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Paraphysique de l'omertà

25 Avril 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

" On tient là peut-être la pierre d'achoppement de la réflexion classique sur le pouvoir : il est impossible de penser l'apolitique sans le politique, le contrôle social immédiat sans la médiation, en un mot la société sans le pouvoir. L'obstacle épistémologique que la " politicologie " n'a pas su jusqu'à présent surmonter, nous avons cru le déceler dans l'ethnocentrisme culturel de la pensée occidentale, lui-même lié à une vision exotique des sociétés non occidentales. "

Pierre Clastres ( 1934-1977 ) " La société contre l'Etat " Les éditions de minuit

Collision des astéroïdes
Sont survenus ou surviendront, les films c'est du bide
50 mètres, une ou deux fois par siècle
500 mètres, une fois tous les cent mille ans
10.000 mètres, une fois tous les cent millions d'années
Pas vraiment de quoi s'inquiéter !
Même si le plus grand
Cérès, avec 1000 km de diamètre, en est le géant
Mais le plus grand danger, adulé, c'est l'argent
La réussite bourgeoise de l'intégration sociale
Comme feu ( 1903-1971 ) Fernandel, l'homme à la tête de cheval
Au début pour manger, puis pour faire le beau
Nous ne pouvons jeûner, comme des escargots
Pendant de nombreuses années
Tout ce qui n'affaiblit pas le capitalisme, avec radicalité
Ne fait que le renforcer !
Le capital est expert en résilience
Et se nourrit de toutes les mouvances
Ainsi, le commerce de l'art
Est l'art du commerce
Toute catastrophe le sert
Toujours il s'en sort !
Pour nous faire tout supporter, les célébrités sont là
Du capital, c'est l'abracadabra
De toutes les idéologies
De toutes les tartufferies
Se réclamant même de l'anarchie !
La prostitution
N'est pas que sexuelle
Mais aussi psychologique et intellectuelle
Même si la première fois
Dans le corps féminin prostitué et violé, c'est 14 ans
Mais mentalement, mais salarialement ?
Certes, au pays de l'oncle Sam
Et c'est un vrai drame
L'espérance de vie d'une prostituée
Est d'environ trente quatre années
Et de toutes les prostitutions
Celle du sexe, la plus honnie, suprême abjection
Tout ce qui rentre dans ma grille
Comme l'oiseau, j'en fais mes trilles
Tant pis, de près, de loin, si l'on m'étrille
Car je suis, toi, moi, eux, elles, ils
Stories.org, voilà un site chic
Où l'on peut se corriger, en cas de hic
De plus, lui est vraiment international
Un peu d'intelligence, cela n'est pas banal
Et les fautes, les coquilles, de la fatigue
Le droit à l'erreur, sans aucune intrigue !
Cela n'est plus une obsession, comme " La cheminée "
Petit livre ( née en 1960 ) d'Anne Teyssèdre, sur l'inutilité
Car la contagion peut nous posséder
De toutes nos possessions
De toutes nos inutilités !
Et nous critiquons chez les autres
Nos propres reflets, nos propres souhaits
Nous en sommes les miroirs, les projets
Ce que tout le monde fait !
La politique est un placebo
Faire passer le laid pour du beau
Le capital a pour cela ses valets
Ses gauches, ses droites, du même effet
En 1785, apparaît le mot placebo
C'est en Angleterre, des tas de décennies avant
Par exemple, la France, où pourtant
Ce conditionnement était déjà payant, déjà opérant
Système de la récompense
Utilisation de la contagion, peste émotionnelle
Et des addictions pulsionnelles et culturelles
Système de punition
Et conformisme des soumissions
Du physiologique au politique
De la réaction organique à l'agression
De cette inhibition de l'action
La société entière est un poison
La société entière est une prison
Identification à cette addiction
Addiction à cette identification
La misère ne rend pas intelligent
La misère rend bête, envieux, méchant
Richesse de la misère
Misère de la richesse
C'est toute la véritable détresse !
La société des marchés
Est une société de maltraitance
Pas seulement pour l'enfance
Où 700 enfants en meurent, chaque année, en France
C'est toute la société
Pas seulement les mauvais pères
Pas seulement les mauvaises mères
Et 10 pour cent des enfants
Sont de toutes façons, victimes de mauvais traitements
Obligés de jouer du piano
Obligés de faire le rigolo
Obligés de faire ceci ou cela
Des colonisés des adultes, voilà !
Nulle part, aucune altérité
Chacun, chacune, dans ses pensées
Tout se fait en douce, avec célérité
La moindre relation avec sévérité
La société des marchés
Est tortionnaire dans tous ses rouages
Hélas, cela n'est pas un mirage
Le travail salarié, si peu rétribué
Est une maltraitance aussi
Il y en a beaucoup, cela n'est jamais fini
Comme des profondeurs abyssales
Où l'obscurité est totale
Comme 99 pour cent des océans
Où par rapport à Mars, l'on ne connaît que dalle
Figura nihili de l'humanité en râle !
Et la maltraitance policière
Contre les manifestantes et manifestants contestataires
Comme par exemple, lapidaire
Les trois, contre l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes
Et la répression qui jamais ne glande
Et des yeux en moins
Pour Damien Tessier et il y a peu, Pierre Douillard
Quentin Torselli, Emmanuel Terrien
Pour la police, des moins que rien
Flics, fascistes, assassins !
Et des courbettes
Devant les 67 plus grandes fortunes de la planète
Autant de richesses, que la moitié la plus pauvre de la planète
Les crapules ne sont pas que dans les gouvernements
Le dire serait trop facile, trop peu honnête
De près, de loin, intelligents ou crétins
Nous y participons tous et toutes, le système n'est pas bête !
Les bourgeoisies ont besoin du stalinien
Comme en Espagne en 1937
Comme au Portugal en avril/mai 1974
Et le peuple toujours berné, rarement malin
Et la plupart des historiennes et historiens
Bourgeois ou staliniens
Horrible engeance, infâmes faquins
C'est le monde qui craint la vie
Son pire ennemi, est donc l'anarchie !
La vie du système
Est le système de la vie
Tout y est planifié dans l'ennui
Toutes ses laideurs nous y chient
Comme un boxeur qui, c'est dur
Prend 300 kg dans la figure
A chaque coup de poing
Qu'il soit gentil ou vilain
Ce qui est noble et beau
C'est de sauter par-dessus un taureau
Ô recortador, à côté, la tauromachie, c'est des salauds !
Comme notre corps
10.000 milliards de bactéries sur notre peau
En 1 mois, la peau intégralement renouvelée, rien de faux
Il faudrait des macrophages
Il faudrait des lymphocytes T, en rage
Des immunosuppresseurs inversés pour les oppresseurs
Contre toutes les anciennes et nouvelles conneries, une totale torpeur !
La société spectaculaire marchande techno-industrielle
Est éhontément criminelle de guerre
Génocides multiples, massacres divers
Et tout ce que l'on ne sait pas
Pour ne pas vomir à tous nos repas !
C'est pas l'ADN, on ne naît pas comme cela
De maman à maman, de papa à papa
C'est culturel, quand bien même
C'est encore pire que si c'était les gènes
Comme le sable, en consommation, depuis 5000 ans
A pour équivalent et c'est hallucinant
Une montagne de 4 km de haut
20 km de large, 100 km de long
Et en Floride, 9 plages sur dix, disparaissent
Le capital n'a plus aucune laisse
Et sur le podium
Je n'en dis pas plus, par paresse
De plus, je ne suis pas un médium
De la consommation maximum
1/ sable 2/ eau 3/ pétrole
Là, plus personne ne rigole
Et même si rien ne se perd
Et même si tout se transforme
La loi de conservation de l'énergie
Peut-être parfois plus enfer que paradis

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Arythmie du capital

19 Avril 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

Lors d'une libertaire manifestation
A Madrid, le 22 mars 2014, la police est encerclée
Par la population en indignation
Dans tous les pays, c'est une possibilité
Puis les déshabiller et les dépouiller
A poil les milices patronales
A poil les milices du capital
Et si toutes les guerres sont débiles
C'est la seule guerre civile
Où l'on sache vraiment pourquoi l'on se bat
Qui vaille la peine de jouer les gros bras !
Mais les méchants, capitalistes
De véritables déments, fascistes
L'armée, la police, toujours avec eux
Pour sur les révolutionnaires, faire feu
Et les gueuses et les gueux
Pour pleurer n'ont que leurs yeux !
Mais au bord du précipice
Peut-être, le capital réduit ses vices
Comme le fret maritime
90 pour cent du trafic commercial
Et ce au niveau international
Et désolé si cela frime
Comme les cargos à voile
Comme Andreas Lackner, ce capitaine
Contre les cargos industriels, à la peine
L'écologie des mers, nouvelle toile
Des bonnes volontés
Font ce qu'elles peuvent
Là où elles le peuvent
Mais dans ce système totalement aliéné
Quel boulot
Pour rester simplement vivant !
Le corps humain n'est pas idiot
L'être humain est en travail permanent
Quelques exemples, jugez-en !
120 millions de globules rouges
7 millions de globules blancs
Qui sont produits à chaque minute
10.000 clignements d'yeux
20.000 respirations
100.000 pulsations
Un demi-litre de salive
Et ce par jour, toi, moi, elles, ils, eux
600 muscles dans le corps entier
100 muscles pour parler
34 muscles pour un baiser
200 muscles striés pour marcher
96000 km de circuits sanguins
10.000 papilles gustatives, au moins
Un coeur de 300 grammes
Actine et myosine pour éviter le drame
Quel boulot
Pour simplement rester vivant !
Vingt mille espèces d'abeilles
Petit à petit, de la carte, on les raye
De dire la vérité, personne ne me paye !
Ce qui dérange toutes et tous les bureaucrates
Pour qui je suis, un spam, du picrate
Comme de Paris à Grenoble
Car mon écriture n'est pas noble
Avec toutes leurs invectives
Par courriel, sur mon blog, toujours vives
Non, je ne suis pas un spam, mou ou dur
Je suis de la vraie contre-culture !
Ne vous en déplaise
Moi, j'en suis fort aise
La contre-culture est spam
Pour les imbéciles, les Am stram gram !
Et puis vous me censurez
Alors inutile de me menacer, de me harceler !
Je suis l'indien qui sort de sa réserve
Tous les conformismes cela l'énerve
Les langues de bois de la politique
Moi, je les nique !
L'on voudrait me couper mes tresses
Me faire aller à toutes les messes
Et bien, je vous montre mes fesses !
De la vraie contre-culture
Donc, oiseau de mauvaise augure
Comme les vrais américains
Sont depuis toujours, les amérindiens
D'ailleurs en 1924, tous naturalisés américains
En 2014, quatre millions d'amérindiens
Après leur extermination, il n'y avait plus que 200.000 indiens
Mais c'est aussi comme partout
Chez eux aussi, il y a des fous !
Normalité de la soumission
Soumission de la normalité
La normalité de la pathologie
Est la pathologie de la normalité
La révolution est contre toute religion et toute idéologie
Il faudrait un mai 1968
Tous les jours, en 3x8
Contre toutes les bourgeoisies
Gauchistes, staliniennes, fascistes
Nationalistes, xénophobes, bureaucraties anarchistes
Toutes unies contre l'anarchie
La pensée de la performance
N'est pas la performance de la pensée
De A à Z, TOUT est à réinventer
Rien n'est naturel, tout est culturel
Même nos trois véritables instincts, s'adaptent à nos rituels
Et donc, le boire, manger, copuler
Se conforment à notre environnement, les gènes savent s'y adapter !
Pas d'instinct paternel
Pas d'instinct maternel
Simplement des stratégies pour se perpétuer
Certes, c'est un pauvre qui vous le dit
Et pas un théoricien de cela ou ceci
Jamais imposable sur l'impôt sur le revenu
Qui date de 1914, en France, je me montre nu !
Et toutes les misères qui s'affichent
Elles ne restent plus à la niche
Mais divisées, séparées, fragmentées, et le capital les tue
Pas unies, le capital les pue !
Le gauchisme, le fascisme
Le nazisme, le libéralisme
L'intégrisme, le stalinisme
Les arts, les musées, les églises, le scientisme
C'est-à-dire les figures libres ou imposées du capitalisme
Toute cette prostitution organisée
Comme feu ( 1736-1796 ) William Lynch, ce possédé
Il voulait tout lyncher !
Voilà ce qui fiche la pagaille
Voilà toute la vraie racaille
Hier, aujourd'hui, sous ses différents masques
C'est cela qui nous maque !
Partout, les fascismes ont su s'imposer
Et ses contestations toujours faussées
Une contre-révolution d'avance
Une révolution de retard
Et le militantisme pour les perpétuer !
Je comprends que je puisse tant déranger
Il en faut bien peu
Pour nous mettre, en tête, du feu
Nonobstant
Tout est si géométrique
Polyèdre à quatre faces
Hexaèdre à six faces
Octaèdre à huit faces
Dodécaèdre à douze faces
Icosaèdre à vingt faces
En toutes choses, cette même musique
Le capital en est l'arythmie
Une bien mauvaise copie
La géométrie pure est l'anarchie !
Notre monde sent le poisson pas frais
Où 80 pour cent des arbres ne sont pas en forêt
L'on va encore me prendre pour un niais
Je ne suis pas un styliste comme feu ( 1894-1961 ) Louis Ferdinand Céline
Ma vibreuse n'a pas bonne mine
J'ouvre les crânes, c'est mon hoquet
Je dissèque tous les faits
A personne, forcément, cela ne plaît

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Assuétude paraphysique

12 Avril 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

" Si l'on pouvait se voir avec les yeux des autres, on disparaîtrait sur le champ "

E.M Cioran ( 1911-1995 )

Il faudrait
Des vents contre la connerie
Comme
Le Bist Roz de l'Afghanistan
Le Ghibli de la Tunisie
Le Haboub du Soudan
Le souffle de l'Harmattan
Le Khamsin d'Egypte
Le Datou de Gibraltar
Le Nafhat d'Arabie
Le Mezzarlfoulousan vent glacial
Le Beshabar du Caucase
Le Samiel de la Turquie
Le Simoun ou Solano d'Afrique du Nord
Et tous les autres vents, puissants et forts
Contre la débilité
Comme ( née en 1944 ) Christine Boutin
Une tête d'affiche pour les crétins
Pour qui l'homosexualité est une abomination
Donc comme feu ( 1912-1954 ) Alan Turing, grand mathématicien
Cryptologue, père de l'ordinateur et de sa conception
De la base chimique de la genèse des formes, le théoricien
Et qui se suicida après de la persécution
Par des gens comme cette réactionnaire Christine Boutin
Ramassis de crétines et de crétins
Fascistes catholiques et réactionnaires
Oui, il faut sortir son révolver !
Et pourtant, je suis hétérosexuel
J'aime les vulves et les mamelles
Mais la réaction est laide, jamais belle
Comme les océans devenus acides
30 millions de tonnes de dioxyde de carbone
Qui se dissolvent chaque jour dans les océans
A la mer, l'humanité n'est pas bonne
Et l'adaptation génétique, hypothétique
Si les ptéropodes ne sont pas magiques !
Comme en 1994 au Rwanda, le génocide
A l'origine allemand, belge, français
Le colonialisme et ses méfaits
Pour de sordides intérêts
Au moins 10.000 morts et mortes par jour
Pendant plusieurs mois, l'horreur fait sa cour
Les massacres du capital sont toujours lourds !
Et aussi d'invisibles génocides
Multinationales et industries qui nous suicident
Comme le chrome 6 de nos chaussures en cuir
Allergène, cancérigène, cela va sans dire
75 pour cent, coucou, revoilà l'Asie
Et surtout le Viêt Nam qui des contrôles, fait fi
Surtout pour la vente de masse
Et c'est toujours de la crasse
Même y mettre le prix
N'est plus totalement une garantie
Et pour les pauvres, c'est la maladie
C'est le même processus pour les habits
Car la marchandise est devenue la vie
Il en faut pour toutes les bourses
Pauvres ou riches c'est la course
C'est la vie de la marchandise !
L'équivalent en 1960, de la production de plastique
C'est ce qui est rejeté dans les mers, de nos jours
Et le plancton devenu du plastique, il y a un hic
Voilà l'aboutissement du gangstérisme politique
Au nom du profit, de dieu, de l'amour
Toujours du succès, jamais un four
Activation/inhibition, tic tac, tactique
Perturbation de l'horloge circadienne biologique
C'est la Grosse Bertha en plus lourd !
Le regard des autres est militaire
Et donc forcément réactionnaire
Nous avons des grades comme à l'armée
Dans la vie civile, c'est déguisé
Il faut s'inscrire dans une hiérarchie
Pour être écouté, pour avoir du crédit
Sinon, ce que vous êtes, vos pensées
N'ont aucune valeur, comme à l'armée
Docteurs, spécialistes, cadres supérieurs, les officiers
Et les simples soldats, employés, ouvriers
Et pire encore, si de quelque chose, vous n'êtes pas diplômé !
Même si les docteurs, spécialistes, cadres supérieurs
N'ont pour la plupart, aucune culture générale
Mais surtout des diplômes du fascisme libéral
Mais hors cela, leur inhumanité, leur inculture, font mal !
Hélas, comme à l'armée
Les officiers sont admirés et écoutés
Dominants et dominantes de la barbarie
Profit de la culture, culture du profit
Je préfère passer pour un demeuré
Un presque rien, au soleil de ma marginalité
La vie civile
C'est comme à l'armée
La hiérarchie à peine moins cachée
Pour qui sait encore observer
Quand tout participe de la réaction
Pour ne rien faire, il faut de l'imagination !
Le populisme du fascisme
Est le fascisme du populisme
Toujours la psychologie de masse du fascisme
Agressivité, compétition, ressentiment, profit, refoulement sexuel
Chômage, frustration, jalousie, comparaison, nationalisme, misère idéelle
Souffrance, racisme, etc, parmi le ciment réel
Car tout mot travaille et nous travaille
Le dire n'est certes pas une trouvaille
Selon nos expériences, nos conditionnements
Ainsi, tout mot nous ment
Des mots officiers
Des mots simples soldats
Des mots qui vont au combat
Mots pour soumettre, diviser, dominer !
Mots de révolte, de subversion, de révolution, en captivité
Ou détournés, pour mieux dominer !
Nous sommes le zoo de la domination
Images en attente de comparution
Le subconscient nous mène à la baguette
Nous tient en laisse, se fiche de nos têtes
Tout est en pilotage automatique
Nos noyaux gris centraux qui nous font idiots
Pensées, comportements, critiques, c'est pas beau
95 pour cent de notre comportement est automatisé
Nous n'avons plus à y penser !
Le monde est un hôtel
Seulement pour le riche ou l'intellectuel
Pas dans le monde réel
Où la misère n'est jamais belle
Le travail de l'identité
Est devenu l'identité du travail
Je travaille donc je suis, vaille que vaille
Alors que 900 usines ont fermé
En France, ces deux dernières années
L'économie de l'acier est délocalisée
Voici l'économie touristique et des services
L'industrie n'est plus la miss
C'est l'organisation du vice
Reniement achevé de l'être humain
L'économie rime avec néant, avec faquin
Fini aussi les savoir-faire, les métiers
Le capital sait tout délocaliser, tout transformer
Jamais, la peine de vie
Sous bien des formes, la peine de mort
En Chine, 4500 environ, par an
Mais là, c'est seulement pour le vol et le crime
Car le travail aussi tue, mais c'est moins voyant
Pour les prolétaires, le même châtiment
Ce sont les lois du capital, c'est banal
Il faut abolit l'Etat et les classes sociales !
Le capital raffole du paradoxe social
Comme en France, la protection sociale
Qui fut au plus haut sous ( né en 1926 ) Giscard d'Estaing
C'est le PIB de 1978, je ne joue pas au plus fin
Et l'IVG, majorité à 18 ans, pas la peine de mort, je sais bien
La gauche française est si ridicule
Le programme social elle l'émascule !
Comme la bureaucratie administrative
Qui embête les personnes très âgées
Qui n'ont même pas le droit à la tranquillité
Pour les escroquer ou les exploiter
Il ne faut plus rien
Il ne faut que des êtres humains
Qui prennent enfin leurs vies entre leurs mains
Sans aucun chef, leader, dominant, ou autre coquin!
Nous sommes sous anesthésie générale
De l'isoflurane pour notre quotidien en bocal
Ou un peu de fièvre
Dans le marche ou crève
De l'eau sous certaines lunes
Europe, Encelade, Titan
Même sous les glaces, c'est palpitant
Avec ou sans la thune
Une planète des singes ?
Ils ont aussi des méninges
Et pour l'addition
Entre 2 nombres de points
Seule différence, 94 pour cent, pour les humains
Et 76 pour cent, pour les singes, ils sont malins
Tous les êtres vivants savent compter
D'une méthode l'autre, c'est exprimé !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Tératologie paraphysique

4 Avril 2014 , Rédigé par Patrice Faubert

" Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière empoisonnée, le dernier poisson
capturé, alors vous découvrirez que l'argent ne se mange pas. "

Sagesse indienne

La vallée de Tollense, et rivière
A l'origine de l'art de la guerre
Naissance des armures
Groupes armés en dorure
Déjà, il y a 3200 ans
En devenir, étaient les armements
Pour la règle, en premier massacre
Avant d'autres, encore plus âcres
La guerre est une espèce invasive
L'apprentissage en est ivre
De pays à pays
Cela n'est jamais fini
C'est une affaire de comportement
Celui de l'être humain est dément
Et toutes les espèces invasives
Colportées par les transports
Et sur toutes les rives
Et de port en port
Mais il n'y a pas d'état originel
La nature est changeante et toujours nouvelle
La plupart des disparitions d'espèces
Cela est surprenant, yes
Ont d'abord lieu sur des îles
Et ce à 80 pour cent, le processus file
L'être humain y est pour beaucoup
Sa recherche du profit gâche tout !
Et tous les coquins
Sans exception, les politiciennes et politiciens
Qui ont pour seule fonction
Du désastre généralisé, la gestion
Pour elles, pour eux, c'est après moi le déluge
Sur les catastrophes, elles et eux, font de la luge
Et avant que tout le monde crève
Elles et eux, peuvent vivre leurs pauvres rêves
Pour elles et eux, tout est gratuit
Restaurants, transports, mecs et nanas, aucune pénurie
Elles et ils se fichent de tout
Ce sont d'authentiques folles et fous !
Nous n'avons pas pu ou su les pendre
Elles et ils, du monde, feront un tas de cendre
Pour le cosmos, le pire scénario
Est que l'être humain réussisse à coloniser d'autres planètes
Pour d'éventuelles autres civilisations, ô suprême fléau
L'espèce humaine est idiote, très bête
Comme dans le film, toujours à l'heure
" Le jour où la Terre s'arrêta ", toujours d'actualité
Et où la vraie question fut posée
L'humanité peut-elle changer ?
Nous transformons tout en d'insolubles problèmes
Sur cette planète, personne ne s'aime !
Idéologies, religions, croyances, la discorde sème
Toutes nos relations sont armées
Pour toujours faire feu en premier
Seule la soumission est durable
Ce qui est tout à fait intolérable
Comme les conflits d'intérêt
Qui sont inhérents au profit, à l'argent
Et qui sont précisément des liens d'intérêt
C'est le travail, le monde de l'industrie
Toutes nos relations ont des intérêts
Les intérêts génèrent des relations
Au travail, au foyer, à l'usine, à l'école
Pas seulement dans la recherche, si mariole
Il ne faut rien produire de spectaculaire
Pour pouvoir tout dire
Dire ce qui est sans aucune ire !
Contrairement à l'expert
Jamais indépendant, asservi au pécuniaire
Qui le paye est son frère
Cela est indéniable, il faut beaucoup de complicité
Pour que des minorités puissent tout régenter !
Pouvez-vous changer ?
Pouvons-nous changer ?
Puis-je changer ?
Notre genre de vie est-il négociable ?
Pourtant, d'une façon l'autre, tout le monde en est malade !
Tout est un marché colossal
La santé, l'école, l'entreprise, la recherche
La corruption est partout de mèche
La pollution est avant tout mentale
Et pas seulement dans le " Front national "
Mais dans toutes les fractions politiques du capital
Gauche, droite, extrême gauche, extrême droite, du capital
C'est un seul et identique mal !
Dans chaque pays, c'est le même refrain
La domination a tout dans ses mains !
Un ballon en expansion cosmique
Non cela n'est pas un effet comique
Il y aurait tant et plus d'univers
Et pour le simplifier le MULTIVERS
Tout n'est pas observable
Cela n'est pas forcément une fable
Avec une inflation infinie
Qui permet cette théorie
Andreï Linde ( né en 1948 ) physicien, le prédit
La Terre n'est pas plate, même l'église, jamais, ne  le dit !
Autant de données aujourd'hui
Et ce en une seule journée
Internet, et autres modernités
Que dans l'Histoire, la totalité des données !
Et pour FX, une pensée
Copain anarchiste, à Nantes, retrouvé mort
Si jeune, sans aucun port
Cela n'est pas l'alcool, la drogue, qui l'ont tué
Ou les squats, mais bien la société sans aucune humanité
L'organisation monstrueuse de la société
Car, c'est hélas l'économie devenue folle
Qui régit la chronobiologie, impitoyable bémol
Et les préjugés dominants d'une société
Comme feu ( 1707-1788 ) le comte de Buffon, dut se rétracter
Pour son affirmation de la géologie en millions d'années !
Il y eut tant et tant de feu ( 1564-1642 ) Galilée
Dans le présent aussi, c'est assez !
Mais une fois l'espèce humaine disparue
Il y aura de nouvelles venues
De la loterie de l'évolution, de nouvelles recrues !
En vérité, chaque époque
Et c'est sans équivoque
Du corps, et de ses morphologies
Son propre physique et donc son propre esprit
Ceci est vérifiable pour chaque pays
Comme une autre planète, une autre civilisation
Comme chaque mentalité est propre à chaque région
Où cependant, l'unanimité se fait sur le pognon
En 1914/1918, dix milliards de lettres échangées
Et des centaines de morts par jour, c'est la guerre des tranchées
Aujourd'hui, l'économie tue avec plus de subtilité !
Et nonobstant, l'humanité n'est qu'une
Tout ce qui la sépare fait son infortune !
Les lois de Kirchhoff
C'est l'économie en voix off
C'est la banque industrie
Sur le dos de tous les petits
C'est les paradis fiscaux
Pour toutes sortes d'escrocs
Et la Bourse qui leur fiche la frousse
Quand un sauve-qui-peut la trousse
24 octobre 1929, en Amérique
1931, l'Europe en panique
Comme l'assassinat par un nervi de l'immonde Staline
De son rival feu ( 1886-1934 ) Sergueï Kirov
Et c'est la répression qui dégouline !
Et maintenant, des insectes drones
Pour mieux surveiller l'humanité et sa faune
En train de s'asphyxier, c'est la fin !
Pollution atmosphérique qui comme à Pékin
360 microgrammes de particules très nocives
Par mètre cube, au lieu des 25, estimation relative
Et les chimères, de la tératologie expérimentale
Ce qui n'a rien de phénoménal
Comme la tête du poulet mâle
Greffée sur une tête de poulet femelle
Pour expérimenter la sexualité
Chez l'humain serait de grande inutilité
Sa représentation est aussi très socioculturelle
Même si l'influence hormonale n'est pas à nier !
Dans notre monde nucléarisé
Où le surveillant est lui-même surveillé
Pour des secrets de polichinelle
Où toute vie est formatée
Absolument RIEN n'est à envier
Aussi, surveiller et donc punir, est une preuve d'imbécillité !
Toutes les tyrannies sont débiles
Toutes les bourgeoisies sont futiles
Le dosimètre de la bêtise
Avec cet exemple qui défrise
7 millions de décès
En 2012, par la pollution, c'est un fait !
Nous devons en chier
A l'école, au bureau, à l'usine, à l'université
Dans toutes les activités
Comme l'hôpital qui nous laisse dans notre douleur
Incompétence, je-m'en-foutisme, manque de personnel, aucune chaleur
Des prisons, des matons, mais plus d'hôpitaux
Tu peux crever avec tes bobos !
Sans conscience est la riche bourgeoisie
L'hôpital, à Cuba, en Argentine, au moins, c'est vraiment gratuit !
Et même la richesse, de rien, de tout, n'est plus à l'abri
La seule solution, c'est l'anarchie
Pour une autre organisation de la vie
Pour une révolution psychologique
Transmutation et fin de la politique
Pour qu'ainsi même le vitiligo
Du regard des autres, ne se cache plus la peau !

Patrice Faubert ( 2014 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

 

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