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Articles récents

Sportocrature, sportocratie, démocrature, DICTATURE

25 Avril 2024 , Rédigé par Patrice Faubert

Saint-Laurent-des-Eaux
1969 et 1980, accidents nucléaires sous le boisseau
En France, pays très nucléarisé
Le nucléaire est du domaine de l'intouchabilité
Et même pour son plus petit ruisseau
Comme pour une femme qui perdrait les eaux
Mais là, elles seraient radioactives et atomisées
Tout cela, près du château de Chambord
Du possible accident qui jamais ne dort
Le capital est un vampire pas humaniste
Qui fabrique du suicidaire non consentant
Où l'on a pas su
Où l'on a pas pu
Dire non à toutes les monstruosités
Bien diverses et variées
Mais alors, aussi
Encore plus de gens séparés
Encore plus de gens fâchés
Encore plus de gens esseulés
Comme pour le fait de se meubler
IKEA, un arbre en moins toutes les deux secondes
Ce géant suédois de la déforestation
Avec son origine nazie en fondation
Avec de l'illégale déforestation comme pour la Roumanie
15 à 20 ans, lits, tables, meubles, durée limitée
Alors que les forêts perdurent des milliers d'années
Du très fini dans un peu d'infini !
Ma scansion n'est pas si diserte
Dans une sadique société de toute rationalité déserte
Le monde devrait être une famille universelle
D'une éducation rationnelle et nouvelle
Partout, des frères et des soeurs
Des battements d'un même coeur
Plus aucun délit, plus aucun crime
Plus aucun vol, plus aucune guerre
Nous serions l'autre, l'autre serait nous
Plus aucune porte fermée
Quand tout est respecté
Quand toute vie est sacrée
Et pour ( 1814 - 1876 ) feu Bakounine, simplifiant mon paraphrasé
" La liberté des autres étant la mienne à l'infini "
Mais surtout et aussi
La non-liberté des autres
Restreint la mienne à l'infini
Comme pour la dette publique française
Plus de 3000 milliards d'euros en 2024
Personne ne peut s'y sentir à l'aise
Il faudra, d'une façon l'autre, la payer
Comme pour les pilotes d'essai de formule 1
1952, le casque devenant obligatoire, enfin
Tant de pilotes tués faute d'une vraie sécurité
Comme les astronautes et autres, toujours des pilotes d'essai
Toute une foire technologique à regretter
Avec leurs pygmalions pour tout optimiser !
Il n'y a pas à barguigner
Toute époque conditionne les mentalités
Des gens les plus pauvres aux gens les plus huppés
L'architecture de nos automatismes inconscients
L'architecture de nos déterminismes inconscients
Selon des circonstances
Tout y semblant imbitable en évidence
De ce qui fait et façonne tout comportement
Faisant et fait force de loi, impitoyablement
Ainsi, de 1954 à 1957, feu ( 1916 - 1996 )  François Mitterrand
Ministre de l'intérieur puis ministre de la justice
Et de l'Algérie française, fervent partisan
Avec de nombreuses condamnations à la guillotine
De tout un opportunisme qui dégouline
Et même une grâce refusée à un européen
Feu ( 1926 - 1957 ) Fernand Iveton, comme un algérien
Car, anticolonialiste, communiste, proche du FLN
De tous les nationalismes, et tout ce qui engendre la haine
Comme une barbouzerie des services de renseignement
Avec le service Action pour l'effacement
Souvent des militaires, vigiles, la plupart, forcément
Services secrets qui doivent identifier pour cibler
Il faut infiltrer, manipuler, retourner ou éliminer
Avec des objectifs outrepassés, crimes d'Etat exécutés
Souvent, routine bureaucratique, du cadrage administratif
Pour exporter les armes, pays pas dubitatifs
1) Etats-Unis 2) France 3) Russie, du très indicatif
Voilà du vrai jeu olymfric
Comme toute sportocratie, comme toute sportocrature
Comme toute démocrature, quand tout y est hypocrite DICTATURE !

Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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Le monde de l'extrême droite et ses courants

18 Avril 2024 , Rédigé par Patrice Faubert

Le monde de l'extrême droite
Il n'y a plus que cela
Certes, elle a sa gauche
Certes, elle a son extrême gauche
Certes, elle a sa droite
Certes, elle a son extrême droite
Et même un courant païen
Comme avec feu ( 1935 - 2013 )
Et à la pointe du tout réactionnaire
Lui qui fut, terroriste, activiste, paganiste
Et ô paradoxe, pas vraiment chrétien
Ancien soldat, proche OAS, devenu théoricien contemplatif
De la réactualisation fasciste fut l'éruptif
Avec le concept très ancien
De feu ( 1913 - 1957 ) René Binet, fin des années 40
De grand remplacement, lui qui passa du trotskisme au fascisme
Fascisme rouge ou fascisme brun, le même totalitarisme
Du fascisme brun, du fascisme rouge, du fascisme libéral
Du fascisme tout court, et donc, qui s'en fiche pas mal !
Quand tout conspire pour le capital, maintenant
Toute fausse contestation
Toute fausse manifestation
Est toujours en faveur du gouvernement en place
Plus de bouffe, la retraite, sécurité de l'emploi, quelle farce
Bio ou pas bio, toujours la même garce
Car, il ne faut plus de gouvernement
Les gens doivent s'organiser autrement
Conseillisme, assembléisme, contre tout étatisme
Le moindre mal restant toujours l'anarchisme
Donc
Toute fausse contestation
Ne peut nourrir que l'extrême droite de la domination
Et ainsi, il y a de plus en plus de fascistes
Qui d'ailleurs, ignares, ne savent même pas, ce qu'est le fascisme
Certes, pas besoin de le connaître
Pour pouvoir l'être
Europe, monde, le même cataclysme
Les ilotes en Histoire, forcément, prêts à tout croire !
Et ce que j'écris est sulfureux
Pour la bêtise des celles et des ceux
Se désintéressant de la politique, qui elle, s'intéresse à elles et à eux
Et l'on pensera et agira pour elles et pour eux
L'identitarisme
Ayant presque comme jumeau, le corporatisme
Et hélas, l'on ne peut recenser
Toutes les nouvelles appellations du fascisme
Courants multiples et nombreux
Plus encore qu'en 1928
Et rien qu'en France, à Paris, 200 maisons et lieux
Endroits de prostitution
Le fascisme en étant la corruption
Ainsi, des truands et de leurs envieux
Tout étant devenu inouï
Dans l'horreur et la tragédie
La camarilla d'une absolue tyrannie
Il faudrait, nonobstant
Fustiger toute autorité avec mordant
En cette adaptation au tout fascisant
Avec tout l'effroyable, l'engendrant
Cybersolitude
Cyberintimité
Cybersexualité
Avec des robots de plus en plus spécialisés
Il devient déjà difficile de les différencier
Robots humains et robots artificiels
Sexbots en et de tous genres
Et de toute industrie en faisant, déjà, son fort !
Et au fond toute autorité est un fanatisme
Imposer aux autres son dogmatisme
En 1945, dans les torpilles japonaises
Des soldats, à l'intérieur, pour les guider
Retour au Docteur Folamour pour se sacrifier
L'aberré de tout nationalisme
Qui devient très vite du fascisme
Mais le vulgum pecus ne le sachant
Et ainsi, pouvoir l'empêcher, ne le pouvant
Tout s'ensuivant, et très logiquement
Ainsi
85 kg de viande, par an, par français et par française
80 milliards d'animaux non-humains, légal forfait
Sont dans le monde, tués
Chaque année et pour être mangés
Poissons, volailles, cochons, oies, lapins, bovins
Parmi les plus titrés de tout un blanc-seing
D'un monde absurde et totalement dingue
Avec le fric roi partout en épingle
De l'écheveau inextricable en vraie synecdoque
D'un tout taré dont presque personne, vraiment, ne se moque
Tout devenant du clonage politique en roque
Et la même heure à toute breloque
Pas, hélas, comme pour les empreintes digitales
Pour deux similaires, une probabilité sur 64 milliards
De ce monde infect, pas moyen de se carapater
Déjà, tout ventre de mère, en est une prison
Quand les fascismes du monde en donnent le ton !
 
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
 

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L'uniformisation tue toute diversité

13 Avril 2024 , Rédigé par Patrice Faubert

M. Baillot, juge au tribunal de Tonnerre, 26 janvier 1856, Tonnerre ( Yonne ) " Il était inculpé d'être l'auteur des lettres anonymes répandues dans la ville de Tonnerre, il ne cessa de protester de son innocence, et M. Baillot se donna la mort."
 
Vincent Platini, né en 1980, docteur en littérature comparée ( écrits fantômes, lettres de suicides ( 1700 - 1948 ) Ed : Verticales.

De fait, à l'école, y envoyer son enfant
C'est le faire contaminer, lentement
Par la chrysotile amiante, ce qui y est présent
Et ce à 85 pour cent
De la scolarité française et de son établissement
Sans compter ou avec les retardateurs de flamme
Bromés, phosphatés, et isolants en plastique, toute une gamme
Avec les pompiers qui y sont les plus exposés
Du mobilier
Des canapés
Avec des jouets contaminés
Et tout incendie, toute pollution, la propager
Et des cancers, du mésothélium, du jamais répudié
Et puis, de l'extractivisme toujours forcené
France, lithium, cobalt, pétrole
De la nature, l'on se fiche de sa gueule
Et pendant ce temps de l'aberré
La bête immonde
Et ce partout dans le monde
Tout fascisme comme ressorti de sa tombe
Avec le postmodernisme gauchiste, pourriture en trombe
Que je méprise par-delà même, l'outre-tombe
Du style Indymedia Nantes, milieu enseignant, souvent
Raclure de bidet, de faux amis, au tout falsifiant
Bref, aucun fascisme n'ayant jamais vraiment été enterré
De toutes obédiences, leurs dents, nous les montrer
Et des lois votées par le fascisme libéral
Mais jamais appliquées, l'habileté du mal
Ainsi de l'avortement, de l'homophobie
Le capital est imbattable pour toute tromperie !
Et pour le prouver
Petit exemple simple pour l'illustrer
Rien qu'en France
Une agression homophobe tous les deux jours
Et moi, cependant, je n'aime que le sexe des femmes
Mais aucune sexualité n'est jamais un drame
Il y a bien des écolieux, alternatives écologiques
Il devrait y avoir aussi du sexologique
Des centres gratuits pour des rencontres amicales ou charnelles
Sans pédophilie ou pornographie, sans sexophobie, au tout fraternel
Mais rien que dans nos vêtements
Microfibres, microplastiques, dans nos chairs
Avec des vêtements déchets de l'Europe
Et quand c'est possible, recyclés en Afrique de l'Ouest
Tout un bas de gamme au top
Puis, jetés, quand de trop mauvaise qualité
Pour pouvoir, de nouveau, être recyclés
Déchets textiles, fossiles contemporains
Milliers et milliers de tonnes
Comme au Ghana, par jour, 160 tonnes
De nouvelles montagnes de déchets
Plages de tissus foutus sur le sable
Tout, un jour, nous retombera sur le râble
De toutes nos dénégations
Comme du déni de grossesse en formation
De l'écocide vrai néonaticide en fusion !
Tout s'étant domestiqué, des moisissures
Et de toute autre friture
Pour tout, il faut fabriquer des pièces
Comme pour un seul réacteur nucléaire
Un million de pièces différentes, c'est clair
Comme le géant Amazone
Livrant cinq millions de colis par an
Sur la planète, selon les zones
Et le CEA, Commissariat à l'Energie Atomique
En France, c'est 21000 personnes employées
Oui, il n'y a que des sots métiers
Dans la société où tout est réifié
Quand l'uniformisation tue la diversité
Donc, pas de sottes gens, mais que des sots métiers
De l'astrocapitalisme de toute une inutilité
Avec toutes les chaînes d'approvisionnement
Diverses marchandises et diverses denrées
Toute une logistique du tout effondré
Produits alimentaires et de leur durée
Des surfaces immobilières au tout optimisé
Donc, tout serait pris d'assaut
Comme dans les chambres à gaz
Les plus costauds en tas au plus haut
De toute éthique qui deviendrait naze
Déjà, 1905, le mot smog apparaît
De l'industrie charbonnière qui naît
Dickens, Turner, Monet, en firent des portraits
Cheminées individuelles en continuation
Puis de fil en aiguille
Brouillard naturel et artificiel, tout s'y suivant et à la file
Londres, 5 décembre 1952, douze mille décès
Pollution industrielle de l'Angleterre
De la chambre à gaz, en permanence, sur Terre
Barbarie inévitable ou alors, l'évasion libertaire !
 
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Hybristophilie déviée et non genrée

3 Avril 2024 , Rédigé par Patrice Faubert

Auditoristes
Auditorisme
Spectatoristes
Spectatorisme
Nous sommes sous un bombardement
Informations vraies ou fausses, continûment
Et nous sélectionnons ce qui pour nous
Est signifiant ou gratifiant
Aux autres, nous tranchons le cou
Cela n'est pas la véracité qui importe
Mais ce qui peut toquer à notre porte
Et selon les idéologies
Et selon les religions
Et selon les croyances
Des béquilles de vie en soutenance
Et à la naissance, comme des seaux vides
Qui vont se remplir de ride en ride
Il n'y a pas de liberté
Il n'y a pas de fraternité
Il n'y a pas d'égalité
Peut-être, ici ou là
Peut-être cahin-caha
Car, cela se saurait
Et à tous et à toutes, tout sourirait !
Et puis, tout est surveillé ou contrôlé
Le surveillé se surveillant
Le  contrôlé se contrôlant
Ainsi du Guoanbu chinois
Cent mille agents secrets chinois
Avec des postes de police à l'étranger
Et avec diverses spécialités
Espionnage industriel et économique
Des virus espions dans l'informatique
Opposants politiques menacés
Et ainsi, aussi, dans la recherche, ne pas trop dépenser
MICE, avec forcément, des drones miniaturisés
Mais chaque pays y a son mutique
Vraiment, police partout
Vraiment, justice nulle part
Justice de classe comme faire-part
La fiction, toujours en-dessous de toute réalité
Tueurs en série, par des femmes fascinées
Toute une hybristophilie pourtant très usitée
France, des exécutions publiques de 1870  à 1939
Avec des personnes pour s'y précipiter
Les plus argentées toujours les mieux placées
Des tas de têtes qui furent guillotinées
Quand l'horreur inutile sut se faire fêter
Comme le fauchage des talus et des haies
France, et en quelques dizaines d'années
1,4 million de kilomètres, tout volatilisé
Et après, l'on ose s'étonner
Que tout, facilement, puisse s'inonder !
Bocage artificiel sans talus/haies
Bocage naturel avec talus/haies
De toute une cartographie marchande
Pour tout détruire, toujours de la quémande
Nouveaux mots en alchimie gourmande
Post-ceci, post-cela, de toute une fausse continuation
De La Poste à La Banque Postale, ô falsification
Chaque époque y allant dans son adaptation
Avec des mouroirs en acceptation
Psychiatrie, de toute une désaffectation
Hôpitaux ou de tristes maisons de retraite
Toute empathie, partout, en tout, en défaite
Et l'on préférera bientôt se suicider
Plutôt que de se faire hospitaliser
Ou de se faire emprisonner
Ou même de la perte de notoriété
Non, ici, le syndrome du survivant mais celui de l'oublié
Comme feu ( 1929 - 1986 ) Jacqueline Huet
Ancienne speakerine, sans doute, suicidée
Barbituriques puis dans sa baignoire, noyée
Et si rien n'est jamais vraiment choisi
Tout étant chafoin dans son dépit
Au tout imposé et ce comme une dictature
Du milieu social, de sa culture, et donc de ses lectures
La famille où l'on naît et qui nous fait
Finalement, tout est directement ou indirectement, de la dictature
Religions, idéologies, croyances
Béquilles s'imposant en dictature de toute mouvance !
 
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique du Docteur Folamour

1 Avril 2024 , Rédigé par Patrice Faubert

Tout le monde
Et dans ce vaste monde
Tôt ou tard est chocolat
Dans une société de prostitution généralisée
L'argent pouvant tout, vendre, louer, acheter
Et donc, non pas seulement
Ce qui popularisera l'expression, vraiment
Feu ( ( 1868 - 1917 ) Rafaël Padilla
Artiste, premier clown noir Auguste, et du dernier qui rira
De son fameux binôme " Foottit/Chocolat "
Chocolat qui miséreux, oublié, plus glorieux, mourra
Et tant de gens qui furent célébrés
En leur temps, puis, finirent totalement oubliés
Tout y est comme une capsule temporelle
Coulée pyroclastique se faisant la belle
Comme environ 1432 volcans, voire plus,  encore actifs
Dont environ une soixantaine en éruption chaque année
Dont l'obsidienne peut tout couper
Quatre cents kilomètres à l'heure
Voiture de course, et la nature comme chauffeur
Tout étant si proche et si éloigné
Du plus petit au plus grand, de l'indispensabilité
Tout apparaît, tout disparaît, au tout illusionné
Avec aussi les nouvelles indulgences du capitalisme
Pour remplacer celles du catholicisme
Vous pouvez polluer
Mais vous pouvez tout compenser
Et donc, d'une façon l'autre, il faut les payer !
C'est ainsi que les multinationales
Peuvent bambocher sans aucun mal
Cela est certes de plus en plus comme dénoncé
Et même par qui peut l'organiser
Plus rien ou faussement, n'est respecté
Et même
Si j'étais un cheval en Mongolie
Si j'étais une vache sacrée en Inde
Si j'étais une Fauvette babillarde du désert
Si j'étais Syrrhapte paradoxal
Quand l'organe était la santé du silence
Quand
 Le silence était l'organe de la santé
Quand
La santé était le silence des organes
Et qu'il faudrait
En faire le moins possible
Quand il n'y a plus aucun possible
La fin du film ( 1964 ) " Docteur Folamour "
Se réaliserait en continuant ses tambours
Avec le tyran du moment
Trump, de la fin du film, si ressemblant
Lui-même guidant la bombe finale
Pour éviter que cela ne finisse pas mal
Ressemblance étonnante mais pas sosie
Tout être humain étant unique, c'est ainsi
Et selon les âges de la vie
Des similitudes physiques ou faciales
Forcément, autre chose, que le mental !
Ainsi
Les acteurs Michel de Ré et Philippe Noiret
Avec feu le théoricien situationniste Guy Debord
Ce, à un moment précis qui se fait fort
Du tout vivant, du tout célèbre, indéniable fait
Et de tous les bords
Et ce avec ou sans aucun rapport
Le plus souvent sans escobarderie
Les probabilités sont, elles, sans hypocrisie
Alors que TOUT est absolument pollué
Les meubles, les bâtiments, les transports, les villes
Les campagnes et des zones province, sous le paillasson, le vil
Et des écoles à l'amiante ou au plomb
Toutes bien intoxiquées, saturnisme, France, Pas-de-Calais
Les endroits les plus pauvres, en effet
5615 cas recensés
Depuis les années 1970, tant d'enfants contaminés
Avec des naissances malformées
Ici ou là, dans le monde entier
Les os et les cerveaux malmenés
Depuis le nazisme, tout a pu se continuer
Des zones de mise à mort
Pauvreté, exclusion, pollution, mortalité
Des zones de concentration
Avec la novlangue, c'est maintenant, de la rétention
Des zones d'extermination
Divers goulags, prisons infectes, horribles matons
C'est en attendant la mort, de toutes façons !
Et il faut, avant, si l'on est apte
Travailler pour une abjecte chaîne de production
Puis, avant l'hypothétique retraite
Véritable miroir aux alouettes, liquéfaction
Et donc la mort au bout de toutes façons
Surtout pour la classe défavorisée ou des ouvriers
De, et beaucoup, de moindre longévité
Que la classe favorisée, ou de celle qui peut diriger
Bientôt, déjà
Fragments odorants du monde
Matières fécales, égouts, du chou pourri
Avec de nouveaux venus inédits
Et tout ce que l'on rejette comme de l'oeuf pourri
Comme un tampon Tampax perdu dans un vagin
Le vagin si propre, lui, n'y est pour rien
Comme dans le film de feu ( 1938 - 1981 ) Jean Eustache
" La Maman et la Putain " ( 1973 ) une bonne glace
D'un monde de plus en plus invivable
Plus rien n'y est buvable
Tout homme autre que soi devenant un ennemi
Toute femme autre que soi devenant une ennemie
Il y faut sa drogue, de synthèse ou naturelle
Il y faut sa dope, de synthèse ou naturelle
Du légal, de l'illégal
Médicaments, alcool, opium, haschich, cocaïne, morphine
De bien des gens en véritable héroïne
Pour pouvoir, le monde, le supporter
Et à propos de la morphine
Première utilisation dans un bloc opératoire
1860, c'est à ne pas croire
L'avenir du monde est derrière nous
Et l'on ne peut plus, même, y tirer son coup
Pas de fusil, hélas, mais de sexe, c'est fou !
 
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )

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De l'épizeuxe dans le coruscant

26 Mars 2024 , Rédigé par Patrice Faubert

Entre 1948 et 1961, environ
Trois millions de personnes ont fui
L'Allemagne de l'Est, leur pays
Mais c'est le capital, lui-même, qui est le mur
Avec l'argent, séparant tout le monde, c'est sûr
D'une muraille de Chine, l'autre
D'une muraille américaine, l'autre
D'une frontière européenne, l'autre
De l'administratif ou du dur de dur
13 août 1961, fuite de Hans Conrad Schumann
Ce vopo ( 1942 - 1998 ) qui finit par se suicider
Pourtant, pour lui, l'évasion ne fut pas ratée
Mais le suicide est la fuite la plus aboutie
Quand elle est bien réussie
Et lui, à un arbre, se pendit
Jusqu'au 9 novembre 1989
Beaucoup de mortes et de morts
Voulant s'évader d'un funeste sort
Mais aussi avec des évasions réussies
Car le socialisme sans la liberté, c'est la caserne
Disait, déjà, très jadis, le géant de l'anarchie
Feu ( 1814 - 1876 ) Mikhaïl Bakounine, révolutionnaire de génie
Migrants et migrantes d'hier et d'aujourd'hui
La mer y devenant une frontière artificielle
La noyade y devenant une mort naturelle
Le monde est sous curatelle
Le monde est sous tutelle
Mafias de l'industrie , des banques, de l'économie, de la politique
Comme en Russie, mais en plus hypocrite
Tout y est de la prostitution
De la putain et du souteneur en généralisation !
Plus seulement pour le sexe
Mais pour tout le reste, habilement, et rien ne nous y vexe
Les tuteurs et les tutrices de ce monde
Privés ou étatisés, jonglant de l'immonde
Au Parlement ou du simple appartement
Des escrocs, outrepassant, leur autorité, souvent
Curatelle et tutelle
De l'école, à l'usine, au stade, au bureau ou au labo
De la liberté libérée du conditionné
Toutes les ailes, depuis longtemps, coupées
De toute une pollution mentale irradiée
Rien de coruscant dans un merdier
Quand, champs, villes, eaux, au tout contaminé
Comme ( 1986 ) du Tchernobyl toujours répété
D'autres ( 1957 ) Maïak , Russie, secret gardé
Services secrets ne voulant rien divulguer
Hier, aujourd'hui, demain
Malformations néonatales, handicaps, un même refrain
Le commerce, toute humanité, l'éteint
Et c'est donc l'anglais colonial, la langue universelle
De grandes fortunes y font des étincelles
Ainsi
Un adolescent anglais sur dix
Parle une seconde langue
Contre quatre adolescents européens sur dix
Et cela n'est pas une piqure de télomérase
Qui des mentalités marchandes fera table rase
Tant que l'on apprendra pas la révolte et la raison
Pour un autre monde, dès la maternelle, les graines de la révolution !
Tout étant devenu comme du ghetto
Le dieu du pauvre étant de gagner le gros lot
Tout étant, des régions du monde, et selon
Comme un camp de rétention
Comme un camp de concentration
Comme un camp d'extermination
Du centre de la mise à mort
Au mauvais endroit, au mauvais moment, comme seul tort
D'une façon l'autre
Tout se réactualisant pour bien des gens
Trois pas en arrière, un pas en avant
Et à la queue leu-leu, tout s'y adaptant
Rester ou partir
Agir ou ne pas agir
Faire ou ne pas faire
Décidophobie ou anxiété
Ce qui peut parfois, toute action, l'inhiber
L'épizeuxe du tout mobile immobilité
Le capital comme machine infernale de la monstruosité
Ayant su, la plupart des gens, les lobotomiser
Quand, ll faut cinq kilogrammes de merlan
Pour fabriquer un kilogramme de bâtonnets de surimi
Et tout l'ajouté, français et japonais en raffolent
Même le frein de l'Apocalypse s'y affole
Tout fonctionnant ou presque, de cette cooptation
Pas la même que de l'effet Matilda, spoliation
Découvertes scientifiques de femmes
Que s'approprièrent, s'approprient, des hommes, ô infâmes
Ou le sexocide des femmes comme au Mexique
D'autres pays aussi frénétiques
Déjà, jadis, tout cela, analysé
Par feu ( 1920 - 2005 ) Françoise d'Eaubonne
Et aussi femmes sans clitoris, d'Afrique
Mais, pour personne, la vie n'est réellement bonne
Quand tout s'inscrit dans le fric
Ou de l'infecte et répugnante récupération politicienne
Missak Manouchian et les siens, au Panthéon
Les fascistes libéraux osent tout, pauvres cons
Alors qu'ils auraient craché a la gueule de Macron
Du PCF stalinien, du RN, pourriture en union
Une sacrée bande d'ordures
De la saleté, et même à des épluchures
Un balle, une rafale, passé, présent, futur !
 
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Artificialisation du tout artificialisé

21 Mars 2024 , Rédigé par Patrice Faubert

La bagnole, la bagnole, la bagnole
Elle est maquée sur tous les bols
France, Allemagne, pionnières de cette chignole
Et une voiture, c'est du parking
Domicile, boulot, courses, vacances
Pour les contraventions, tout un holding
65 mètres carrés par voiture
Petit navire des villes sans aucune voilure
Du tramway électrique de jadis
Quand, jamais, dans une voiture, plus de dix
Le bus, au tramway, fut préféré
Mais pour la contenance, environ la moitié
L'assassinat des transports collectifs
D'hier à aujourd'hui, de plus en plus vif
Et pour tout le service public détruit, le capital actif
Mais flux et reflux
Au tramway revenu, c'est pas du luxe
Car, tout transport individuel non partagé
Est comme un vol social à une collectivité
Une pollution insane, qui devrait être taxée
Selon le degré de son indispensabilité
Le monde est devenu totalement toc
Forcément nous éternuant de son plastoc
Tout un toc en stock
Comme les marathons de la voiture aux Etats-Unis
Concours absurdes et mortifères, y rester là
Des jours et des nuits, sur le capot, corps ou les mains
L'on ne gagne pas une voiture, mais, de la maladie, ou du rien
La voiture y étant devenue vitale, comme la soif ou la faim
Toute misère est exploitée par des aigrefins !
Donc, un monde au tout toc
Où, d'une façon l'autre, tout le monde s'y choque
De l'adaptabilité monstrueuse d'une morne époque
Tout y est devenu le commerce des entrepôts
Vides ou pleins, le capital est un escroc
Les entrepôts du commerce sic hic ou numérique
Voilà à quoi a pu mener l'électronique
Avec une prétendue zéro artificialisation
Quand tout justement, est l'artificiel de l'artificialisation
Tout un immobilier logistique
De l'investissement foncier
De tout un personnel invisibilisé
Alors que l'eau sur le système Terre est une rareté
Du un pour mille
Alors que sur Mimas, une étrangeté
C'est du un pour cinquante
Ce satellite de Saturne sait nous moquer
Et sans évoquer le modèle de Nice, en astronomie
Sur lequel, on glisse encore, avec, sans, équanimité
Tout se répercutant sur tout
Toute action de vie y ayant son coût
Tant que, et vraiment
Ne pas vraiment comprendre ce que l'on entend
Ne pas vraiment voir ce que l'on voit
Ne pas vraiment dire ce que l'on dit
Ne pas vraiment faire ce que l'on fait
Car, et pour paraphraser feu ( 1884 - 1932 ) Albert Londres
" Il faut porter la plume dans la plaie "
Ce que toujours, j'espère, je fis, je fais !
Et à propos de journalisme papier ou numérique
Le terme " Révolution " ne devrait que se rattacher
Qu'à la révolution sociale et anarchiste, pour tout autogérer
Et ainsi tout pouvoir transformer
Tout le reste est une plaisanterie falsifiée et surtout, récupérée
Ainsi, Mediapart, est en part de marché
Et site maintenu par son lectorat, les abonnés
220.000 et 135 salariés, ne faisant les deux, qu'augmenter
Pour le moins pire, il faut donc , souvent, payer
Bouffe, logement, se vêtir, information, presse
Et surtout, sournoisement ou franchement, des dames et de leurs fesses
Donc, journaux les plus lus en France
Le Figaro, le Monde, Mediapart
Presse numérique ou presse papier
Chaque groupe humain voulant imposer
Sa vérité aux autres, des bagages et des armes
Le monde entier, ainsi, est une immense vallée des larmes
Beaucoup plus encore que les lombrics
Années 1950, deux tonnes par hectare de lombrics
En 2024, moins de 200 kg par hectare, de lombrics
Qui de la terre sont pourtant des briques
Du champ en bonne santé, pour un hectare
Trois milliards de vers de terre
Remuant 3000 kg de terre
Mais tout ayant, ou presque, été empoisonné
Pesticides et le glyphosate pour les perturber
Quand, hélas, tout est régenté
Par les mafias de la banque
La banque de toutes les mafias
Tout découlant, fatalement, de cela
L'argent, salissant tout, de tout son manque !
 
Pätrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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De la stochasticité des déterminismes indéterminés

12 Mars 2024 , Rédigé par Patrice Faubert

Nous oublions notre propre vie
Tout ce que l'on a su ou dit
Tout ce que l'on aurait pu savoir ou pu dire
Tout ce que l'on aurait pu faire
Tout ce que l'on a fait
C'est terrible, tragique, comique, l'oubli
Ainsi
Je fus d'Île-de-France et de Paris
Champion des 50 et 100 kilomètres marche
Et pour les mêmes distances, aussi de Picardie
C'était, il y a une quarantaine d'années
Du vécu mais comme presque rêvé
Comme pour défier toute réalité
Et tôt ou tard, tout nous déçoit
Et en pleine figure, on le reçoit
Faux souvenirs, vrais souvenirs, mais on les boit
M'onanisant souvent dans un mouchoir
Autosexualité de mon spermé pochoir
De l'assouvissement, ni espoir, ni désespoir
Quand, finalement, tout, s'échouant, du masturbatoire
L'autosexualité la plus pratiquée
Et ce, surtout les pauvres, et dans le monde entier
Faute de partenaires adaptés et motivés
Femmes, hommes, tous les cas, toutes les sexualités
L'on s'aperçoit de ce que l'on avait
Lorsque l'on ne l'a plus, triste fait
Ainsi, pour toute maladie et son traitement
Et à peine une arrivée à l'hôpital, du dénigrement
De plus
En France, l'attente, pour avoir une ambulance
De moyenne, 14 minutes et 36 secondes
Et pour un fourgon incendie, ô indolence
18 minutes et 31 secondes, ô pénitence
Le temps de mourir ou de brûler, ô potence
Et en Europe, France, pire des flops !
Ou alors, il y entre comme de la simonie
De la bientraitance mais seulement pour l'oligarchie
Quand l'extrême pauvreté
Y est comme sans jambes, sans bras, sans dents
La première ciblée et bombardée
Ne pouvant des tracas divers, se protéger
Feu ( 1911 - 1970 ) Morvan Lebesque
De tout un parcours politique ubuesque
De " Je suis partout " au " Canard enchaîné "
Ce nantais à la plume acérée
Sur la misère récupérée, jamais ou peu améliorée
Mieux l'entretenir pour moins en parler
Journaliste, de l'écrire, l'ayant osé
En 1954 " Prenez garde abbé Pierre "
Dont " Le Canard enchaîné " fut assez fier
Il y a aussi la misère riche osant s'afficher
" Icon of the Seas "
Le plus grand paquebot du monde
Encore un truc, USA, 365 mètres de long
7600 passagers, aucune crainte de l'immonde
2350 membres d'équipage, sept piscines
Quarante restaurants et la raison qu'on assassine
Gaz naturel liquéfié, méthane, gaz, l'effet de serre
Une honte parmi d'autres hontes
En France, 56 réacteurs nucléaires
Comme deux kilogrammes de déchets radioactifs
Par an et par personne et c'est pas du fictif !
Comme aussi l'origine du Panthéon
De certaines personnalités, toute une récupération
Dont, peut se gargariser la réaction
C'est-à-dire toute contre-révolution
Et le 17/08/1744, Louis le quinzième
Sauvé, et oui, par un médecin juif, d'une indigestion
Fit ériger l'église Sainte-Geneviève
Qui deviendra le Panthéon, côté face, côté fève
Isaïe Cerf Oulman, au service indirecte de la calotte
L'église a toujours le dessus sur toute parlotte
Il y faudrait une rudologie
Des religions et des idéologies
De tout notre poubellocène en béton
Immondices, ordures, déchets
Selon les temps et les lieux
Excréments, crachats, l'urine, jeunes ou vieux
Menstrues femelles et à qui mieux mieux
Tout déchet produisant du déchet
De l'excreta et des sous-produits urbains
Toute une excavation huluberlue du vain
Avec des SDF qui y prennent le bain
Alors que même l'écureuil a sa hotte
Tout, dans cette sotte société, en touche, botte
Naufrage, comme le 26/27 septembre 2002
Le Joola, navire avec des sénégalais à bord
Qui sombra avec 2000 personnes
Et avec seulement 64 rescapés, au tout aphone
De toute une organisation militaire en tort
Pire que le Titanic et ses 1500 mortes et morts
Mais c'était pas le même monde
Il n'y a que pour les riches que l'on gronde !
 
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Biorégionalisme, bioeuropéanisme, biomondialisme

3 Mars 2024 , Rédigé par Patrice Faubert

Biorégionalisme
Bioeuropéanisme
Biomondialisme
Vert ou autre
Le capital n'est jamais un autre
France
Dispense de recherche d'emploi
Terminus
Allocation spécifique de solidarité
Terminus
Chômage cotisant pour la retraite
Terminus
Et tant d'autres projets étatiques, MINUS
Car le fascisme libéral
N'a plus aucun complexe
Aucune turpitude ne le vexe
Son objectif final
Est maintenant
Cela devient de plus en plus évident
La suppression de toute allocation sociale
Du capital, c'est sa lutte finale !
Avec depuis un certain long temps
La complicité de femmes
La complicité d'hommes
De la prétendue intellectualité
Mais de la vraie malhonnêteté
Et qui furent, jadis, les maoïstes, des fascistes rouges
De défendre des ordures, Mao, Staline
Jamais, la racaille intellectuelle ne décline
Les mêmes, de nos jours, sont pour Macron ou Mélenchon
Ou l'ont été, je vous dégueule, ô connes et cons
Vous mériteriez, les travaux de la mine !
Travail, famille, patrie
Non, c'est France emploi, pardon
L'allocation pour avoir des gosses
Chair à profit, chair à canon
La seule qui toujours, en place, et bosse
Toute une impensabilité des actes
De l'ignoble du banal, et du marié
Du ( né en 1961 ) Dino Scala, au tout violé
Père de famille, tout pour déranger
Toute une région en fut la sidérée
Il fut l'ami du gendarme et du policier
Nous devrions, et de loin, lui préférer
Une chauve-souris pouvant vivre soixante années
De petite taille, et si peu, nonobstant, appréciée
Tueurs en série
Tueurs de masse
Violeurs en série
Violeurs de masse
Avec dedans, surtout, politiciens et politiciennes
Toujours la cote, malgré tout, pourriture vaurienne
La vermine et la saloperie semblant fasciner
Pas étonnant, ainsi, si l'on a oublié
L'inventeur, peintre, chimiste, physicien
Du crayon à mine/graphite, argile, Nicolas Jacques Conté
( 1795 ) à partir d'un corps de bois de cèdre
Cela était un moindre danger
Du nucléaire Maïak, et de sa complexité
29 septembre 1957
Première explosion nucléaire d'historicité
Et dans l'Oural, ce fut un secret bien gardé !
Personne ne le sut jamais
Et partout dans le monde, d'autres faits
476.000 personnes irradiées
Par le plutonium et du personnel renouvelé
Niveau 6, il fallait bien débuter, du premier
Et finalement
Animaux non-humains prolétarisés
Ou surtout, sous-prolétarisés
Ce à travers l'Histoire
Comme donc pour les animaux humains
Pour l'exploitation, tout, dope niveau
La répugnance, l'avilissement, top niveau
Crachons à la gueule de ce tout idiot
Racaille nazi ou fasciste
Racaille gauchiste
Racaille stalinienne
Racaille libérale verte ou pas verte
Toutes les recettes du capital
Tout y est de la production de la souffrance
Et l'on ose nous parler encore de résilience
Ainsi des fermes aquacoles
Des saumons, 15/25 kilogrammes, par mètre carré
Et cela s'y colle, et la vivacité molle
Bientôt, soixante kilogrammes, de saumon, par mètre cube
Et 35000 maires de France, en comminatoire
De la prison, du manger et du boire
Mais à peine... Et du toc-toc, c'est du Tik Tok
Un milliard de jeunes y sont abonnés, il y a du stock
Toute une désinformation pro-chinoise
Nouveau fascisme même pas rouge, qui patoise
Un jeune français sur trois, 1 heure et 47 minutes, par jour
Et en effet, Tik Tok et d'autres du même cadran
Sont les meilleures armes des nouveaux tyrans
Chine, USA, France, Europe, Afrique, au tout purulent
Fascisme rouge, fascisme brun
Fascisme libéral, fascisme stalinien
Fascisme tout court
Et donc, vive la vasectomie, mais, oui
Sans aucune contrepartie
Avoir eu déjà des enfants
Ou avoir un âge requis
Très jadis, il en allait ainsi
La France trop réactionnaire
Il fallait aller en Suisse ou en Angleterre
Et là, c'était encore avec des restrictions
Et je ne pus le faire
Car, des enfants, je ne voulais faire
Et cela a un petit peu changé
Mais rien vraiment de chamboulé
Et, hélas, pas dans toutes les mentalités !
 
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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Paraphysique du totalitarisme banalisé

1 Mars 2024 , Rédigé par Patrice Faubert

" Et bien, je m'en souviendrai de cette planète "

 ( Auguste de Villiers de l'Isle-Adam ( 1838 - 1889 )
Père de la science-fiction avec l'andréïde ( 1886 ) qui deviendra l'androïde
Nouvelliste, romancier, poète et son fameux livre " L'Eve future " ( 1886 )

Tout corporatisme
Est comme une cuirasse caractérielle
S'opposant
Et le plus souvent
Ainsi, à la cuirasse caractérielle
De tout autre corporatisme
Aucune convergence possible des luttes
Quand tout s'y rebute et y bute
Tout y faisant la sieste
Tout y étant à la diète
Sauf, et encore, pour sa propre assiette
Difficile de s'y faire la belle
Quand tout y engendre du faux rebelle
Chacun, chacune, avec ses propres intérêts
Et c'est là, que ses besoins, l'on y fait
Tout y poursuivant sa course sans arrêt
Comme dans une prison
Mais, là, y étant son propre maton
Il y a le loyer à payer
Le chauffage et l'électricité
Et il faut boire et il faut manger
Et tous les jours, toujours, recommencer
Comme une impossibilité de s'en échapper
Déterminismes et automatismes pour tout plomber
La tyrannie du capital sachant tout organiser
Hommes et femmes politiques en principale complicité
Pour que rien ne change, sachant bien comploter
Avec des gens, poings et pieds liés !
Le fascisme se manifestant ouvertement
Les beaux jours revenus pour lui, depuis longtemps
FNSEA en France, en totale impunité
Car par tout gouvernement, une pollution bien protégée
L'écologiste, lui, aurait été insulté et matraqué, emprisonné
Deux poids, deux mesures, du faux binôme
Les ordures politiciennes en sont comme l'atome
Et un monde sans argent ?
Pour la plupart des gens, c'est du vent
Pourtant
Sept-cents millions de dollars
C'est le salaire de trois footballeurs, ô salopards
Les mieux payés du monde
Hélas, rien ne paraissant plus indécent
Et surtout, l'on s'y sent, impuissante, impuissant
Chaque groupe humain de la planète
De par sa culture, de par son engrammation
Préjugés, jugements de valeur, lieux communs
Pouvant s'opposer ainsi à un autre groupe humain
Le plus fort l'imposant aux autres
Autres eux aussi divisés, et l'on en voit jamais la fin
Avec sa religion, son idéologie, ses croyances
Avec de vraies guerres pour de fausses évidences
Quand il faudrait tout fiche par terre
Conserver le peu de bien, mais tout est à faire
Tout autre que soi est soi dans l'égalitaire
Et puis tout le quotidien des gens
De l'oublié, de l'archivé, comme du sans !
Avec plus aucun risque de potomanie
Quand l'eau potable est une ressource devenue finie
Ainsi, des archives des musées
Du musée dans le musée
Archives comme secrètes, il y en a tant et tant
Fossiles, squelettes, documents oubliés
Que les consulter, les voir, l'on en a plus le temps
Sous les musées, des caves hors du temps
Cela n'est pas étonnant, si tout pue
Car, depuis l'ère pré-industrielle
69 pour cent des mammifères ont disparu
Il faut donc déjà une zoothèque
Un monde inconnu, souterrain, aux pas perdus
Comme une succursale de La Mecque
Et 68 millions de spécimens en France
Rien qu'au Muséum national d'Histoire naturelle de Paris
Ruine-babines en harmonica d'ici
Bref
Tout est affidé dans le ruissellement
Quand tout ne vaut que par l'argent
La cuirasse caractérielle
La cuirasse émotionnelle
La cuirasse matérielle
La cuirasse culturelle
La cuirasse professionnelle
La cuirasse sexuelle
La cuirasse affective et cultuelle
Toujours les autres, jamais soi
De tout cela, feu ( 1897 - 1957 ) Wilhelm Reich, fut le roi
Précurseur toujours malmené par la loi
Quand le plomb et le cadmium
Ne nous sont pas, partout, premium
Du savon bébé Cadum !
Du macrobiote au microbiote
Déjà en 1890 avec le microbiote pulmonaire
Puis, intestinal, bucco-dentaire, cutané
Vaginal, fécal, tout y est destiné
Nous ne sommes que des bactéries
Et avec là, aucune hiérarchie, de l'anarchie
Comme nos milliards de bactéries
Qui sont échangés à chaque baiser
Ou même par le simple fait de se toucher
Après la période placentaire
IMC, tout y est à faire
Avec la fécalothérapie si méconnue
Presque un gros mot, comme le cul
Pourtant, efficace, pour bien des maladies
Niveaux d'organisation sans hiérarchie
Sauf au niveau de l'organisme être humain dans son entier
Car mal utilisant ses potentialités pour tout gâcher
Il suffirait que tout le monde le sache
Et dès le berceau, qu'ainsi, plus rien ne s'y gâche
Ce qui pourrait empêcher de futures OAS
Des futures URSS/USA/SS
OAS française qui tua 2200 personnes en Algérie
Qui en tua 71 en France, ô tragédie
394 personnes blessées, du totalitaire toujours nazi
Avec l'extrême droite du capital , des attentats toujours meurtriers
Du fascisme antiparlementaire toujours routinier
En 2024, tout parti du monde en est une partie
Mais électoraliste, ayant su se faire adopter
Et toutes ses mesures, les faire voter
Partout, en tout, pignon sur rue, en toute légalité !
Tout peut se ressembler, avec ou sans étrangeté
Ainsi, de la ressemblance peu remarquée
Du très beau film ( 1969 ) " Charles mort ou vif " de feu ( 1929 - 1922 ) Alain Tanner
Avec feu François Simon ( fils de Michel ), rare film où l'on parle des libertaires
Et même avec une citation de feu Bakounine, et comme un sosie de feu Henri Laborit
François Simon, comme Henri Laborit, de plus, père absent ou père mort
Décidément, de loin, de près, tout est comme un même sort !
 
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien

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