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Aphorisme des traces

22 Juillet 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Du subconscient
Du conscient
Traces sociales
Traces socioculturelles
Donc, traces nerveuses
 
De l'inconscient
Du conscient
En une seule et même trace

Traces oubliées
Traces non oubliées
 
Traces visibles
Traces pas visibles
Au tout naguère
Au tout guerre
 
Quoi que l'on dise
Quoi que l'on fasse
L'autre nous trace
 
France, 2018, de l'empreinte carbone
Par an, par personne, comme onze tonnes
Dès le ventre de la mère
Sortant de la matrice comme repère
S'humectant des jus du vagin
S'humectant du lait sortant des seins
De l'humain, du pas humain
Comme une fausse solution
Comme une vraie perdition
Des fermes verticales
Mais, pour un kilogramme de salade
Faux secours au malade
247 KWH en énergie
De l'exemple où tout est dit !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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De l'exposome humanophobe

16 Juillet 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Toujours Toujours
Le gauchiste L'ignorant
De l'autre De l'autre
Le libéral Le violent
De l'autre De l'autre
Les nunucheries Le névrosé
De l'autre De l'autre
L'incompris Le raté
Les pitreries De l'autre
De l'autre Le con, la conne
L'anarchiste De l'autre
De l'autre La petite bourgeoisie
Le savant De l'autre
De l'autre Le ou la débile
La racaille de l'autre De l'autre
Toujours Toujours
L'ordure Le méchant ou la méchante
De l'autre De l'autre
La rage Le salaud ou la salaude
De l'autre De l'autre
Le sage L'objet de douleur
De l'autre De l'autre
La maladie La page
De l'autre De l'autre
La goinfrerie de l'autre Toujours
La jalousie de l'autre Toujours
Toujours Toujours
Le mensonge La vérité
De l'autre De l'autre
Toujours Toujours
Le sport Le divertissement
De l'autre De l'autre
Le mal-être De l'autre
De l'autre De l'autre
Au masculin De l'autre
Au féminin De l'autre
Sans genre précis, toujours serein
Toujours Toujours
L'idéologie Toujours
De l'autre Toujours
La religion Toujours
De l'autre Toujours
La croyance Avec son bonjour
De l'autre Avec tous ses tours
Toujours Toujours
Le livre Le cinéma
De l'autre De l'autre
Toujours Toujours
L'érotisme La sexualité
De l'autre De l'autre
Toujours Toujours
La maltraitance La suffisance
De l'autre De l'autre
Toujours Toujours
Les soucis et les angoisses Les terreurs et les névroses
De l'autre De l'autre
Mais aussi Mais aussi
La bienveillance La bonté et la générosité
De l'autre De l'autre
Mais aussi Mais aussi
Le partage Le savoir
Avec l'autre Avec l'autre
Et personne, ne voulant s'avouer, que de l'autre
IL EST L'AUTRE
Et surtout du désert affectif
De l'autre, qui est bien effectif
Avec donc, des substituts émotifs
Du sublimé affectif
Ainsi, en France
Il y a environ huit millions de chiens
Ainsi, en France
Il y a environ 14 millions de chats
Ainsi, en France
Il y a environ 32 millions de poissons
Dans le monde
Peut-être environ quatre cent millions de chats
Avec soixante dix races officielles de chats
Chats par ailleurs tueurs en série
D'oiseaux, de reptiles, de souris
Par milliards et par an
Pour les chiens
Environ 344 races officielles
Avec tout un sinistre artificiel
Et donc, dans le monde
Avec des centaines de plus
Races artificielles, en bonus
Substituts affectifs
La détresse affective de l'autre
La misère sexuelle de l'autre
Les autres de l'autre
L'autre de tous les autres
L'autre de toutes les autres
De toute une humanophobie
Car elle est sous les verrous, l'humanophilie
De l'exposome nociceptif, humanophobe, et import-export de folie
En folie de toutes les folies !

Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Trois quatrains

12 Juillet 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Glossaire
 
Nous, les sans-dents
Nous les pauvres, évidemment
Avec des appareils dentaires
Les implants, soins trop longs, soins trop chers
 
Ritournelle
 
Comme la femme qui perd ses eaux
L'agriculture, c'est 70 à 80 pour cent
Et l'on va, les gens, les culpabilisant
Alors que, en 8 pour cent, seulement, ô douce eau
 
L'exode
 
Enfants perdus, populations déplacées, expatriées, bombardées, tuées
Affamées, mitraillées, terrorisées, encore, ailleurs, cela arrive, c'est arrivé
France, mai/juin 1940, du passé
D'autres temps, d'autres lieux, comme d'un énième temps, et répété
 
Patrice Faubert ( 2021) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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La publicité humanophobe, ce crachat au visage

3 Juillet 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

La publicité
Qui envahit tout
Partout, tout est publicité
De s'en défaire, impossibilité
Car, tout n'est que de la publicité
L'art de tout mépriser
De tout salir, de tout gâcher
Dans tout visage, de bien cracher
Aucune vraie gratuité
D'une façon l'autre, il faut payer
Contre son bon vouloir
Qui devient ainsi du faire-valoir
Tout blog, de publicité, est envahi
Vous êtes contre, mais l'on en fait fi
Et nous voilà
Hommes, femmes, sandwichs
De tout viol, la publicité se fiche
Tout y devient fétiche
Ou alors
Toute textualité, toute poésie, des décors
De la publicité encore
Ou alors, s'abstenir
Ne plus produire
Ne plus s'écrire
Ou alors, avoir son propre site
Être son propre lecteur qui s'édite
Être sa propre lectrice qui s'édite
Encore faut-il savoir le faire
Cela n'est pas évident, l'informatique, c'est clair
Quand tout site ou presque est publicitaire
Comme tout Etat est policier et réactionnaire
C'est comme un sabotage
Vite, à l'abordage !
Mais comme aucun éditeur
Avec la poésie ne fait son beurre
Il ne reste plus que l'artilect internet
Ou bien tout est flou, ou bien rien n'est net
Et où, la publicité enlaidit
Et où tout s'y médiocratise, aussi
Quand
Tout le monde, écrit
Quand
Tout le monde, chante
Quand
Tout le monde, peint
Certes
Cela est très bien
Mais aucune bouée
Ne peut empêcher de s'y noyer
Au tout mélangé, au tout galvaudé
Chacun, chacune, son mal-être, veut l'expulser
Avec, de plus, une cherté bien camouflée
Avec un prix réel à payer, à peine scotomisé
La publicité, la publicité, la publicité
Voilà pourquoi, sur l'artilect internet
Tout est sans valeur, tout est niet
Rien ne vaut le bouquin
En poésie, en philosophie, en tout, en rien
Même si dans chaque être humain
Il y a cent milliards
De milliards de milliards
De particules
Qui nous somnanbulent
Qui nous déambulent
Et de toute vie, et de toute mort, jamais ridicules !
Et il y a tant
Et encore tant
Se conjuguant à tous les temps
De lèche-bottes
Du plus influent
Du plus intrigant
Du plus entregent
Tant à la télévision
Tant à la radio
Tant dans les journaux
Et tout devient une conne ou un con
Avec tout un élevage de lèche-bottes
Et qui sont donc à la botte
Dix de der et rebelote
Bakounine ou un autre, est un con
Quand ce sont des connes et des cons
Qui en parlent
Baudelaire est un con
Quand ce sont des connes et des cons
Qui en parlent
Mais ne reste respectable, de la femme, son vagin, son con
Et au moins, l'anonymat
Pas celui, non signé, des minables, voilà
Préserve de cela
C'est bien la bêtise humaine
Sous toutes ses formes, qui est inhumaine
Avec toute une humanophobie
Qui entretient guerres et conflits
La tienne comme la mienne
Faisant tant de mortes et de morts
Et encore bien plus
Que la tuberculose, pourtant, un sacré bonus
Et qui fit, au cours des temps
Encore du navrant
Environ, un milliard de mortes et de morts
Et c'est pas du faux, comme aux infos, c'est du vrai !

Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique de toxicité unifiée

1 Juillet 2021 , Rédigé par Patrice Faubert

Il y a
Il y aurait
Tant de personnes à aimer
Il y a
Il y aurait
Tant de personnes à exécrer
Que nos pauvres têtes
De la tête, ne peuvent s'y consacrer
Il y a
Il y aurait
Tant de livres
Et il faudrait
Tant et tant de vies pour tous les lire
Comme l'ouvrage de feu ( 1907 - 1964 )  Rachel Louise Carson
De 1962, "  Printemps silencieux "
De ce qui se passe réellement sous nos cieux
Quand l'exploitation de l'environnement
Ne peut se coaguler dans la protection de l'environnement
Du décalage anthropologique
Du décalage galactique
De l'étoile qui naît
De l'étoile qui meurt
Décalage de l'évolution
L'évolution du décalage
Des rendez-vous forcément manqués
Des rendez-vous forcément théoriques !
Et quand toute forme de vie
De la surface du système Terre aura disparue
Ailleurs, très loin ou proche d'ici
La vie d'une forme l'autre, aura réapparue
Du génomique au galactique
Du galactique au génomique
De toutes les variantes et mutantes utopiques
De toutes les variantes et mutantes dystopiques
De ce qui a déjà été
De ce qui ne sera plus
De ce qui est déjà
De l'unicellulaire au pluricellulaire
Du robot d'aujourd'hui, de demain
D'hier
Du naturel et de l'artificiel
De notre Univers
De tous les Univers
Peut-être en de multiples exemplaires
Au tout répété
Mais au tout, mélangé, innové
Archéologie moléculaire
Anthropologie moléculaire
Certes
Mais la socioculture, elle, n'est pas moléculaire
Sans compter tout l'invérifiable
Experts et spécialistes de l'invérifiable
Car tout est peu fiable !
Mais, comme pour l'avion à réaction
Il y a l'être humain à réaction
La réaction populaire
La réaction populiste
La réaction bourgeoise
Stalinisme, nazisme, fascisme
S'adaptant à chaque époque
Et pouvant même, changer faussement, de défroque
Ce sont des ritournelles
Mais hélas, bien réelles
Tout comme pour le chocolat
Tout comme pour le soja
C'est de la déforestation
C'est de la dégradation
Du soja
Pour nourrir des animaux que nous mangeons
Je suis devenu végétarien, mais bon
Du chocolat
De l'espace exploité pour les plantations
Avec cette terrible équation
Du pâturage et de la plantation
C'est ainsi aussi
Puisque tout fonctionne comme ceci
Que cinquante pour cent des coraux
Ont disparu, ces trente dernières années
Malgré toute une évolution assistée
Avec des niches sensorielles aménagées
De la psycho-écologie
Quand presque tout a été détruit
Et quand chaque jour
Nous en sommes comme l'usufruit sans détour !
Oui, tout est à faire
Ainsi
Chaque femme pourrait avoir douze hommes
Chaque homme pourrait avoir douze femmes
Un ou une pour chaque mois de l'année
Inutile de se marier
Inutile de divorcer
Et onze mois, à chaque fois, pour se retrouver
Au tout permanent de l'impermanent
Au tout impermanent du permanent
Sans cesse de la nouveauté
Sans cesse du renouvelé
C'est une affaire de codage nerveux
Et donc, ni sérieux, ni pas sérieux
De toutes façons, tout a été fait
De toutes façons, tout a été défait
Ce que l'on ne sait pas, ce que l'on sait
Ainsi, de feu le tyran
Feu ( 1942 - 2011 ) Mouammar Kadhafi, qui fut en son temps
L'homme le plus riche du monde
150 milliards de dollars, et toute sa ronde
Mais, pour en revenir
De la pollution, qui sur nous, et à vue, tire
Plus d'un million de sacs en plastique
Sont utilisés, par minute, dans le monde
Et jamais réemployés, c'est l'hécatombe
Une bouffe au plastique
Pour les oiseaux et les poissons de mer
Du plancton au plastique
Du plastique au plancton !
Tout un pataquès
Qui sans cesse, fait florès
Un million d'oiseaux marins
Qui meurent chaque année
Du plastique, de l'avaler
Oh, vraiment, le genre humain
C'est chic, c'est très bien
Mer de plastique
Terre de plastique
Au tout plastique
Toute une toxicité élastique
De loin, le genre humain, est le plus TOXIQUE !
 
Patrice Faubert ( 2021 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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