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La société paranoïaque

10 Mai 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Reconnaissance faciale
Du crédit social
Au vrai mensonge cru
De toute une fausse vertu
La Chine
Premier pays en dictature numérique
De la surveillance, pays historique
Comme Thales Nice
Du tout fascisme sécuritaire, véritable pisse
Du tout paranoïaque
Du tout xénophobique
Sauf là, car c'est via Israël
Qu'il faut se procurer les logiciels
Du fascisme libéral, Nice, ville historique
Caméras de surveillance
De la fausse bienveillance
Car, les caméras n'empêchent rien
Et donc, ne servent à rien
Sinon à filmer
Sinon à spectaculariser
Ce qui advient
Mais après-coup, au tout vain
Et 98 fois sur cent
Si des attentats sont déjoués
C'est par des moyens d'ancienneté
Du simple renseignement humain
Par des procédés humains
Et donc du non numérique
Et donc du non technologique
Mais, tout va, vers un totalitarisme planétaire
De la notation des citoyennes et des citoyens
Au tout affiché, au tout dénoncé !
Sur des panneaux de publicité
Mauvaises citoyennes et mauvais citoyens
Avec leurs mauvaises notes
Sur des panneaux de publicité
Bonnes citoyennes et bons citoyens
Avec leurs bonnes notes
Au tout affiché, au tout divulgué
Tout cela
Ne pouvant plaire, et déjà
Au fascisme rouge
Au fascisme brun
Et donc, à toute une prétendue démocratie
Avec donc, de prétendus
Bons citoyens
Avec donc, de prétendues
Bonnes citoyennes
Et si cela était cela, la démocratie ?
Du fascisme rouge ou du fascisme brun, savamment bien déguisés !
Tout cela
Devenant au fil des années
Comme une sorte de normalité
Gare
Pour celles et ceux, ne voulant pas s'y conformer
Haro, sur celles et ceux ne pouvant s'y adapter
Tout cela, ne pouvant découler
De la peur de la liberté
De la peur du sentiment angoissé
Angoisse de la poisse
La poisse de l'angoisse !
Tout le monde
Enfin, les dominantes et les dominants
Y accourant, s'y précipitant
Au tout se soumettant
Au tout acceptant
Oui chef
Bien chef
C'est d'accord, chef
Mais le chef a lui-même son chef
Le dominant est lui-même dominé
La dominante est-elle même dominée
Par un système qui les dépasse
Par un système qui les trépasse
Vaut-il encore la peine
De vivre, de sous-vivre dans un tel monde ?
Post-humanité
Inhumanité
Au tout droné
Au tout surveillé
Au tout contrôlé
De la nouvelle normalité
Au tout entièrement nazifié
Du crétinisme institutionnalisé
Tout gouvernement est à vomir
Politiciens et politiciennes qui font frémir
Avec l'assentiment forcé des populations
Tout un consentement d'aberration
De l'organisation de la falsification
La falsification de l'organisation
Comme pour la grippe américaine
Improprement dénommée grippe espagnole
Du faux bureaucratique, comme l'idole
Premier cas aux Etats-Unis
Un fermier américain, via des canards
Et là, ce ne sont pas des charres
Du complotisme à la con, il y en a marre
Fin été, même avant, automne 1918, jusqu'en janvier 1919
50 à 100 millions de victimes
Militaires et civils, et contre cela, aucune vitamine
1957
Grippe asiatique en France
30.000 à 100.000 décès
Des millions dans le monde, et là, ce sont des faits
Rien de nouveau sous le soleil
Rien n'étant jamais fait, et tout reste pareil !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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Précession de l'aberré

9 Mai 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Du syndrome de Stockholm
Dépendance affective, tant des femmes que des hommes
Pire que la dépendance pécuniaire ou matérielle, en somme
De la famille, du couple, d'un groupe
Mais, comme une seule troupe
J'en suis le premier de cordée
Tu en es le premier de cordée
Il en est le premier de cordée
Elle en est la première de cordée
Car, la dépendance est si multiple et si variée
Que personne ne peut l'éviter
Du SDF au PDG
De la SDF au PDG
Sujet tabou que tout le monde veut ignorer !
Car, tout est dépendance, il faut bien l'avouer
Forcément, dans la loi du marche, le marché de la loi
Par cela, toute vie, embellie, supportée ou abimée
Par cela, toute vie, faussée, gâchée ou authentifiée
Et comme pour TOUT, du traduit et de l'interprété !
Et de plus
Et en plus
Précession
Immobilisation
Car, nous ne prêchons qu'à des convaincus
Facile, car, les convaincus, sont justement convaincus
D'ailleurs
Voilà qui fait peur
Les gens sont convaincus de l'être
Avec un discours logique, derrière
Tout discours logique étant réactionnaire
Si les gens étaient convaincus
Qu'ils ne le sont pas
Voilà qui serait révolutionnaire
La doctrine du doute qui persévère
Sauf des faits qui s'avèrent
Mais
Comme nous ne prêchons
Qu'à des femmes convaincues
Vaincues
Mais comme nous ne prêchons
Qu'à des hommes convaincus
Vaincus
En toutes opinions
En toutes relations
En toutes considérations
C'est à nous-mêmes que nous parlons
C'est nous-mêmes que nous écoutons
Et tout ce que nous disons
Et tout ce que nous échangeons
Déjà, nous le savons
Néanmoins
Nous nous en persuadons
Cela serait de la conversation
Mais alors, à quoi bon ?
Ainsi
Jamais, nous ne changeons
Et prêcher à des non-convaincus
C'est peine perdue
Car, cela n'a pour eux, aucune signification
Surtout, des hommes, des femmes
Voilà, l'origine du drame
Peut-être avec les enfants encore candides
Mais petit à petit, contaminés par l'insipide
Ainsi
Jamais, nous ne changeons
Parfois
Quelques points chauds
Comme du volcanisme au plus haut
Des révoltes
Mais plus du coup d'Etat
Que de la vraie révolution, dans la hotte
Avec des opportunistes de tout pouvoir, c'est bien cela
Il faudrait faire table rase
De toutes nos lois si nazes
En vérité, les lois de la domination
Avec toutes les mafias en inféodation
Et à tout cela
Contre tout cela
De l'astéroïde, du volcanisme
Des pluies d'acide chlorhydrique
Des pluies d'acide sulfurique
Rendre tout cela irrespirable
Rendre tout cela vérifiable
Toutes les activités humaines devenues incontrôlables
Comme des volcans destructeurs du monde
Comme des volcans créateurs du monde !
Mais
Depuis toujours, je suis confiné dans mes idées
Solitaire, comme un naufragé
D'autres
Qui sont confinés dans la pauvreté
D'autres
Qui sont confinés dans l'aberré
Dans leurs habitudes
Dans leurs certitudes
Il faudrait des tsunamis mentaux
Du mouvement brutal du plancher marin
De la plasticité neuronale qui survient
Terre qui se déchire
Raz-de-marée qui empire
Des zones de subduction
Tout étant étudié dans l'imprévision
2004, Indonésie
2011, Japon
Des centaines de milliers de victimes
Le climat en guerre, nous élimine
C'est du passé
C'est du présent
C'est de l'avenir
Toutes les époques mélangées
Et tant de catastrophes oubliées
Au tout accentué
De l'espèce humaine, de son industrie et de sa technicité
Certes
Si l'évolution est amorale
Toutes les banques sont strictement immorales
Comme la Banque nationale suisse
Qui fut la banque de l'or nazi, sous feu Hitler
Parfois, même, de l'or dentaire
Du moment que le lingot cela puisse plaire
Mais la Suisse n'est qu'une gigantesque banque
Pour blanchir l'argent propre ou sale, bonne planque
De la finance, un vrai tank
Et avec l'argent, tout est vraiment branque
Comme aussi
Des réseaux dits sociaux
Et en fait, asociaux
Comme aussi
De la prétendue humanité
Qui n'est que de l'inhumanité !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
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Tout en un, un en tout, au tout un

7 Mai 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Un triangle ignoré
Du dealer, bailleur, gendarme ou policier
Les petites villes, pour les pacifier
Ainsi
Une certaine paix sociale est préservée
Le dealer a sa tranquillité
Parfois, il peut même être indicateur policier
Le bailleur, lui,a les yeux fermés
Du moins, tant que son loyer est payé
Certes
La peur, aussi, de certaines représailles
Surtout, du je-m'en-foutisme qui baye
De toute une hypocrisie
Du dealer, du bailleur, de la police ou de la gendarmerie
Tout cela étant la main dans la main
Du même lien, du même besoin
Surtout dans les petites villes
Où tout se sait, où tout s'empile
De la trilogie indissociable
Mangeant, sans le savoir, à la même table
Prétextes ou projets inavouables
Comme un pacte sur la misère
Calendrier prévisionnel des faits-divers
Fonctionnement ordinaire méconnu
C'est pourtant du tout vu
C'est comme en prison
Là, le bailleur est le maton
Sans came variée, personne ne tournerait plus rond
Des gens péteraient un câble
Et tout redeviendrait du sable !
Et tout fonctionne comme en prison
Comme des règles de manutention
Mais
Tout individu est son maton
Toute personne est sa matonne
Mais
Tout individu est son mouton
Toute personne se bétonne
Dans une éternelle immigration
De toutes les nations
Se constituant dans l'immigration
Au grand mélange, ma, ta, sa, mon, ton, son
Comme en France
Une nation d'hommes immigrés
Une nation de femmes immigrées
De toute une réalité, niée et refusée
Pour la chercheuse en sciences politiques
D'ailleurs, sensuelle, donnant la trique
Hélène Thiollet, pour la paraphraser
Et puis, donc, tout est du monde entier
Par les guerres, tant de femmes furent violées
Souvent, plusieurs fois
Certes, c'est horrible, ma foi
Toutes époques, tous temps, tous pays
Forcément, cela fait des petits
Tant et tant
Pas des soldats russes à Berlin, en avril/mai 1945, seulement
Pas des soldats allemands, en Russie, seulement
Donc, des staliniens et des nazis, seulement
Mais, tous les continents, et tous les régiments
La guerre est ainsi comme matrilinéaire
Car, hélas, après, l'on connaît les mères
Mais plus rarement les pères
Et chaque armée
Des traditions, spécificités, coutumes
Avec des horreurs cachées et d'affichés costumes
Avec des hommes et femmes, torturés, tués
Avec des femmes violées
Et en tous domaines
Presque une même fétide haleine !
Comme pour les classes sociales
Chaque classe sociale
Enfermée dans ses traditions
Enfermées dans ses conventions
Préjugés, jugements de valeur, lieux communs
De l'individu au groupe, c'est certain
Des déterminismes conscients et surtout inconscients
Des automatismes conscients et surtout inconscients
Du langage, du matériel, de l'habitude
Chaque classe sociale dans son hébétude
Regardant les autres classes, de haut
Car, elles sont, bien sûr, dans le faux
Chaque classe sociale se gavant de ses certitudes
Il faudrait, simplement, un peu d'innovation
Dans la génération, dans la répétition
Comme au cinéma
Du film de cape et d'épée
Nous revoilà
Du travail de la répétition
La répétition du travail
Travail de l'imitation
L'imitation du travail
Cinquante heures de répétition
Pour une minute de combat
Devenant ainsi crédible sur l'écran de cinéma
Des arts, de la science, du sport, ou autre, tout est comme ça !
Tout en un
Un en tout
Comme les différentes espèces humaines
Qui au cours de centaines de milliers d'années
Des espèces qui se sont mélangées
De la cohabitation, de l'assimilation, c'est forcé
Des apports génétiques et surtout culturels, au tout métissé
Au tout partagé, rien à comparer
S'enrichissant, ainsi, d'une grande diversité
Aborigènes et pygmées, l'ADN, de plus grande ancienneté
Tout en un
Un en tout
Des particules aux autres univers
De chaque niveau d'organisation
Aucun saut dans chaque spécialisation
Mais une complétude en orchestration
Hors, cependant, de toute réduction !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
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Le formatage de la contamination

5 Mai 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Tout groupe humain
Qui fut opprimé
Devint à son tour, oppresseur
Ainsi, des chrétiens
Ainsi, des israéliens
Ainsi des ceci ou ainsi des cela
Tout est dit, voilà
Ainsi, de toute idéologie
Ainsi, de toute religion
Des hommes
Envers les femmes
Des femmes
Envers les hommes
Il y eut le temps des hommes
Il y aura le temps des femmes
En faisant, hélas, des hommes
Les mêmes conneries, les mêmes erreurs
Et toute erreur est une terreur
Les mêmes hiérarchies et donc les mêmes peurs
Avec des revanches à prendre
Avec de l'aveuglement à revendre
Du pas tendre, de l'indifférence ou pire, de l'intolérance
Et, comme immémorial, l'on condamne d'avance
Il en va
Des peuples et des genres
Donc, des hommes et des femmes
Avec des déterminants et des mécanismes se perpétuant
Haines, ressentiments, jamais ne s'exténuant
Frustrations, jalousies, au tout violent, au tout tuant
De génération en génération, tout se reproduisant !
Et tout, se réactualisant, s'alimentant
Et tout, se méprisant, se stigmatisant
Et tout s'imitant, se dénonçant
Comme en France
Ce pays de la délation
1940 / 1945
Des gens se dénonçant par millions
Pas besoin du prétexte de l'occupation
Du nazi au virus
Au tout minus
Mais le monde est nazi, mais, motus et bouche cousue
Mais le monde est virus, mais, motus et bouche cousue
Donc, sous la Gestapo du virus
La France perpétue son standing
De la dénonciation, son vrai ring
Et 43 pour cent de nos prétendus braves gens
Approuvent le signalement
De et à toute une police fascisée, le non-respect du confinement
Avec dans certaines régions
Avec dans certaines villes
70 pour cent des appels dits urgents
C'est de la délation
Mais c'est surtout de la tradition
Sans entrer
Dans de la généralisation
Car, l'on ne peut l'ignorer
En chaque domaine, il y a toujours de l'exception
Sinon, donc, c'est de l'arbitraire
Du coup monté, de l'erreur judiciaire
Judiciaire rimant souvent avec totalitaire
Toutes choses, tous domaines, du bouc émissaire !
Humanité inhumanité
Avec tous les sacrifiés de l'Etat
Humanité inhumanité
Avec toutes les sacrifiées de l'Etat
Pas seulement, en 1986, à Tchernobyl
Deux cent mille liquidateurs à la file
Et à 330 mètres du réacteur
Dans tout le corps comme un violeur
Un rayon gamma
Au lieu de mille rayons gamma
En proximité immédiate
Le sacrifice c'est pas si bath
Au tout rayonné
Au tout enterré
Au tout contaminé
Et le nouveau sarcophage
Contrat à durée pas si indéterminée pour cette cage
De toutes façons
Toutes les vies sont sacrifiées
Par un système de grande débilité
Avec des vies de la grande médiocrité
Du vrai plomb ou du faux doré
Mais il faut s'y conformer
Mais il faut s'y formater
Traçage du formatage
Formatage du traçage
Et c'est finalement la seule normalité
De la sexualité aliénée
De la cérébralité aliénée
De la festivité aliénée
Toute pensée au carré
Garde-à-vous, rompez
Il faut prendre la pause
Sinon, des calomnies, dont il reste toujours quelque chose
La prison de toutes les autorités
Quand le monde entier est réactionnaire
Le monde entier, ainsi, c'est de la guerre
Tout ou presque y est à défaire
Tout ou presque y est à faire
Et même le presque dans ce monde imaginaire !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 

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La caravane de la tyrannie

3 Mai 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

Sans le complotisme cynique
L'on pourrait penser
Que tout virus trique
Les gens, de toutes façons, seraient décédés
Surtout, au niveau de la statistique
Si à la virgule près, tout était étudié
Certes, c'est un peu de l'humour noir
De l'humour après boire
Mais ce connard virus, si instrumentalisé
Surtout, faut-il le répéter
Les populations, pouvoir les contrôler
Une aubaine, donc, pour tout gouvernement
Plus aucune liberté
Ou de la liberté très surveillée
De toute une posthumanité crétinisée
Liberté qu'il fallait déjà bien chercher
De la répression
Avec l'assentiment de la plupart des gens
Et la tyrannie se dit
Police, armée, députation, Etat donc, en font partie
C'est de l'humour noir belge, je vous dis
Si les virus n'existaient pas
Il faudrait les créer, n'est-ce pas ?
Comme une régulation des populations
Ainsi, la pauvreté en décimation
Les riches étant bien mieux protégés
Il ne faut se lasser de le répéter
De toutes les catastrophes
Les riches, toujours privilégiés, en première strophe
Et l'on fait oublier
Par des informacons ciblées et falsifiées
Tout ce qui par ailleurs peut déranger !
Ce qui consolide la tyrannie
Et ce dans tous les pays
Dont tout gouvernement, évidemment, fait partie
Sur toute la planète Terre, il en va ainsi
Alors qu'un enfant, dans le monde
Meurt toutes les deux minutes
Fallait pas le dire, zut
Fièvre des marais, paludisme
Sans tomber dans le catastrophisme
Et donc, chaque année dans le monde
400.000 personnes meurent de la malaria
Et contre cela
Surtout des enfants de moins de cinq ans
Rien n'est fait, c'est sidérant
De la misère comme régulation des populations
Et la tyrannie conserve sa bonne présentation
Propre sur elle
Et personne ou presque pour lui rogner les ailes
Pas esbaudissant
Alors que la plupart des gens
N'ont pas compris
Pour ne pas sombrer dans la folie
Que ce que l'on appelle des relations
Ne sont que des échanges de diverses prestations
Le donnant donnant de toute prostitution
Avec tout un darwinisme social
Pauvre Darwin
Qui fut, en réalité, bien plus proche, de l'entraide de Kropotkine
Darwin et sa récupération par le fascisme libéral
Mais quand tout se loue, s'achète, se vend, c'est fatal !
D'ailleurs
Et c'est proprement hallucinant
Ce qui aurait demandé, par bonheur
Plusieurs siècles, auparavant
Toute une évolution darwinienne, mais en direct
Des silures, des pigeons, s'en régalant
Sur les bords de la Garonne, c'est dément
Des oiseaux des montagnes
En milieu urbain, nouveau mât de cocagne
Là, c'est aux Etats-Unis
Mais, hélas, c'est aussi d'ailleurs et d'ici
Des mutations alimentaires ou du plumage
Des mutations sans âge
Mais nous vivrons moins longtemps
Malgré la propagande étatisée, qu'avant
Et l'anguille géante de Nouvelle-Zélande
Qui peut vivre au moins cent ans, et c'est pas du Groland
Comme quoi, un poisson, vivra plus longtemps
Que la plupart des gens
Avec donc, des maladies respiratoires, qui chaque année
Liées à toute une domination politique mondiale, à dégueuler
France : Des dizaines de milliers de victimes
Europe : Des centaines de milliers de victimes
Monde : Des millions de victimes
Et tant d'autres saloperies
De toutes les pollutions, car, aucune vraie écologie
Tout cela inhérent à l'organisation présente de la vie
De tous les gouvernements criminels à la vie
Et cela s'attribue des prix Nobel de la paix
Tout cela ne méritant que de nauséeux pets
Car, contre tout animal humain
Car, contre tout animal non humain
Et l'on peut moins utiliser
Tout cela, pour manipuler, pour museler, pour orienter
Que des virus, pour les populations, les tétaniser, les immobiliser
Que des virus, pour les populations, les apeurer et les terroriser
Ainsi
La caravane de la tyrannie peut aboyer
Ainsi
La caravane de la tyrannie peut passer !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 

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Paraphysique de l'impénitence

1 Mai 2020 , Rédigé par Patrice Faubert

N'avez-vous
Pas compris ?
Quand une personne chante
C'est nous
Qui chantons
C'est toi
Qui chante
Nous, toi, qu'elle chante
N'avons-nous
Pas compris ?
Quand une personne écrit
C'est nous
Qui écrivons
C'est toi
Qui écrit
Nous, toi, qu'elle écrit
N'avons-nous
Pas compris ?
Quand une personne parle
C'est nous
Qui parlons
C'est toi
Qui parle
Nous, toi, qu'elle parle
N'avons-nous
Pas compris ?
Quand une personne pense
C'est nous
Qui pensons
C'est toi
Qui pense
Nous, toi, qu'elle pense
Ressassement impénitent
Personne n'est supérieur
Et à toi
Et à moi
Et à nous
Et à vous
Personne n'est inférieur
Et à toi
Et à moi
Et à nous
Et à vous
Tant pis, si ces notions
Qui comme TOUT ne sont que des conventions
Nous les croyons
Tant pis, si ces notions
Qui comme TOUT ne sont que des conventions
Si tu les crois
Si je les crois
Simplement
Partout, tout est de la contrebande
Partout, les télés, les radios, les journaux, mafias de la propagande
Des inutilités
Des superficialités
Il faut, toute la camelote, la vendre
Il faut, toutes les faussetés, les faire apprendre
Avec tous les faux remèdes
Qui contre la raison, plaident
Il s'agit
De créer des maladies
Car, il faut des médecins et des pharmacies
Fabriquer
Du vol, du crime, du délit
Justifiant, toute police, ainsi
Même processus, pour toute armée, aussi !
Mais personne ne me lit
Surtout les proches, de même que les rares amis
Sur un clavier, mon identité, il suffirait de taper
Mais non, aucune curiosité, c'est assez singulier
C'est finalement aussi bien, mais, aucune rancune, aucune animosité !
Bon, continuons donc, à digresser
Alors
Que dans la nature
Certes, la vie, y est dure
Formicage du corbeau
C'est à la fortune du pot
Tout, dans la nature
Est de la pharmacie qui dure
Et puis, la terrifiante surpopulation
Aggravée par une inégale répartition
Comme augmentée par une débile distribution
Avec des populations qui en 2030, environ
Seront en surpoids, et en obésité
Pour une proportion de la moitié
Face à cela, en répulsion
Toute une bigorexie
Du sport pratiqué comme une illusoire anorexie
En vérité
La pensée de la diversité
N'est pas la diversité de la pensée
Collection de semblables, collection bien formatée
La pensée du divertissement
N'est pas le divertissement de la pensée
Toute une industrie
Banques et lobbys
Se revivifiant par l'écologie
De toute critique, vraie ou fausse, se restructurant à l'infini
De toute compétition, de toute hiérarchie
Et aussi du " Je vous l'avais bien dit "
Toi, moi, ils, elles, eux, lui
C'est toujours après coup
Mais, plus l'on est de folles et de fous
Donc, il ne peut en aller qu'ainsi
Car, il s'agit là, de l'organisation de nos vies !
Avec toutes nos catégories
De cela, de ceci
De l'ouvrier, de la manutentionnaire
Du boucher, de la charcutière
De l'artiste, du savant
De l'employé, de l'artisan
Du patron, du paysan
Du croyant, du mécréant
Du militant, de l'indifférent
Et tant d'autres catégories
Voilà bien, ce qu'il faut abolir
Comme de faux souvenirs
Comme de faux soupirs
Plus aucune étiquette
Elles sont toutes aussi ineptes
Rien, ne pouvant, vraiment, se définir
Il faudrait, simplement, laisser la vie, s'épanouir
Les choses se contentent d'être
Elles ne sont ni mauvaises, ni belles
Elles ne sont ni laides, ni bonnes
Nonobstant, sont à proscrire
La souffrance et le meurtre de l'autre
Toute violence envers l'autre
Sachant, que depuis, le début de notre Big Bang
Donc, début de notre espace-temps
Il y a 13,79 milliards d'années, environ
10 puissance 17 secondes, selon
Google
10 puissance 12 sites internet différents enregistrés, selon
Sachant que
Croyant que
Univers invisible, 10 puissance 80 atomes, selon
Sachant que
Croyant que
Chaque être humain qui meurt
De quoi ne pas avoir peur
Des atomes qui vont se désintégrer
10 puissance 25
Comme dix quadrillions
Nous en serrer cinq, oui, nous le pouvons !
 
Patrice Faubert ( 2020 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 
 
 
 

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