fric, ne pensant qu'à encaisser
En allant même, habilement, à congédier la précarité
Vraiment, de dire Amen à toutes les saloperies, nous en avons les rots
S'opposer au capital et à son monde, voilà de l'authentique héros
Tout le reste sonnant finalement faux !
Le système partout triomphe
Quand tout en face se dégonfle
Il ne faut même plus désespérer Billancourt
Usine Renault, plus aucune trace, l'effacement a fait son tour
C'était, nonobstant, douze mille travailleurs étrangers
Sur trente six mille salariés
Avec les quatre vingt quinze pour cent d'ouvriers spécialisés
Qui furent étrangers, et de pouvoir changer de statut, aucune possibilité
Sous le capital
Qui à tout plaisir est fatal
Toute vie étant comme empaillée
Toute vie étant comme momifiée
Certes
Les anciens chiliens, il y a sept mille ans, momifiaient tout
Mais cela était après la mort
Et non, comme  le fait le capital, avant la mort
Donc, avant les égyptiens
70 millions d'animaux, pas seulement les chats, c'est pas rien
Le cerveau étant jeté
Car sans valeur, il était considéré
Quand on voit l'état du monde, en nos années
L'on peut effectivement se le demander
Tout ceci étant de la vie courante
Vraiment, la vie marchande n'est pas marrante
Toujours se faire-valoir, toujours se vendre
Tous contre tous, toutes contre toute, apprendre
Et à tout chef, et à toute chéfesse
Il faudrait botter les fesses
Tout dominant, toute dominante
Dans toute famille, dans tout groupe, dans toute entreprise
Oui, il  faudrait conchier toute cette emprise
La dominance n'est hélas pas seulement gouvernante !
Par son cul, par son argent, par son bagout, par sa force
La recherche de dominance est une seule et même écorce
Voilà aussi pourquoi, tout pouvoir
Engendre un autre pouvoir
Or, tout pouvoir est à détruire
Il faudra donc, et correctement, le définir !
 
Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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Paraphysique de la paraphysique

1 Mai 2018 , Rédigé par Patrice Faubert

Champs magnétiques
Poétiques
Champs magnétiques
Politiques et physiques
1949, TOKAMAK, déjà les russes
En marche, les autres prennent le bus
Principe de l'étoile artificielle
De la fusion nucléaire en bouteille
Scotomisant
Toute une misère relationnelle
Du réacteur en fusion
Pas vraiment la solution
ITER
Alors qu'au niveau humanitaire
Tout est absolument à faire
Quand tant de gens crèvent de faim
Jamais, il ne change, ce train-train quotidien
Il est si ancien ce refrain
Ici ou maintenant
Où toutes les subventions vont au tout dément
Et à l'énergie naturelle
La technocratie préfère l'énergie artificielle
Tout est dit
Quand la seule industrie
Est devenue le seul moteur de l'humanité fictionnelle !
Mais au fond
Tout est de la convention
Mais au fond
Tout est de l'interprétation
Mais au fond
Tout est de la tradition
Ainsi
Dès le septième siècle
Et jusqu'à 1564, au seizième siècle
De l'édit de Roussillon
Toute tradition pousse un roupillon
Le début de l'année était le 25 mars
Feu ( 1550 - 1574 ) Charles neuf, mit donc fin à la farce
Il y avait d'ailleurs des variations
Selon les pays et les régions
Puis, cela devint progressivement
Et dans toute l'Europe, fatalement
Le premier janvier
En généralisation des calendriers
Et en 1622, la mutation fut terminée
Quand la symbiote
Du biologique au sociologique
Finit par chausser toutes les bottes
C'est souvent pour le pire
Il faut bien le dire
Comme les déchets marins en plastique
Qui engloberaient la planète Terre
L'on ne peut le taire
Au moins, donc, une à deux fois , c'est tragique !
Et là, pas de néoténie
Mécanismes cellulaires, de la pure magie
Du secret de longue longévité
Comme le Rat-taupe, si étudié
Le processus du vivant
Fait toujours très fort
De dix à cent mille milliards de cellules humaines dans un corps
Tout est un travail permanent, rien, jamais, ne dort
Pour cela, pas de congés payés
Pas de sécurité sociale, de la précarité
Alors
Que dans le vivant, rien ne peut chômer
La gratuité ne peut se faire payer
C'est comme en géographie
Où il n'y a vraiment aucun pays
Et toute frontière, c'est de l'arbitraire
Toute frontière constituée sur diverses guerres
Ainsi, tout nationalisme
C'est indubitablement du réactionnaire imaginaire
Comme ce mal que l'on fait aux migrantes et aux migrants
Qui des régions fascisantes et inhospitalières
Vont comme errantes et errants, s'enfuyant
Quand chaque seconde est une adversité
Troubles mentaux associés
Troubles du sommeil, des crises d'angoisse
De la panique généralisée, la langue à apprendre, toute une poisse !
Ce ne sont pas là, certes, gens, qui pourront vivre bien longtemps
Comme feu la française ( 1875 - 1997 ) Jeanne Louise Calment, 122 ans
Sans doute, pour cela, un environnement de relative clémence
Car, il est de grande évidence
Qu'avec de bonnes conditions de vie
Longues et harmonieuses pourraient être nos vies
Alors que présentement, tout, prématurément, nous vieillit !
Comme la plupart de nos produits
Les additifs industriels
Arômes et nanoparticules
Tous les E ceci ou les E cela, il tue bien le ridicule
De l'hyperactivité des enfants
E 320, cancérigène
E 171, dioxyde de titane
Du catch du capital, le colorant blanc
De la crème solaire, du dentifrice, encore du cancérigène
E 120, cactus, colorant naturel
Cochenille mature, un vrai sel
La couleur des boissons, des tissus
Des viandes des carnivores pansus
Mais même le dit naturel n'est plus vraiment naturel
Muté de la société spectaculaire marchande techno-industrielle
Idem, des compléments alimentaires et autres granulés
Quand tout est trafiqué et falsifié, de toute nourriture, se méfier !
Et toujours aussi, l'on se fait piéger
Bonnes crevettes, de noir, elles sont tachetées
Quand à l'artifice, elles ne sont pas traitées
Pour apparaître de fausse couleur rose
En tout, la contrefaçon ose
Il ne faut point hésiter
Dans la terrifiante réalité qui ose musarder
Et finalement
Que devient toute chose ?
De la merde et de la rose
Ceux et celles qui manifestaient jadis
Nouvelle réaction, dont nous subissons les sévices
Cela se croyait de gauche
Droite gauche droite gauche
Or, c'est toujours de droite
Car tout gouvernement rime et trime avec droite
Comme les 3500 militants
Passés par Ordre Nouveau, en peu de temps
Cette extrême droite du capital, si française
Se recyclant dans tout pouvoir, à l'aise
Et là, aucune licorne
Et là, aucune légende
La bêtise plaisant toujours aux imbéciles
Plus besoin du réfléchir, c'est du facile
De la terreur plus encore que du futile
Avec de la fausse liberté bien subtile !
UTUP
UTOPA
Ornement pour l'oreille chez les Mayas
Même pour les hommes, fausse autorisation que voilà
Par exemple
Si c'est une croix gammée
L'on vous craindra, l'on vous félicitera
Par exemple
Si c'est un A cerclé
Vous serez moqué, vous serez agressé
Mais l'on est encore sous la protection
De la grande indifférence en action
Tout un fascisme libéral
S'adaptant, la nouvelle évolution du capital
Et voici
1,200 million de chasseurs en France
Générant diverses pollutions
Du gibier, exposition au plomb
Comme une sorte d'ingestion
Pas bon pour toute digestion
Comme si tout devait disparaître
La raison confisquée envoyant tout paître
Et de A à Z, et de Z à A
Voici le temps
Au tout paraître
Voici le temps
Où il ne faut plus être !

Patrice Faubert ( 2018 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
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