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NE TRAVAILLEZ JAMAIS ou Le capital, impuissance orgastique

21 Juin 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

" Je ne suis point recru messires ! vif enrôlé ! Soupe à bataille ! Gibier de fifre ! N'ai point juré, sacré pourfendre ! Chacun son estat !  Voler aux trompes ? pourfendre à charge ? Pourrir en brèche ? N'ai le brevet ! "
 
Louis-Ferdinand Céline
 
( La volonté du roi Krogold suivi de La légende du roi René. ED : Gallimard )
 
Depuis que
Nous sommes
Hommes nés, femmes nées
Tout y est un parcours fléché
Pour le pipi, c'est ici
Pour le caca, c'est là
Et selon chaque classe sociale
Nous pouvons/pourrons espérer
Ceci ou cela
De la profession du père
De la profession de la mère
Il y faut y suivre les flèches
Et pour beaucoup c'est la dèche
Clapotis en syntonie
Salmigondis pour faux sybarites
Du capital et de ses faux rythmes
Du tout exonyme hantant Paris ou l'Ardèche
Avec des vies déjà inscrites
De ce que leurs déterminants, éditent
Certains et certaines
Auront le rien, du tout
Certains et certaines
Auront le tout, du rien
Et puis, avec le dérèglement climatique
Un peu d'inédit dans le tragique
Réitération du sexophobique
Il s'incarne parfaitement dans le pornographique
Tout y est déliré, dilaté, truqué
Tout y est simulé
En illustration de tout un refoulé
Et même pas si bien payé !
Le monde
Comme une impuissance orgastique
Y sublimant tout son sarcastique
Toutes les vilenies et toutes les tricheries
Tous les conflits
Toutes les guerres
Psychologie de masse du fascisme
Psychologie de masse du nazisme
Psychologie de masse du stalinisme
Psychologie de masse du libéralisme
Le capital est un impuissant orgastique
Ne pouvant générer que sa fausse critique
Et tout y est clopin-clopant
Tout s'y engueule
Tout s'y gueule
Surtout, tout, s'y dégueule
Tout y est bégueule
Et comme me le dit un jour, un ouvrier
Grand-père d'une compagne du passé
Ils sont devenus cons les ouvriers
Elles sont devenues connes les ouvrières
Fascisme, stalinisme, et du réactionnaire
Le travail cela rend con
C'est fait pour cela dirait la chanson
NE TRAVAILLEZ JAMAIS ( 1953 )
Guy Debord en l'inscrivant sur un mur parisien
Savait ce qu'il faisait, c'est bien certain !
Sexophobie, homophobie, hétérophobie
Biphobie, transphobie, toute une symphonie
De tout un élan sensuel et orgastique
Du refoulé, du réprimé, du nié
Et à la barre à mine, transformé
En sport, des arts, toute une sarabande
De la science, de la technologie, toute une sarabande
L'élixir de toute violence
Versos du monde chlordéconé
Quand tout absolument est déconné
Tout y est débilité, tout y est cinglé
Pas étonnant si son évaluation
Le capital en étant mesure d'ostentation
QI de Michel Fourniret : 120
QI de Monique olivier Fourniret : 131
S'y déconsidérant ainsi en schlague
De l'adaptation à des tests de blague
Comme très jadis, trois verres de Coca-Cola
C'était comme une ligne de cocaïne
Là, c'est vrai, le capital est champ de mines
Donc, l'impuissance orgastique
Compétitions en tous genres
Donc, l'impuissance orgastique
Tous les gouvernements, toutes les guerres
Névroses, psychoses, sectes, maladies diverses
Aucune pause dans les averses
Ô malheur des stases Wilhelm Reichiennes
Femmes, hommes, enfants, de l'orgone, aucune dose
Tout un déni de cette si belle rose
Pulsions sexuelles qui sont les mêmes
Mâles ou femelles, c'est la socioculture qui dit Amen
Et puis l'argent du viol
Le viol de l'argent
Sous le capital, tout est violé
Travail, loisirs, sexualité, tout y est prostitué !
Tout ce qui n'est pas aimé au lit
Tout ce qui s'y fait par intérêt ou par profit
Mais il y a des fachos rouges ou bruns  qui baisent
Oui, mais mécaniquement comme si c'était une guerre
Mais il y a tout un tas qui baise
Oui, mais mécaniquement comme si c'était une guerre
Des cris d'où ne jaillit aucune étoile
Sans aucune vraie résolution orgastique
Tout y est de la glaise
Tout y est niais ou niaise
Juste pour y avoir des enfants
Il y peut l'impuissant
Du primaire, du secondaire , du tertiaire
Hélas, juste une goutte de sperme y suffisant !
 
Patrice Faubert ( 2023) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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L'industrialisation de la catastrophe

18 Juin 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Et à chaque seconde
Guerres, accidents, meurtres, la mort féconde
Et à chaque seconde
Décès, naissances, drames, suicides
Mariages, divorces, séparations, maladies, au tout acide
Sans cesse des nouvelles
Spermées, l'oubli sans faisant la part belle
Et l'on nous bourre les crânes
Et l'on s'y perd dans l'insane
De toute une criminalité politique
De sales gueules de machines à fric
De toute une criminalité économique
Bonne pour l'hôpital psychiatrique
De toute une criminalité environnementale
En Cyril Astruc qui y dégomme les trucs
Aristocratie du vol, comme un duc
Du trafic de carbone pour les uns
Du trafic d'ivoire pour les autres
Du trafic de ceci ou du trafic de cela
De tout gouvernement, de toute mafia
Le monde entier est régi comme et pour cela
Partis, organisations, syndicats
Et tout s'y organisant au cas par cas
Rien ne devant vraiment changer
Tout devant absolument se continuer
Certes, de près, de loin, tout y est en complicité
En attendant, surtout, d'y crever !
Ibid
Qui ne va jamais en bide
Quand tout doit s'adapter à la monstruosité
Quand tout doit s'adapter à l'inhumanité
Quand de la naissance
Nos cerveaux remplis de toutes les absurdités
Des hiérarchies et de toutes les compétitivités
Faudrait tout zigouiller, tout recommencer
Mauvais départ, fausse route
Au tout exode, au tout déroute
Il n'y a plus rien dans nos têtes
Plus aucune fête, que de la défaite
Au pire, nous nous sommes habitués
Adaptation individuelle de grande capacité
Aux variations du milieu
De chaque classe sociale et de son feu
Avec la structure hospitalière effondrée
Avec tous les services publics annihilés
Tout ayant été confisqué et donc privatisé
Et la bête immonde qui toujours ne cesse jamais de monter
Réacosphère, fachosphère
Racines profondes du tout taré
Et que nous ne sûmes pas éradiquer
Fascisme rouge, fascisme brun, fascisme libéral
Pour toujours fortifier et nourrir le capital
Le monde entier y est comme un crétin
Bourgeoisies diverses pourries et sans aucun frein
Femmes, hommes, enfants, tout y est catin !
Rien ne peut y échapper du pollué
Comme toute marchandise et son parrain
Son tabac, son ivoire, son animal, son rein
Avec aussi l'eau du robinet, infectée
Métabolites de chlorothalonil
Soixante pour cent des nappes phréatiques
Du poison obligatoire
Du poison dérogatoire
Pas le choix dans le laboratoire
De tout un programme alimentaire mondial
S'éloignant de l'origine de 1960, fatal
L'ONU depuis longtemps y cale
12h37, 10 juillet 1976, SEVESO
Lombardie, la dioxine se fait la belle
Industrialisation de la catastrophe, icelle
Usine Icmesa de Meda
Dioxine, 10.000 fois plus toxique
Que le cyanure, en veux-tu en voilà
De l'explosion reniée de tout lectorat
La panacée, seulement, de limiter les dégâts
Du chimique torve et dépréciatif
Et en tous domaines, y est son réactif
De l'insalubrité polluante et abrutissante en mondovision
Du sport, du divertissement, des variétés, de l'illusion
Tout pouvant s'y mélanger
Tout pouvant s'y côtoyer
Bras dessus bras dessous, pour tout tuer !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Tout Etat est maquereau et putain

13 Juin 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Certes
Tout Etat est maquereau et putain
Mais la plus chère qui fut jamais
De Berlusconi et de sa catin
Lui qui n'en peut mais, en effet
De la jeune marocaine ( 17 ans ) en 2010, au moment des faits
Rubygate, Ruby Rubacuori
Et surtout, Karima el-Mahroug, aussi
Rubygate à sept millions d'euros
Bunga-bunga
De la prostituée la plus chère de l'Histoire
Pour que, circulez, y'a rien à y voir
Tout cela
Devenant et intégrant le monde de la politique
Ouvrir les cuisses des femmes, prestige, pouvoir, fric
L'Italie aux racines fascistes profondes
De la variété des populismes, au tout inonde
Et de la France, jadis, sut, prendre les frondes
39/45
Des nazis catholiques au Vatican
Qui furent les complices de tout un entregent
Avec deux papes comme sympathisants
Contre le communisme ou prétendu tel, en avant
Tout y paradait et donc rien d'esbaudissant
Toute religion s'écrit dans des atrocités
Toujours du côté du manche, de l'autorité
Avec de l'impunité en irréfragabilité
De toute une radioactivité muselée
Pas comme pour les essais nucléaires, génomés !
Australie, Kazakhstan, Tahiti
Presque deux-cents bombes, Pacifique Sud, sur Tahiti
Et entre 1966 et 1996, par des essais nucléaires
Et là, seulement pour la France
Il y eut aussi, anglais et américains, en confidence
Maladies d'hier et d'aujourd'hui
Cancers, leucémies, malformations, on se le dit
Quand tout est organisé dans le mépris
Quand tout s'organise dans le crachat
Pas seulement Macron, ou autre, mais de tout Etat
Au tout, pas vu, pas pris
Chacun, chacune, y faisant son petit caca
Des petits et des gros, tout un répertoire
Les gros mangés par les petits, au comptoir
Forcément
Toutes les polices et toutes les armées
Des gros sont de leur côté
Et c'est pour les défendre qu'elles sont rétribuées
Avec un capitalisme qui pourrait s'adapter
De toute une écologie habilement récupérée
Comme un truand allant se mettre au vert
Et bien en rire, en sifflant de nombreux verres
Car
Les riches y seraient/seront toujours aussi riches
Car
Les pauvres y seraient/seront toujours aussi pauvres
Fascisme vert, nazisme vert, stalinisme vert, libéralisme vert
Tous les nationalismes en l'opportunisme vert
Les divers fascismes ont pu tout éliminer
Car aucun fascisme, ne fut, vraiment, jamais annihilé !
Toute une psychose de masse induite
Comme penaude, tergiversante, bien cuite
Psychose de fin du monde
En fait, il y en aura bien d'autres
Psychose de fin du mois
Que toute inégalité, fonde
Dans un tout fini
Dans un tout pourri
Avec l'intrication quantique
Comme une religion mathématique
Mondes parallèles
Où nos bras seraient comme des ailes
D'autres possibles, d'autres vies
Du je toujours je
Du tu toujours tu
Du il ou elle, toujours il ou elle
Jamais même, jamais autre
Jamais autre, jamais même
De tous les temps de l'espace
De l'espace de tous les temps
Dix dimensions de temps et une d'espace
Dix dimensions d'espace et une de temps
D'une même chose
De la même dose
Civilisations technologiques, civilisations relationnelles
Civilisations sans technologie, ou à peine de l'ébauché
Déjà disparues, pas encore apparues, que l'on ne peut imaginer
Des stades différents, stoppés, ou continués
Avec de la technologie et beaucoup de barbarie
Avec ou peu, sans, technologie, mais sans barbarie !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Testimonialité diapause nihilité

5 Juin 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Le sol serait apparu
Il y a 460 millions d'années
Enfin, y déposer pattes, et tout son né
Sachant
Que pour un mètre de sol
Il faut y compter, la géologie s'y colle
Quinze mille ans, et que cependant
Les vers de terre si toujours surprenants
Furent déjà là, il y a 160 millions d'années
Et cinq mètres par heure
Pour ce véritable ingénieur des profondeurs
Et même à côté de ses turricules
De nous, rien de ridicule
Quand de France et du monde
Au-dessus du sol
Piétiné par tant de guibolles
Retentit tout un immonde
De l'algolagnie instituée
D'un tout coprolalique
D'un tout méphitique
Terre anus et faisant colique
Tout y étant alcoolique
Et entre 1870 et 1935
74 pour cent de la consommation d'alcool en France
C'était le vin, la misère des providences
Doxa, panais coutumier, en sociologie du forcené
La femme, l'homme, l'enfant, seule osmose d'identité !
Les Pyrénées de la découverte
Suintant de l'organique périnée, au tout niet
Tout y périt, la sémantique jamais nette
Et à propos d'alcool
Dans les années 70 où je fus picole
Céline Destouches, l'hygiéniste trop mouche
Contre l'alcool, le café, le tabac, y fit ses touches
Déjà contre la médicalisation à outrance
Gentil médecin, à l'écoute, parfois gratuit, sans la remontrance
Et d'une fantasmagorie l'autre, la danse
Avec avant après, puis Almansor ( 107 ans ) en complétance
Danseuse de longévité et de vraie confidence
Même si Céline préconisait la sodomie en contraception
Mais de son temps, c'était une des solutions
Comme justement que tout est un incessant bal
Noyade en génocide culturel
De l'assimilation forcée
De l'occupation forcée
De tout ce qui se répand sur terre
En plus de tout ce qui peut s'y défaire
Des populations occupées et annexées
Indiens/amérindiens et donc vrais américains
Les autres sont des colons et esclavagistes, faquins
Mais pas seulement, là, en ce domaine, point de rien
Et au fond, toute éducastration y fait son nid
Après, s'en défaire, en impossible pari
L'enfance
Occupée et annexée
L'adolescence
Occupée et annexée
La maturité
Occupée et annexée
Traditions, cultures, religions, idéologie, croyances !
Et pour nous faire oublier
Toutes les misères occupées et annexées
De toute une industrie de la sublimation
Née de toutes les diverses et innombrables frustrations
Divertir les misères de toute attention
Déjà en 1889 et au-delà de 1900
Buffalo Bill, d'autres en imitation
Le monde entier devenant une attraction
Cody, falsificateur amuseur historique, de renom
Sans émotion en tueur des bisons
Tout un opportunisme historisé
Showman avant l'heure
De toute une contemplation de la consommation
De toute une consommation de la contemplation
Et surtout de notre formidable prétention
Je sais, je sais, je sais
Tu sais, tu sais, tu sais
En vérité
En réalité
Sauf de notre petite expérience
Sauf de notre petit vécu, en alternance
Nous ne savons rien ou si peu, en effet
Je ne sais rien
Tu ne sais rien
Mais personne ne le dit, c'est pas bien
Tout est cartel
De ce monde comme une poubelle
Cartel de l'artifice du bonheur
Des cartels divers et sans peur
Du trafic d'espèces, Totoaba macdonaldi
Cocaïne des mers, cherté du produit
Toute une contrebande d'un système pourri
Suite logique des mafias et de leurs Etats
Illégalité, légalité, tenant, aboutissant, d'un même caca
Aucune diapause dans toutes les doses
L'on y déboute du testimonial qui ose
Chaque mafia et son gargotier de l'argotier
Produisant de l'argent, tout y est occupé, tout y est annexé
Populations, individus, groupes, au tout emprisonné
Nous sommes les domestiques du conditionné pathologisé
Dans des boîtes bien triées, prêtes au départ, bien dressées
Nous en sommes, nous en faisons le marché !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique de paréidolie effondrement

1 Juin 2023 , Rédigé par Patrice Faubert

Comme une gageure
Mais hélas, pas un leurre
43 kg de particules fines de plastique
Ce qu'avale une baleine bleue, par jour, pas très tonique
Comme pour tout ce qui vit, au tout pourri
De l'alimentation empoisonnée et forcée
Se reliant à tout travail, obligatoirement, forcé
Car il faut boire, se vêtir, manger, se loger
Ainsi, par extension, pas si éloignée
300.000 camps de travail
Sous le régime nazi, horrible trouvaille
Avec les maladies et toute une mortalité
Du travail obligé et de ses associés
Finalement
De jadis, l'Allemagne, et du monde entier
Du nazisme et de treize millions
De personnes en travail obligé, de l'internationalité
Parfois, dans la population, gens hébergés
Femmes, hommes, deux millions de personnes y sont décédées
Une femme sur trois
Deux hommes sur trois
STO, 600.000 personnes de France
Prolétariat pour l'Allemagne militarisée, infernale cadence
Quand 45 pour cent des médecins allemands
Adhéraient à l'idéologie nazie, consternant !
Misonéisme, peine à perpétuité
Quand rien, justement, ne peut y changer
Du tout faux de la vie, toujours innové
Alors que :
4,4 kg d'azote
500 grammes de phosphore
Par personne et par an, encore, encore
Car l'urine pour l'agriculture, se ferait l'homme fort
Il y aurait de la liesse
De quoi, y faire florès
La conception
Qui d'une partie de l'industrie ferait fi
Et avec les pannes, de la tragédie
19 décembre 1978, France
Panne d'électricité pendant quatre heures
Mais de cette industrie, aucune mise en demeure
3/4 d'un pays sans courant
Certes, cela n'est pas si advenant
La fée électricité et son miroir
Si belle et cachant ce que l'on ne veut y voir
Et tout son futur projeté que l'on ne voudra croire
2040
Soixante pour cent de la viande consommée
Sera cellulaire ou végétale, du très transformé
Et féveroles, soja, pois, de galettes mutées !
Doxa
Molécules carbonées
De tout un hypothétique principe premier
Il y a forcément du premier
Niveau d'organisation
Il y a forcément du dernier
Niveau d'organisation
De l'inaccessible, de l'indicible, du non-pensé
Avec surtout notre mortalité
Se rapprochant au fil de l'écoulement des années
Du corps qui ne fait que se dégrader
De l'esprit semblant s'évader et s'évaporer
De nos relations anciennes qui disparaissent
Aussi sûrement que nos vues baissent
Déjà, autour de moi, en moi
Tant de disparitions qui me laissent coi
Comme une amie de jadis, Danièle Farache
D'une époque au tout à l'arrache
Quand tous les deux nous fûmes un dix
Une rencontre de 1979, du souvenir sans ghosting
Et aussi, en 1976, son futur compagnon karting
Fabrice Péréa, sachant tout faire, en ring
Elle fut en bonnes mains avec lui
Lui se retrouvant seul après des décennies
Il lui faut/faudra ne pas sombrer en profonde mélancolie
En 1982, d'elle, j'en fus, le lui
Avec des hauts et des bas
Quand, dans cela, tout couple y va
Du sommital au gardénal
De l'irrémissible en costume fatal !
Aussi certain que petits et grands truands
Du dépolitisant, du nazifiant, du fascisant
Hommes de paille, le monde politique, les renforçant
De tout un monde à l'envers
Quand avancer devient son contraire
Ainsi, sans rien d'amère
Guillaume de Lustrac
Dans son domaine, autre sacré crack
Marathon en course arrière en 3 heures et 25 minutes
Pas si absurde et peu ordinaire
En réponse au faux à l'endroit, du tac au tac
Comme une fantaisie à la Pierre Dac
Moi, jadis, en 1995, sur 200 km marche
J'avais mis, 22 heures et 44 minutes, et quelques claques
Mais à l'endroit ou à l'envers
Il faut toujours pouvoir le faire
De l'être humain ce moins que rien
De l'être humain ce plus que tout
Avec des hiérarques et des potentats
Fausses turluttes de tous les appâts
Et se repassant tous les plats
Du réchauffé au frais, en faux ébats
Toute proclamation gouvernementale en 49.3
Ciment, acier, plastique, 49.3 en 49.3, en règle de trois
Féralisation des flux marchands
Tout y est piégeux, nazifié, fascisé, capitalisé
Le capital, faut pas l'arranger, faut le crever
Le dissoudre, comme un bourrelet d'infection
De l'entretien de la pourriture du monde
De toute une organisation de notre monde !
 
Patrice Faubert ( 2023 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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