Tout est viol avec ou sans consentement
" Léo Ferré, le poète, l'écorché, ne fit jamais de cinéma. Mais je reste fier de l'empreinte qu'il a laissée sur un film que je considère comme lui totalement à part "
Ce à propos du film de 1971 ( L'Albatros ) avec musique de Léo Ferré
" Je vais encore me faire des amis " Jean - Pierre Mocky ( ED : Le Cherche Midi )
Et moi encore plus de l'inimitié
Par le site " MesPoemes.net " étant complètement censuré
D'une façon proprement stalinisée
Je devais, trop les déstabiliser
Et comme souvent, ne pas être d'une conformité
Il n'est pas des nôtres
Certes, tant mieux, je ne suis pas des vôtres !
Quant tout peut s'acheter
Comme l'argent
Qui peut en toute impunité, violé
Il a payé
Les cuisses, je peux les écarter
Le pantalon, je peux le baisser
Quand tout peut s'échanger
Quand tout peut se louer
Quand tout peut se vendre
Quand tout peut se détourner
Quand tout peut se compétitionner
Quand tout peut se dealer
Tout cela, de près, de loin
Est du violé
Est du maltraité
Rien ne s'y faisant
Par attraction
Par fascination
Mais par intérêt, tout simplement
Des conditionnements et de l'engrammation
L'argent de la séduction
La séduction de l'argent
Absolument tout y est son entregent
Au travail, toujours forcé, forcément
Loisirs, amitiés, les amours
C'est cela, cause toujours
Comme l'excellent film de 1979, " Cause toujours...tu m'intéresses ! "
Qui sur la solitude est une bonne adresse
Donc, des divertissements
De tout gouvernement
Quand seul le viol de quelque chose, s'agissant
Du couple, de la famille, des nations
Mêmes disputes, mêmes culbutes, et but !
Comme jadis le bourreau
En 1593, feu ( 1555 - 1634 ) Franz Schmidt
Mais toute société autoritaire sait meurtrir
Elle sait aussi guérir
Mais tout y fait sadisme
Mais tout y fait masochisme
Avec encore et toujours
Ce qui se trouve dans sa cour
Aucun miracle, mais diverses subtiles tortures
Ou de manifestes tortures
Aucun cesse, cela dure, cela dure
Avec des émeutes de subsistance
Plus rarement des émeutes de résistance
Et à propos du viol physique
Viol conjugal
Viol extraconjugal
En France
Des centaines de milliers par an
Femmes, et surtout des enfants
Dans le silence des familles
Un vrai jeu de quilles
Et même des hommes, plus rarement
Par la force physique
Par l'emprise psychique
Par la sidération cérébrale
La société patriarcale
La société du capital !
( Ci-joint une lettre électronique
Pour Bruno Dubuc neurobiologiste, et son site " Eloge de la suite "
Clin d'oeil à " L'éloge de la fuite "
Sur Henri Laborit, un musée numérique ! )
De : Patrice Faubert <thx11382@gmx.fr>
Envoyé : 2 octobre 2024 11:21
À : bruno dubuc <bruno.dubuc@videotron.ca>
Objet : Sur le " cerveau reptilien " ...
Bonjour à vous
J'ai écouté ce jour une émission sur France Inter ( La Terre au carré ) sur le cerveau reptilien où un sociologue a très très mal parlé de feu Henri Laborit, déjà en le présentant comme psychiatre alors qu'il était biologiste des comportements et plus que cela, c'était son fils Jacques Laborit qui était psychiatre, mais bref... Tout a été présenté avec une grande CONFUSION peut-être même volontaire afin de déconsidérer toute l'oeuvre de feu Henri Laborit dans son intégralité ! J'ai trouvé cela lamentable, car ce prétendu sociologue n'avait visiblement pas lu ou bien lu, ou écouté Henri Laborit ! Tout a été fait pour dissuader les gens de le lire ou de l'écouter, en se concentrant uniquement sur cette notion de " cerveau reptilien ". C'est honteux ! Vous devriez écouter cette émission en podcast si vous en avez le temps, car elle est édifiante de la pensée réductrice et falsificatrice d'aujourd'hui ! Vous pourriez même y laisser un message car il y a un répondeur pour y remettre les pendules à l'heure ! ( Si il n'est pas censuré... ) Voilà, je voulais vous en informer.
Bien à vous. Amicalement. Patrice Faubert
" Merci Patrice pour l’info. Ça ne m’étonne qu’à moitié car ce genre de critique très ciblé sur un aspect sans perspective historique bien souvent (le cerveau triunique est bien sûr aujourd’hui dépassé, mais à l’époque, c’était une avancée majeure de comprendre que nos différentes régions cérébrales étaient apparues progressivement durant l’évolution, ce qu’apportait l’approche de MacLean, relayée par Laborit, en visionnaire qu’il était bien entendu…).
Peut-être la plus belle réplique qu’on peut apporter ici (et je le dis en toute modestie, ahahahah..), serait par la promotion de mon livre qui sort en Europe le 25 octobre prochain, dans lequel je montre toute la profondeur, la justesse et la vision d’ensemble de Laborit, plus que jamais d’actualité.
Tous les détails de mon livre sur mon blogue.
À bientôt !
B.
Mais revenons à notre ogre du capital
Tout y est de l'objectal
Enfants objets
Femmes objets
Hommes objets
Animaux non-humains objets
Avec aussi de la sécurité matérielle
Contre du viol admis, des faveurs sexuelles
Et finalement
Tout est viol avec ou sans consentement
Le capital ayant tout violé
Surtout les consciences, mais c'est bien voilé
Tout Etat est bourreau
Il nous brise, brûle, découpe, pend
Lapide, guillotine, électrocute, torture, fend
Comme l'épée de jadis qui tranchait
Et la tête, si cela était correctement fait
Devant un public pieux, tombait
Sinon, gare à l'impie
Qui aurait, d'indignation, poussé des cris
Ou du bourreau guérisseur anatomiste
Qui n'aurait pas réussi
La tête tranchée à l'épée, une faveur
Se faire rouer vif était la pire horreur
Mais le bourreau était un intouchable
Comme ménestrels, ramoneurs, bergers, équarrisseurs
Et tout un choeur
Les toucher c'était se déshonorer
Et littéralement parlant
Cela a peu changé, tout se faisant plus hypocritement !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Colonisation des identités
Et qui se souvient
De Reclus, de William Barbotin
Personnages de l'île de Ré
Et par la police, bien surveillés
Reclus, de l'anarchie, un savant théoricien
Du peintre graveur Barbotin
D'autres, dont l'on parla moins
Avec des passages et des visites
Révolution sociale anarchiste, mais là, sans dynamite
Kropotkine et son éthique anarchiste
Reclus, de l'anarchie en plus haute expression de l'ordre
Mais l'ordre des choses par elles-mêmes
Et pour elles-mêmes
Mais l'ordre des personnes s'organisant par elles-mêmes
Et pour elles-mêmes
Et non les ordres bourgeois
Et non l'ordre militaire
Et non l'ordre policier
Et non l'ordre étatique
Pour savoir savourer toute beauté
Comme le cachalot bébé
Tétant sa mère
Ô doux géant des mers
D'ailleurs, les pêcheurs japonais
Toujours aussi bêtes, aussi niais
Continuant, mammifères marins, de les massacrer
Malgré de courageux Paul Watson
Qui pour les protéger, fortement, klaxonne
Ce qui en prison, peut vous envoyer
Démocratie et dictature
Devenant une seule et même confiture
De la nature, de la bavure, et tout s'y perdure !
De tout amplexus qui étreint
Quand le soupir du monde nous atteint
Avec toute une société informationnelle qui éteint
Quand elle n'est pas de l'autogestion
Quand elle n'est pas de révolution
Pas de toute technologie
Mais de toute mentalité
Et il n'y a pas de sortie
Quand au coin, nous sommes mis
Le blaireau, à cinquante sorties, lui
Hélas, il est maltraité et tué
Avec un discours logique pour le justifier
Et là, point de famadihana
La mort est morte, et voilà
Il y a donc des émissions
Des radios et des télévisions
Mais comme tout ce que nous faisons
CO2, mais déjà du passé
4,9 tonnes par an et par personne
Il n'y faudrait pas plus d'entonne
2,8 tonnes par an et par personne
Tout augmentant au fil des années
Comme la résistance aux antibiotiques
L'on reviendra à l'ancienne thérapeutique
De la phagothérapie mieux que les antibiotiques
Selon les affections et l'enzybiotique
Retour à feu ( 1873 - 1949 ) Félix d'Hérelle
Lysine phage et non l'acide aminé
De l'effet parfois physique, retour vers le passé !
Des guerres dans l'organisme
Comme des guerres nationalistes
Elles pourraient tout à fait s'éluder
Avec une une forme de société
Ainsi, toujours la guerre d'Algérie
1954/1962
Avec des centaines de milliers d'appelés
Des dizaines de milliers en mortalité
Là, de la France, en Bourse, pas coté
Des centaines de milliers de mortalité
Là, de l'Algérie, en Bourse, pas coté
Quoique
Tout et rien la faisant fluctuer
Mais
Deux millions au moins d'algériennes et algériens
Qui furent déplacés de leurs villages
Avec des répressions qui firent des ravages
Puis, un million de pieds-noirs
Avec soixante mille harkis rapatriés en France
Tout, dans tout conflit guerrier, y fait sang
Et ne peut être véritablement compté
Et avec de l'audace, seulement, estimé
Mais des appelés écrivirent sur les trains
L'Algérie aux algériens
La Tunisie aux tunisiens
Furieux d'être appelés pour du crétin
Avec le courrier comme seul vrai soutien
Bordels militaires pour s'obséder moins
Colonisation des mentalités
Mentalités des colonisations
Et c'est en perpétuelle réactualisation !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Paraphysique du globicide
Il s'agit de faire croire
Qu'en politique, les masses, elles ont à y voir
Alors que ce sont les banques qui décident
De le dire, même plus un déicide
Et quels que soient les résultats d'élections
Bien avant, tout se décide en amont
L'on peut faire semblant de faire durer
Ainsi, en France, le pipeau démocrate
Et choisi, déjà, à l'avance, par l'autocrate
L'on sort du chapeau, un barbier Barnier
Car la même politique, il faut la continuer
Si l'on pouvait y voir les coulisses
Et de tout le mépris qui s'y glisse
Vraiment
Toutes les politiques étatiques
Au poteau
Et douze balles dans la peau
Car tout y est et fait facho
Et tout s'y organise dans le facho
Tout s'enfonçant dans le globicide
Tragique, risible, indicible
Tout pouvoir est vraiment maudit
Tout pouvoir toujours du profit
Et toujours sur le dos des gens démunis
Il faudrait prendre d'assaut
Les centres vitaux et principaux
De la télévision et de la radio
Et toute domination, l'éliminer, salaudes et salauds !
Mais
Chacun, chacune, dans sa misère
Affective, sexuelle, matérielle, cérébrale, pécuniaire
Comme les étudiantes et étudiants
Qui à leur faim, ne mangeant
Quand un euro, c'est beaucoup d'argent
En fait, nous n'avons aucun droit
Le droit de tout accepter, ma foi
Des déterminismes automatisés jusqu'à la mort
Comme par tirage au sort
Ou alors, cela est accordé
Si cela ne peut rien changer
1893
Le droit de vote pour les femmes en Nouvelle-Zélande
Mais cela était plus une prébende
Quand il le faut
Tout Etat étant policier
Ordure, fumier, mais ni con, ni sot
Sachant très bien rasséréner
Pour se sauver, et du lest, un peu lâcher
Et tôt ou tard, stagner ou reculer
Il y aura toujours des merguez à bouffer
En France
Dix-sept millions de barbecues
Pourtant, merguez industrielles en cigüe
120.000 tonnes grillées chaque année
Et en usine, à 80 pour cent, c'est fabriqué !
Avec dedans des cochoncetés
De l'âne, du mulet, du cochon, de la chèvre
Cheval et autres étrangetés
Colorants, arômes artificialisés
Avec des emballages synthétisés
Et là, l'on pourrait, pour tout, généraliser
Tout est saboté, tout est salopé
Tout est massacré, tout est tué
De tous les pays, des massacres oubliés
Leurs cris devenus comme silencieux
Dans nos corps, nos esprits, devenant elles et eux
Partout, du peu audible, mais partout, incrusté
Et ceux et celles qui savent si bien globicider
Sont les plus riches, surtout, dans le sadisé
Ainsi, en exemplarité
Poutine, s'il était pesé
240 milliards de dollars, le plus fortuné
Et les autres peuvent toujours s'aligner
Et il y a des fois
Où l'on a envie de cogner
Militaires, réactionnaires, bourgeois et fascistes, patrons
Nazis, gauchistes, libéraux, flics, stalinistes
De la pensée
Toutes les nonnes
Avec tout ce qui y déconne
L'on va encore dire que je déblatère
Hélas, c'est de peu que j'exagère
Mais plus nombreuses et nombreux que moi
Je ne fais pas le poids, et je me déçois !
Comme ce massacre bien scotomisé
Guerre du Mozambique ( 1964-1974 )
Un million de personnes tuées
Rarement, aux guerres, l'on refuse de participer
Mais pour la guerre d'Algérie
Cela est forcément peu dit ou écrit
Deux millions d'appelés
Avec 11000, refus courageux, d'y participer
Car comme un appelé osa le rappeler
Un cow-boy gradé
C'était mieux qu'un cow-boy de deuxième classe
Pour se croire quelqu'un
En fait, du moins que rien
Et à toute vérité, il faut renoncer
C'est la pensée militaire pour tout gouverner
Et nous oublions que tout chef d'Etat
Est le chef des armées et de ses dégâts
Le colonisateur devenant colonisé
28 août 1944
Le protectorat américain ne se fera pas
Et la radio française, américaine, ne deviendra pas
Car en réalité
Nous sommes surtout des personnes douées
Pour des adultes, tout accepter
Parce que nous en sommes l'engrammé
Comme l'enfant, par toute violence, déjà formaté
De nous renier, de nous soumettre, de tout accepter
Surtout le faux nié, prix à payer, pour nous faire aimer !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Sibyllin, saynète, tutti quanti
Tout ce que l'on aurait
Pu faire
Et que l'on a jamais fait
Rien à regretter
L'on a pas pu le faire, c'est tout
Tout ce que l'on aurait
Pu dire
Et que l'on a jamais dit
Rien à regretter
L'on a pas pu le dire, c'est tout
Nous sortons de nos chrysalides
Le destin y a déjà tout forgé, impavide
Dès potron-minet, nous en sommes le livide
Comme le raclage des fonds-marins
Du chalutage qui ne laisse rien
26 pour cent de la pêche mondiale
Et toute contestation y cale
Et si l'homme est un loup pour l'homme
Le loup n'est pas un loup pour le loup
Ce régulateur de la flore et des épidémies
Le loup, 200 km en 24 heures
Comme jadis, quelques marcheuses et marcheurs
De soi-même, un défi
Je l'avais déjà écrit mais tout ce que j'écris
Pour beaucoup, même les proches, du charabia
De l'incongruité, de l'inutile, du galimatias
De la turlupinade incompréhensible, et voilà !
Dans un monde d'anxiété et de dépression
Peuvent y tomber nos plus grands champions
Et s'en moquer serait justement totale incompréhension
La preuve, les médicaments spécifiques en très grande consommation
Toutes classes sociales, quand la vie est devenue du poison !
Feu les dadaïstes
Feu les lettristes
Feu les situationnistes
Avaient compris qu'avec plusieurs films
L'on pouvait faire un autre film
Avaient compris qu'avec divers livres
L'on pouvait écrire un autre livre
De bons détournements
Mais, sans, pourtant, le plagiat strict qui ment
D'ailleurs
La publicité, vite, s'en empara
Cette ancienne réclame, en toutes choses, en compas
Le capital fait aussi feu de tout bois
Il en est même devenu comme le roi
Sous-titres, du vocal, avec tout un arroi
Toujours
Nous donnons des armes à nos adversaires
Du côté réactionnaire ou du côté révolutionnaire
De toute une ventriloquie en fausse loufoquerie
Conditionnements, des formatages, des pitreries
Du sibyllin, fausse saynète et tutti quanti
Synecdoque de la physique quantique
Mettant la théorie physique
En cloque
Qu'elle soit foireuse, sérieuse ou fumeuse
Quand à toutes les sauces, elle devient oiseuse
Alors que concrètement, cent multinationales
Sont responsables de 71 pour cent, gaz, l'effet de serre !
Sans commune mesure avec les individus
Certes, un plus un, rien de quantique
Mais, là, seulement, de l'économie politique
L'abolir ainsi que toute fausse rhétorique
La propagande des Etats et donc du capital
Nous hypnotise, nous kidnappe, nous est fatale
Tout cela en fabrique du faux doute
Tout cela en fabrique du vrai complotisme
Tout cela en fabrique des religions et des idéologies
Se déversant dans tous les esprits
Du mensonge vérité de la pétrochimie
Avec tout un peuple du précariat
D'un prolétariat devenu sous-prolétariat
Tout y devenant utopique
Se loger, se chauffer, manger, de l'olympique
Alors, que le monde entier est aux mains
Un pour cent de propriétaires, charité au tout malin
Quand cela ne leur coûte rien
Et pour propager ce monde, des câbles sous-marins
99 pour cent de la communication transatlantique
Déjà, 4 août 1857
Sous la mer, premier câble subaquatique
L'Irlande en fut le premier décortique
Un pour cent par des satellites, 1,3, pas anecdotique
Un million de câbles sous-marins
Pour nous courroucer, surtout, pour nous amadouer
D'un monde en train de crever !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Propriétarisme des us et coutumes
La Birmanie
Encore un pays
Aux mains de militaires, aussi pires, que nazis
Tuant tout ce qui se révolte
MASSACRANT
Tout en désinvolte
Tout torturant
Tout interdisant
Et à balles réelles, tirant
Des dizaines de milliers de gens
Birmanie et Corée du Nord
Complicité internationale
Jeux des alliances nationales
Déjà, la guerre de Corée
1950
1953
Cinq millions de victimes
Corée du Sud
De l'engrammation du capitalisme privé
Corée du Nord
De l'engrammation stalinienne du capitalisme étatisé
Et dès le berceau et le sein en Corée du Nord
Mais, c'est le cas, partout, avec du parfum moins fort
Donc, de dénoncer, l'on se fait fort
Mais, avec le chacun/chacune pour soi
Tout pays chez lui, y fait sa propre loi !
L'occultation
N'est plus seulement astronomique
Mais aussi, politique, économique
Ainsi
En Bretagne
Région d'environ 3,5 millions de personnes
Mais avec 7,5 millions de porcs, deux par personne
Soixante pour cent du cheptel français
Et au final, algues vertes, c'est toujours frais
Ainsi
Les Jeux olymfrics
Toujours les Jeux des diverses bourgeoisies
Celles en place, de tout, faisant leurs lits
Alors
Qu'une médaille d'or olympique
Six grammes d'or, 507 grammes d'argent
Et à la revente, 863 euros
436 euros pour la médaille d'argent
La médaille d'or
Fut vraiment en or
Seulement, en 1904, Jeux de Saint-Louis
Londres, 1908, sinon, du toc et des gris-gris
Tout est devenu de la merde
Les gens en redemandent
Toujours les mêmes recettes
Toujours les mêmes sucettes
C'est plus-value qu'un garage ou une pharmacie
Quand de toute éthique, l'on fait fi !
Et pour l'ordonnance de la vie
Du travail, du consomme, du ferme ta gueule
Faire ce que l'on nous dit
Nous encellulant
Dans la geôle de nos divers déterminants
Et selon ce que l'on nous apprend
Ainsi, de la sensibilité animale non-reconnue
France, 1900, et qui l'eut cru ?
Trente millions de chiens noyés dans la Seine
Chaque temps avec sa logique sereine
Ou, chiens, chevaux, oiseaux
Enterrés avec leurs gens, en mélange d'os
Raisons religieuses ou guerrières
Politique romaine de l'animal fétiche
L'aristocratie du quinzième siècle, s'en entiche
Ou jetés aux ordures, le plus souvent
Maintenant, l'incinération remplaçant
Prégnance, de l'équarrissage d'avant
Il y eut bien des millions de femmes, vives, brûlées
Pendant des siècles, France, Europe, Monde, au bûcher
Mauvais galopin et maroufle
Est l'ordre patriarcal du capital avec grand barouf
Il me l'avait bien dit, de Tonnerre, mon gégé
Gérard Despeghel, un ami voisin du rez-de-chaussée
La vie c'est la loterie
Surtout celle des déterminants, c'est ainsi
Bref, le propriétarisme se perpétuant
Du profit capitalisme, faux ruissellement
Profit de la rente, rente du profit
Par le travail dissimulé en plus-value
Travail caché, officiel, clandestin, il reste plus-value
Pour le capital, qui toujours en fut
La fraternité humaine, jamais, il ne le put
Peut-être avais-je trop chargé, le Baudelaire
Ce petit gâteau de beaux nuages dans les airs !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Engrammes et niches environnementales
Une journée à peine particulière
Quand je m'entraîne, rien d'arbitraire
Marche sportive, j'écoute Radio Libertaire
Les deux y faisant comme une seule paire
De son conditionnement
Difficile ou impossible, de se soustraire
Ou de le savoir, pour un peu, s'en défaire
Quand le monde et sur la Terre
De tout un fascisme ambiant
Du pain et des jeux, toujours se perpétuant
Des engrammes qui façonnent les gens
Comme de tout engrenage et tout l'étant
Selon sa naissance
Selon sa classe sociale
Selon son sexe
Selon sa région
Selon sa nation
Son temps, sa culture, sa niche environnementale
Et c'est dans tout cela
Que nous nous débattons, voilà
Des sables mouvants scélérats
Toujours vainqueurs, les seuls, à tout moment
Ainsi du féminisme de droite
Continuation de la femme de droite
N'aspirant qu'à devenir ou faire
Ce qu'un homme, en général, peut faire
Et voilà la femme militaire, policière, politicienne
Guerrière, maquerelle, inhumaine !
Le machisme de droite
Lui, est d'une banalité plus étroite
La femme, servante ou putain, la bougie éteinte
Mais tout peut s'adapter
Et toute définition se réinventer
Sportive de haut niveau en toute féminité
Sous-traitance quand tout reste hiérarchisé
A devenant Y
Y devenant A
Mais A restant toujours A
Mais Y restant toujours Y
Le capital y retrouvant son portefeuille
Tout y est son livre et ses feuilles
Comme un chippendale qui s'effeuille
" Nous ne sommes pas au monde "
On nous l'a assez dit, pour paraphraser
Rimbaud via la sublimissime voix de Léo Ferré
Quand la " vraie vie est absente "
D'ailleurs
Nous en avons une peur flippante
D'horribles méchants gosses
Nous serions, sur nos saletés enfin méditantes
Toujours à voir du complot partout
Alors que c'est toute façon de gouverner
Ainsi
9 février 1942, le paquebot Normandie
Fut par un incendie, ravagé
Accident de chalumeau, étincelle propagée
Et non un sabotage, mais, et c'est prouvé
Mais la fiction est préférée à toute réalité !
Toute réalité est toujours déformée ou bafouée
Nous en connaissons une infime particularité
Sous les lazzis, tout le monde, ridiculisé
Et bien plus encore de toute prétendue célébrité
Ou de l'interprétation de toute historicité
Morphing à la " Fantomas ", celui, qui
Pour son original, faisait peur, causait terreur
En 1912/1913, le cinéma muet pouvait faire peur
Puis, il devint une sorte de personnage comique
En d'autres années, bien plus tard, avec un faux tragique
Comme des spectres polliniques
Médecine légale et morphocriminologique
Analyse des pollens, comme ADN, traces de sang
Tout pouvant se transformer en de l'identifiant
1406, Cité interdite, du cèdre blanc, datant
Avec Pékin et ses 222 tremblements de terre
55 siècles, dont moururent, fils et pères
Tout le près est loin
Tout le loin est près
Durant toujours plus longtemps, tromperie de toute faconde
Que les sept minutes et trente secondes
Du rapport sexuel moyen aux USA
Pourtant, partout, l'on en fait tout un plat
Il y a 1000 ans, la France, était divisée en duchés
Chaque duché avec son propre parlé
Le séparé est séparé dans son propre séparé
Voltaire le déiste, avec son platisme, à l'église, attribué
Se trompant, de sa propre pensée séparée
Et donc, pour une fois, l'Eglise catholique, injustement accusée
TOUT est de l'engramme formel ou subliminal
En TOUT, nos ignorances, font de tout, une arme fatale !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète paraphysicien
Prédation en anonymisation silenciation
Toutes les tyrannies
Sont représentées dans le sport d'aujourd'hui
Le sport en continuation de la guerre
En temps de paix, on ne peut plus clair
Tout y est dégueulasse
La honte attire la populace
Jeux olymfrics ou diverses coupes du monde
Atrocités oubliées du tout immonde
Chine, un million de personnes
Dans des camps de rééducation, Ouïghours
Mais tout pays a son cachot, son four
Soudan, huit millions de personnes déplacées
Douze mille personnes tuées
Sept cent mille enfants dénutris
Et c'est en 2023, et tout s'y marie
Corée du Nord
Travaux forcés pour enfants
Et la terreur en cinéma permanent
L'Afghanistan
28 millions de filles et de femmes
Sans aucune existence véritable, de l'infâme
Monde, Europe, Afrique, Asie
Amérique, tous les pays
Avec leurs ouvriers et ouvrières du sport
Toute la journée à s'entraîner
De mêmes gestes sans cesse répétés
Avec du harcèlement, injures, blessures, l'équité s'y tord !
Des usines à champions et championnes
Opium du peuple, pour l'oubli du tout déconne
Tout y est dopage
Tout y est du mirage
Le cyclisme, risible, en étant l'outrage
Le monde est de plus en plus crétin
Dans les têtes, au berceau, l'on y met du Pétain
Ainsi aux USA
Cent millions de chrétiens évangélistes
Trente pour cent de l'électorat américain, ô fascistes
Il sait y faire conflit, le trumpiste
Comme un mauvais western raciste
Pas étonnant, si en 1940, si américaniste
Trente pour cent des films produits à Hollywood
Furent des westerns, sans ceux et celles qui les boudent
C'était proche de l'époque des colonies pénitentiaires
30 octobre 1935, France, et peut-être ailleurs
Des établissements surveillés pour mineurs
Droit de correction paternelle et dressage
En fait, des lois étatiques et économiques
Plus qu'une trilogie, parents, curés, la police
Avec l'armée et l'Etat, des milices des milices
Mais une population s'effondrant dans une espèce
Mais, pas, elle-même, l'espèce
Mais l'espèce peut finalement aussi disparaître
Par raréfaction de sa population, même du naître
Si seulement l'espèce des autoritaires pouvait disparaître
Si seulement l'espèce des non-autoritaires pouvait apparaître
Enfin un cercle vicieux, enfin un cercle vertueux !
Ainsi du cyberharcèlement contre des femmes
Osant avoir des opinions via l'Internet
En dit long sur la misogynie de mecs pas nets
Malgré le raisonnable ou la bêtise qu'elles incarnent
Insultes, menaces, de la destruction psychique
Silenciation à cause de l'anonymisation
Tout devrait être assumé
Pour le vomi, le supprimer, l'immobiliser
Avec son nom et son prénom, je l'ai toujours pratiqué
Sinon
Quel manque de courage
Quelle absence de plumage
Et de la couardise qui fait des ravages
Tout ce qui est anonyme devrait être refusé
Et la témérité d'être soi, seulement validé
Tout pouvant se dire, rien n'étant sacré
Aucun Zorro, pour l'égalité, tout du zéro
Ce défenseur des propriétaires et du tout faux
Tout ou presque, dans ce monde déboussolé
Est une horreur sans cesse renouvelée
Comme une petite fille qui est excisée
Et oui, toutes les quatre minutes, pendant que vous vaquez
Ce surtout en Afrique, tout existe et a existé
Milou était une chienne
Haddock aux expressions céliniennes
Milou, prénom de la première femme
De RG Hergé, ( 1907 - 1983 ) Georges Remi et sa Castafiore castrat
Antisémite, fascisant, Tournesol Auguste Picard et voilà
Et comme d'autres, il finit libéral
Retour vers le futur du capital
Il eut dans sa jeunesse un ami chinois
Peut-être un agent secret communiste stalinien
Perdu de vue, retrouvé en 1981, du compliqué, cette fois !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Paraphysique anartiste anartisme, contre...
France, Assemblée nationale
Donc, ce qui représente le capital
Années 1980
6,8 pour cent de l'origine ouvrière
Années 2017 à 2022
Zéro pour cent de l'origine ouvrière
Un vent mauvais puant la charte bancaire
Et cela prétend être des élus du peuple
La preuve qu'il n'y a plus de peuple
Ou alors si étique et si malingre
De la honte comme seul violon d'Ingres
Avec l'artisme et les artistes
Confortant tout cela, en tête de liste
Il y a trop peu de l'anartisme
Il y a trop peu d'anartistes
Pour dénoncer toutes les saloperies
Compétitions, l'autorité, les hiérarchies
Quand tout participe
De toute guerre et qui l'anticipe
Plus rien de formellement romantique
Terme qui vit son cirque
Dans la revue ( 1798 ) Athenaeum
Fondation des frères Schlegel
Dans sa conception nouvelle
Littérature, philosophie, cercle de Iéna
De l'école allemande qui verra !
Pas comme l'Angleterre
Qui pour la paix sociale, rugby et football, les inventa
Mais, plus surprenant, une forme de piraterie
Pour faire échouer les bateaux
Feux allumés comme faux phares
Puis pillage du magot
Au besoin, assassinats des rescapés, peu de la bagarre
Le temps, de tout, en tout, comme univers bazar
Mais divers déterminismes automatisés, aucun hasard
De la nécessité des déterminants avec ou sans fards
Déshérence, désuétude, assuétude
Sans, avec, remboursement des attitudes
France
68.000 accidents industriels par an
187 par jour, environ, selon chaque mesure du temps
Comme ce que nous pouvons recevoir sur nos têtes
Mais là, débris spatiaux, un million, en fête
Entre un et dix centimètres
36.500 de plus de dix centimètres
130 millions d'objets de plus de un millimètre
7,8 kilomètres par seconde
Des collisions que la pollution féconde
De la destruction en grande fragmentation
Le gaulois que le ciel ne lui tombe sur la tête
Anticipation sans le savoir, pas si bête
Comme une jungle du ciel, seconde forêt secondaire !
La Terre utilisée en colosse navire
Différentes affaires d'exploitation, sans médire
1450 / 1890
Douze millions de personnes déportées
Plus d'un million de morts et mortes, pendant la traversée
Avec tant de peuples indigènes massacrés
Surtout, ô paradoxe, par des maladies apportées
Colons portugais
Colons espagnols
Colons anglais et américains
D'autres comme les belges et les français
Le soi-disant non civilisé, donc une brute
Devenant ainsi marchandise comme seul but
De l'esclavage en discours logique, en occiput
Mais là, de la soumission forcée
Non volontaire et donc obligée
Plus voyante
Moins tolérante
Que l'esclavage salarié
Travail aussi forcé
STO, que l'on ose plus, ainsi, nommer
Car, il faut bien manger
Car, il faut bien se loger
Et avoir du fric pour un peu, sexer !
Quand au manger
Quatre kilogrammes de colorants, il faut avaler
Conservateurs, exhausteurs, épaississants
Et en moyenne, par personne, par an
Avec tout son cortège d'émulsifiants
Toute l'organisation de nos vies si ridicules
Avec tout son enfantement des canicules
1995, Chicago, juillet
40 à 45 degrés, sans être au douillet
49.000 édifices privés de courant
Au moins 700 décès, climatologie du navrant
2003, France, deux à trois semaines
Au moins 20.000 décès comme une gangrène
Surtout, là, comme ailleurs, personnes en précarité
Surtout, là, comme ailleurs, personnes isolées
Surtout, là, comme ailleurs, des personnes malades ou âgées
Mais de la sociologie urbaine en banalité
Canicules à venir de ces prochaines années
Tempêtes, inondations, incendies, au tout provoqué
Et du pardon à toute irresponsabilité
Ou alors, des députés jamais vraiment jugés
Toute une suite logique en inhumanité
De toutes les stases sexuelles bien sexophobées
Des frustrations, refoulements, dont il naît tout le violé
Tabou inhibé, comme l'infériorité ou la supériorité
Tant qu'un être humain apprendra des fausses notions
Il n'y aura jamais de vraie révolution
Aussi, en ont le besoin/moyen toutes les dominations !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Inhumanisme agent/argent axiomatique
Le pire ennemi de l'être humain
Un autre être humain
Chacun contre chacun
Chacune contre chacune
Les idéologies et les politiques
N'ont même plus à y voir
Les religions et les croyances
N'ont même plus à y voir
Nous ne pouvons plus nous voir en peinture
Nous nous voyons comme des ordures
Partis contre partis
Syndicats contre syndicats
Associations contre associations
Organisations contre organisations
Foules contre foules
Individus contre individus
Nous nous haïssons
Nous nous méprisons
C'est de la haine universelle
De toute une recherche de dominance, consensuelle
Du dominé dominant
Du dominant dominé
Tout le monde, femmes, hommes, enfants
Tour à tour du dominant et du dominé
Et tout le monde veut dominer
Toi, moi, lui, elles, eux
Alors ? En joue, et feu !
Nous disparaîtrons, et bientôt, ouf, tant mieux !
Certes, je suis un misanthrope
Trop déçu de tout le pithécanthrope
Où les putains ne sont pas celles que l'on croit
Ce sont les artistes qui en sont les rois
La plupart des gens connus
Relevant jupes, ou baissant pantalons
Faut ce qu'il faut, et hop, dans le cul
Mais dans un monde où tout est pute
Et où tout fait la pute
Faut pas le dire, chut, chut
Parfois, il y en a du chant
Comme de feu ( 1939 - 2023 ) Henri Tachan
De toutes façons
L'on ne fait qu'admirer ou applaudir
Que ce que l'on pourrait, soi-même, faire ou dire
Si l'on pouvait le faire ou le dire
Tout le reste étant de la merde
Quand tout est ou se prend pour de la merde
Tout s'y maquille dans chaque clique
Punk, jazz, classique, et toutes les musiques
Et dans nos gueules, l'engramme de toute mimique
Comme les quatre kilogrammes de rouge à lèvres
Mangés par femme, dans sa vie, je soulève un lièvre
Au Portugal, il fut un temps
Signaux partiaux, lèvres rouges d'un signifiant
Contre le fascisme et le racisme, du ralliement
Mais tout est devenu du marché publicitaire
Et à un moment, en France, tout réactionnaire
TF1 et M6, 75 pour cent du marché télévisuel publicitaire !
Fiche de la merde bien enrobée
Dans la tête des gens bien lobotomisés
Sévices subtils comme 1914, la guerre des tranchées
Chloropicrine mais en version télévisée
Tout s'y poursuivant, année après année
Pays, régions, tout y étant enchaîné
2020, France, déficit de la Sécurité sociale
38,7 milliards d'euros
D'un référentiel pénitentiel séculaire en idiot
Le passé est le futur du présent
Le présent est le passé du futur
Le futur est le présent du passé
Avec de la maltraitance en toute malignité
Exhérédation de l'idyllique bientraitance
Avec toute une reproduction culturelle et sociale
Familiale, idéologique, religieuse, le capital
Avec toute une reproduction
Sociologique, philosophique, économique, politique
Avec toute une reproduction scientifique
Du jamais neutre, et de la fausse critique
Avec finalement, immense accumulation des solitudes
De tous âges et milieux, de tous les sexes, ô décrépitude
Faussement reliées, vraiment séparées, par les ordinateurs
Axiome du futur étalé comme du beurre
Dès que la mémoire artificielle, supplanta
La mémoire naturelle, l'humanité se supprima !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Le monde politique est à vomir
Et tout gouvernement, hier et maintenant
Il y a, plus que jamais, à sa tête, un tyran
Au fond, ce que veulent beaucoup de gens
Avec tout un idoine encadrement
Voleurs et voleuses, gangstérisme, de l'escroquerie
Abus de biens sociaux et publics, de la filouterie
Pillage, carnage, des génocides, des guerres
S'en mettre plein les poches, grosse merde au derrière
L'on ne redira jamais assez de le redire
Gauche, extrême gauche
Droite, extrême droite
Avec son centre pour les unir
Tout étant entre leurs mains
Tout manipuler pour faire le malin
Faux ou vrais attentats
Pour faire remonter la cote d'un potentat
Du Secret Service des services secrets
Voulant se faire passer pour des niais
Et peu importe du dégât
Seul peut importer le stratagème du résultat
Et par/pour des pays interposés, en via
Tout ce qui peut-être manipulé
Tout ce qui peut-être utilisé
Pour toujours davantage mieux gouverner
L'a, le sera, l'a été
Et jusqu'à un certain point
Tout ou presque pouvant s'y laisser faire
Afin, en toute affaire, que le capital y retrouve ses repères
Et parfois du faussement dans le supprimé
France, 1963, création Cour de sûreté de l'Etat
Puis, en 1981, soi-disant Cour volatilisée
Tout, sous le capital, de nom, sait changer !
Dans le peu ragoûtant
Chouiner dans la matonnerie étatique
Quand tout y est prévarication homérique
De tout détournement des fonds publics
Hommes et femmes politiques s'y soûlant
Faudrait se débarrasser des femmes et hommes politiques
Toute démolition célinienne le confirmant
Jamais s'y gameller en faux contrevenant
Toujours du fruste et du peu avenant
Le monde politique est à VOMIR
Le monde politique est sans avenir
Ainsi, devenant du purement économique
2019
55 millions de tonnes de déchets électroniques
Ont été produits
Dans le monde suicidé, c'est ainsi
Quand dix-sept pour cent
Du collecté, du recyclé, à peu près correctement
Car, tout est à priori, finalement
1943
La police allemande
Trois mille hommes en France occupée
La police française de Vichy
113000 hommes, qui de toute justice, firent fi
Et surtout pour les sales besognes
Parfaite présence de toutes les trognes
Et selon les fluctuences
Avec l'ignominie en diverses flatulences
Toute influence étant comme une mode
La mode de toute influence !
Il ne s'agit plus
De construire des imaginaires
Car, ils sont engrammés
Conditionnés, formatés, imités
Par des économies politiques réactionnaires
Avec leurs mandarins et leurs caciques
Il s'agit donc de les défaire
Dans du révolutionnaire libertaire
Car le libre arbitre est une chimère
Et la liberté encore plus amère
Chacun, chacune, voulant sauver sa peau
Mais quelle peau ?
Quand même le pourri
Est atteint par le pourri ?
Comme la décarbonation
De la carbonatation sans natation
Quand TOUT est déjà bien carbonisé
Il ne s'agit plus de métamorphiser
Quand nous sommes patachons de l'irréalité
Le monde devenu une barbarie télévisée
De feu la Rome antique, la barbarie si faussement redoutée
De tout et à tout artefact, la barbarie est invitée
Comme si
Dès la naissance, le prix, il fallait déjà le payer
Cela pourrait cependant, tout à fait, s'éviter
Cela a d'ailleurs existé, au mésolithique
Femmes chamanes, déesses, égalité et parité
Au tout partagé et sans autorité
Certes
Chasse et cueillette, matrilinéarité, depuis, l'on a régressé !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien