Concentrât d'encéphalisation, classes sociales
Non seulement
Les pauvres vivent moins longtemps
Que les riches, et pas seulement
Mais tout leur système nerveux
Dès la naissance, sera moins stimulé et enrichi
Mais substances perfluoroalkylées et polyfluoroalkylées
Pour toutes et tous, sans chiche
Ceci donc, sans être de l'envieux
Avec donc des associations neuronales moins abouties
Et tout dans le cerveau de ce qui va avec aussi
Du handicap caché et jamais dit
C'est de la classe sociale et du malappris
Et donc à peine du né et la pauvreté déjà punie
Pourcentage d'apprentissage en moins
Dans des zones du cerveau du déficit
L'égalité, la fraternité, l'égalité, du mythe
Sans avec peu de la stimulation
Tout cerveau, ainsi, comme en hibernation
Certes, la plasticité dendritique et synaptique en compensation
Et après, pas le même soleil, de toutes façons
Rien ne pourra, vraiment, du riche, du pauvre, être pareil
C'est cela la terrifiante scandaleuse réalité des classes sociales
Horrible, du scotomisé, par tout le fascisme libéral
Du handicap dès la naissance
Tout y sera plus difficile pour toute jouissance
Les riches, en tout, se gavent
Les pauvres, en tout, en bavent
Tout y sera différent dans l'entrave !
La pauvreté est suicidée dès la naissance
D'ailleurs, qui ne le sait, c'est une évidence
De toute précarité qui est noyée
Ainsi de feu ( 1920 - 1970 ) Paul Celan
Proche des anarchistes, il fut un temps
Et qui d'un passé de peine
Oui, du pont Mirabeau, se jeta, dans la Seine
Son corps, Courbevoie à Puteaux, dérivant
Inutile aurait été la boussole quantique
Du rouge-gorge aux particules dans les yeux
Cinquante atomes d'intrication chimique
La rétine y faisant de son mieux
Nord-Sud en déplacement, du sérieux
Un processus de balançoire
Tout se démenant en son miroir
Et rien de séparé pour s'y voir
De l'Irak, d'une dictature chaotique, l'autre
Dominants politiques américains
Avec leur armée, ont détruit tout un pays
D'un terrorisme l'autre et des mensonges faisant fi
Désinformation auprès des autres pays
Et beaucoup de l'Amérique, du racisme fascisant crétin
Lobbys divers, milliardaires, des idiots sereins !
D'un colonialisme l'autre, de l'Ukraine
La Russie, comme en Syrie, torturant, liquidant, toute opposition
Ou en substitution, une réaction présentable en fausse révolution
Voulant tout annexer en son terrain
Partout, de la guerre, du poison en tout genre
Eau du robinet contaminée, le capitalisme fait fort
Toutes les saloperies sont dans nos corps
Aucune espèce panchronique n'y est en tort
Notre extinction déjà bien programmée
Personne de sensé ne pourra le regretter
Septième extinction massive des espèces
Car, il y a environ 2,5 milliards d'années
Des tas de bactéries qui furent éliminées
Il n'existe aucune vraie linéarité
80 pour cent des dinosaures
2 à 2,50 mètres, n'ont jamais dépassé
Pis, il y a 370 millions d'années
Salamandre tétrapode de deux mètres de long
Concentrât gradation fausse fossilisation
Et tout étant comme une chimie de continuation
France
Deux accidents mortels par jour
Cent blessés graves par jour
Le monde du travail et sa morbide réalité
1946, dix millions de paysannes et paysans
2025, quatre cent mille paysannes et paysans
Polluants éternels partout
Tout devenu asile de folles et de fous
Cent pour cent de la population française
PFAS, dans son sang, et y prenant ses aises
Et dans le monde, idem, n'en déplaise !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Aréopage laboritien, passage des mains
Voici un texte à plusieurs gammes
Expérimental et sans aucun drame
De tout un récapitulatif conceptuel, mon brame
Du laboritien qui toute erreur, la crame
De " La main enchantée " 1832, de feu ( 1808 - 1855 )
Ô grand poète, Gérard de Nerval
Mais là, à l'envers, avec feu d'artifice et grand bal
Nous nous passons nos mains
Pour de toute idée reçue, être le frein
Et voilà, ma petite contribution d'anniversaire
De mon ridicule mien
Dans cet aréopage écrit avec tant de mains
Nous qui avons, de dire ce qui est, tant d'adversaires !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Bonjour Patrice,
Oui, hélas, une grande flaque nous sépare, sinon c'est sûr que je vous aurais écrit avec plaisir une belle dédicace dans le livre, à vous un collaborateur de longue date d'Éloge de la suite !
Et merci pour de si bons mots qui justifient à eux seuls ces quatre années de labeur... ;-)
Je me souviens effectivement que Laborit ne trippait pas, comme on dit ici, sur le terme de vulgarisation. Mais au Québec, c'est pas mal employé, bien que je n'aie aucun problème à parler de grande diffusion non plus, dans la mesure que c'est justement de que j'espère le plus, et dès le plus jeune âge, comme vous l'évoquez si bien...!
Bien cordialement,
Bruno
-----Message d'origine-----
De : Patrice Faubert <thx11382@gmx.fr>
Envoyé : 25 avril 2025 04:19
À : Bruno Dubuc <brunod@rezo.koumbit.org>
Objet : Re: Célébrer l’œuvre d’Henri Laborit 30 ans après son décès : événement France / Québec !
Bonjour. Merci pour votre courriel informatif. J'arrive à la fin de L'EXCELLENT et fabuleux livre ( Notre cerveau à tous les niveaux. Du Big Bang à la conscience sociale. ) Si j'avais habité à Montréal, vous auriez pu me le livrer à domicile en vélocipède et me le dédicacer ... Mais je suis en France et donc, hélas, tant pis ! Bravo à vous et à vos deux associés. Je vous serre la main , même de loin, à tous les trois !! Ouvrage INDISPENSABLE pour tout le monde et qui devrait être diffusé dans toutes les écoles, les lycées et universités de tous les pays !! Cependant que personnellement je préfère le terme de grande diffusion à celui ( comme d' ailleurs feu Henri Laborit) de vulgarisation... Encore bravo à vous ! Salutations libertaires. Patrice Faubert
> Envoyé: jeudi 24 avril 2025 À 21:33
> De: "Bruno Dubuc" <brunod@rezo.koumbit.org>
> À: brunod@rezo.koumbit.org
> Objet: Célébrer l’œuvre d’Henri Laborit 30 ans après son décès : événement France / Québec !
>
> Bonjour !
>
> Je me permets de vous envoyer ce message parce que nous avons déjà
> échangé par le passé à propos de mon site web « Éloge de la suite
> <http://www.elogedelasuite.net/?p=4215> » sur la vie et l’œuvre
> d’Henri Laborit.
>
> J’aimerais simplement porter à votre attention le dernier billet que
> je viens d’y publier et qui a pour titre : Célébrer l’œuvre d’Henri
> Laborit 30 ans après son décès : événement France / Québec !
>
> Vous pouvez le lire au complet au
> http://www.elogedelasuite.net/?p=4530 mais je vous retranscrit ici la première partie :
>
> Le 18 mai 1995, Henri Laborit nous quittait à l’âge de 80 ans. Trente
> ans plus tard, jour pour jour, un événement d’une journée complète
> sera consacré à la vie et la pensée d’Henri Laborit ! Les activités
> auront lieu dimanche le 18 mai dans le petit village de Lurs, en Haute
> Provence <https://fr.wikipedia.org/wiki/Lurs> , où les Laborit avaient leur maison.
> L’événement revêt même un caractère international puisque deux jours
> avant, le vendredi 16 mai, on soulignera aussi le 30e de son décès au Québec !
> C’est donc avec un grand bonheur que j’annonce cette initiative du
> médecin français Thomas Levaillant, en diffusant sur Éloge de la suite
> la programmation de ce double événement. D’autant plus qu’il permet
> entre autres la rediffusion, dans les deux pays, de mon film « Sur les
> traces d’Henri Laborit <http://www.elogedelasuite.net/?page_id=66> »
> (2016). Et offre une fenêtre de visibilité non négligeable à mon livre
> « Notre cerveau à tous les niveaux. Du Big Bang à la conscience
> sociale <https://livre.blog-lecerveau.org/> » (Écosociété, 2024) où
> l’influence de Laborit se fait sentir un peu partout dans le bouquin.
>
> Voici donc un aperçu sommaire de la journée du 18 mai 2025 à Lurs,
> dans le sud de la France, tel que Thomas me l’a communiqué il y a quelques jours :
>
> « – Le matin : balade littéraire autour de l’œuvre de Laborit. J’ai
> proposé de faire des lectures de quelques extraits de ses livres, pour
> illustrer les grands thèmes qui traversent son œuvre (organisation et
> niveau de structure, biologie et comportements, déterminisme, libre
> arbitre, créativité et imagination, domination et agressivité…), mais
> cette partie n’est pas encore tout à faire réglée. Il y aura ensuite un pique-nique partagé.
>
> – L’après-midi : projection du documentaire « Sur les traces d’Henri
> Laborit » (2016), de Bruno Dubuc. Thomas Levaillant fera une petite
> introduction sur la vie et l’œuvre de Laborit, puis il y aura la
> projection, et par la suite un échange et quelques témoignages des personnes du village qui l’ont connu.
> On essaie aussi de récupérer quelques-unes de ses peintures
> <http://www.elogedelasuite.net/?p=4106> pour les exposer dans la
> salle le jour de la projection.
>
> – Le soir : projection de du long métrage d’Alain Resnais « Mon oncle
> d’Amérique <http://www.elogedelasuite.net/?page_id=393> » (1980)
> inspiré des travaux de Laborit, suivi d’une discussion pour les plus
> motivés qui resteront jusqu’au bout.
>
> L’après-midi et le soir, il y aura aussi le stand d’une librairie qui
> viendra avec quelques livres de Laborit et sur le cerveau, ainsi que
> quelques exemplaires de « Notre cerveau à tous les niveaux. Du Big
> Bang à la conscience sociale » (2024). »
>
> Quant à l’événement du 16 mai 2025 au Québec, il s’agit également de
> la projection de mon film « Sur les traces d’Henri Laborit » qui aura
> lieu à
> 20h30 dans le cadre des Projections Libérantes à la Casa Obscura
> <https://fr.wikipedia.org/wiki/Casa_Obscura> , au 4381 rue Papineau
> (coin
> Marianne) à Montréal. Je serai là pour présenter le film et discuter
> avec vous après la projection. J’apporterai aussi les 13 panneaux sur
> la vie et l’œuvre de Laborit <http://www.elogedelasuite.net/?p=2734>
> que j’avais reproduit pour la première de mon film le 13 février 2016
> à Montréal <http://www.elogedelasuite.net/?p=2673> . (la suite au
> <http://www.elogedelasuite.net/?p=4530>
> http://www.elogedelasuite.net/?p=4530 )
>
> En espérant vous croiser le 16 mai si vous habitez au Québec comme
> moi, et en vous enviant si vous habitez en Europe,
>
> Bruno Dubuc
>
> p.s. : D’autres infos sur mon livre, qui se présente sous la forme
> d’un dialogue entre un vulgarisateur scientifique et un cinéaste
> militant, se trouvent dans les liens plus bas. Mais en gros, disons
> qu’il s’agit à la fois un ouvrage de référence sur le cerveau, le
> récit de notre compréhension de la pensée humaine, et une réflexion
> politique où l’enjeu qui se dessine n’est rien d’autre que l’avenir de notre espèce...
>
> <https://livre.blog-lecerveau.org/a-venir-bientot-sur-le-site-web-deco
> societ
> e/> Les médias en parlent
>
> <https://www.blog-lecerveau.org/blog/2024/09/03/un-4e-de-couverture-qu
> i-pres ente-plusieurs-facettes-de-dun-livre-atypique/> Une « 4e de
> couverture » qui présente plusieurs facettes d’un livre atypique (3
> septembre 2024) [avec les biographies des deux auteurs]
>
> <https://revue.leslibraires.ca/entrevues/essai-quebecois/bruno-dubuc-q
> uand-l a-science-se-fait-secouer-par-le-militantisme/> Quand la
> science se fait secouer par le militantisme (entrevue dans le magazine
> Les Libraires, septembre 2024)
>
> <https://www.blog-lecerveau.org/blog/2024/12/16/entrevue-a-propos-du-l
> ivre-n otre-cerveau-a-tous-les-niveaux-sur-podcast-science/> Entrevue
> audio à propos du livre « Notre cerveau à tous les niveaux » sur
> Podcast Science !
> (16 décembre 2024)
>
> <https://www.acfas.ca/publications/magazine/2025/02/vulgarisation-cerv
> eau-pe
> nsee-conscience-sociale> « Pourquoi j’ai écrit ce livre » – Entretien
> nsee-conscience-sociale> avec
> Johanne Lebel dans le magazine de l’Acfas (12 février 2025)
>
> Pour se procurer le livre :
>
> <https://livre.blog-lecerveau.org/achat-direct-de-lauteur/> Achat
> direct à l’auteur à Montréal (avec bonus pour lui et vous)
>
> Dans les librairies québécoises
>
> Dans les librairies européennes
> <https://www.placedeslibraires.fr/livre/9782898570230>
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Paraphysique propagande d'agnotologie girouettiste
Tout ce qui ne détruit
Voilà, pourquoi, c'est peut-être cuit
Le capital et irrémédiablement
Ne peut que le renforcer, et conséquemment
De par tous les faux ennemis du capital
Gauche, extrême gauche
Droite, extrême droite
Avec son extrême centre, girouettisme
Sont pour le capital, son moindre mal
L'anarchie ne peut s'y mélanger
L'anarchie ne peut que les rejeter
Ce ne sont pas des amitiés
Mais ce sont bien des inimitiés
En France
Il y a peu de groupes vraiment révolutionnaires
La CNT/AIT
Confédération nationale du travail ( 1910 )
Association internationale des travailleurs ( 1864 )
La FA, Fédération Anarchiste ( 1945 puis 1953 )
OCL, Organisation communiste libertaire ( 1976 )
Et où, de cette heure
Tout le reste étant pour le système
Car, le réformisme, le capital, il l'aime !
Et puis, il y a de faux libertaires
Gauchistes faussaires
Avec des tas du faux repère
La contre-révolution sait toujours y faire
Des syndicats de la maison du capital
D'indéfectibles alliés du capital, c'est fatal
C'est lui qui les nourrit, normal
Comme le chemin de fer
Qui sut unifier tous les horaires
La plupart des syndicats et des organisations
Ont pu réunir le capital en contre-révolution
Tout ceci bien divisé en classes sociales
De la fragmentation et de la séparation
Ce qui fit et fait fusion pour le capital
Corps, esprits, rythmes, tout son colonial
Alors, il faut le ressasser
Depuis 300.000 ans, notre espèce implantée
Avec 294.000 ans de paix, sans agressivité
Donc, une certaine concorde
De la plus grande partie qui s'accorde
6000 ans en guerre, pour 294.000 de paix, cherchez l'erreur
La notion de propriété en fit la terreur
Certes, il n'y eut pas autant de l'espèce femme/homme
Qu'encore nos cinquante milliards d'oiseaux
Et avec encore onze mille espèces malgré nos ciseaux
Une belle résistance en somme !
Et aussi les 35.000 espèces de poissons
Malgré le raclage des grands fonds
Chalutage marin sans aucune compassion
Pas étonnant, car, tout ce qui gouverne
Ethnocratie et ethnocides divers en caverne
Des oligarchies ploutocratiques qui nous cernent
Avec des ramifications de complicité
De la fausse contestation bien rémunérée
Syndicats, partis, organisations, au tout stipendié
Tout y est peu emblématique dans le dévoyé
Le capital a le besoin des guerres
Se ressourçant sans cesse des ruines
Policiers, militaires, services spéciaux ou secrets, les mines
De tout ce qui est dans l'élimine
De toute une agnotologie délétère
Toute une corruption faussement comme nécessaire
De toutes les petites mains, travail DATA
Des logiciels de l'exploitation
Tout un esclavagisme encore bien scotomisé
Qui en plus, doit et fait de la modération
Femmes dans des prisons finlandaises
Sous-payées comme le métier, du mal à l'aise
De l'analyse de données toxiques
Avec de grands traumatismes psychiques
Parfois, deux euros par jour pour dix heures de travail
Et comme sous serment, du secret étatique !
Tout cela pouvant se métaphoriser
Par nos 73 pour cent de boues recrachées
Par nos 22.800 stations de l'épuration
Là, c'est en France, et 600.000 tonnes
Répandues en guise d'engrais sur les terres
Du gratuit qui pue l'enfer
Rien ne valant les excréments humains
Pour qu'une terre puisse se sentir bien
Questure de convives qui tournicotent
Ainsi quand c'est sans boycott
Huit-cents bases militaires américaines à l'étranger
Un pays d'origine esclavagiste et qui sut partout
Donc, exporter ses diverses armes et armées
Inclusion, délibératif sans occlusion
De tout un capharnaüm en scansion
Psychose de masse induite et sublimée
Raout des émoluments flagorneurs
Du faux atrabilaire concomitamment
Le capital maître faussaire de tous les instants
2001, Michelin, du boursier des licenciements
L'esclavage salarié et accepté, censément
Tout fait mémoire, mais de l'effacement
1975, la glace aussi, mais n'oublie, elle, rien
Mais l'adaptation à l'horreur n'a plus aucun frein
Nous devrions dormir dix heures comme feu Einstein
Pour peut-être, à la sagesse, boire de sa fontaine !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Zombification blabla sans datura sabbat
Faut sauver sa peau ?
Mais pour ce qu'elle vaut !
Tout est à vau-l'eau
Moi, qui des autres, suis le nigaud
Dans un monde rempli de fachottes et de fachos
Cependant
Que les gens qui reçoivent des proches
Sans au préalable, sinon, c'est moche
Fermer la télévision ou la radio
Ou autre, pour les oreilles, bobo
N'ont aucun respect pour leurs hôtes
Car, c'est vous/toi, que je vais voir
Et pas votre/ton téléviseur ou autre avoir
Sinon, comment vraiment communiquer ?
Ceci en dit long
De l'égocentrisme inconscient qui est souvent con
Sur une société
Ou personne ne sait plus écouter
Personne, même du côté professionnalisé
Et la société encourage cette indisponibilité
La solitude devenant encore préférable
De ce fac-similé si bien généralisé
Il en est ainsi dans des bars ou des cafés
Dans aussi beaucoup de restaurants
Pour les pauvres, surtout, évidemment !
Tout est devenu
Et plus que jamais du faux-cul
Comme dans tout ce qui peut se mesurer
Il y a, fort heureusement, des degrés
Tout le monde y est épinglé
Cela devient coton
De la société au tout con
Et le coton peut servir aussi
Pour la composition d'explosifs, c'est ainsi
Puissants, des missiles et moteurs des fusées
Pas seulement pour le textile
Du détournement guerrier toujours subtil
Au tout galapiat
Au tout pugilat
De toute une zombification sans datura
Ni bave de vipère ou tétrodotoxine sabbat
Nul besoin de se rendre en Haïti
Poisson fugu globe, jusquiame, drogues et poisons
La poudre de zombie c'est la désinformation
Un même effet psychique de conditionnement
D'étranges bibittes de toutes les mythologies
Et au fond tout est le castelet
Milliardaires marionnettistes toujours en radio-crochet !
Et contre tous leurs délétères effets
Il faudrait dix légions à la romaine
Chaque légion se composant de six mille péquins
Donc, là, pas militaires, mais en voulant la fin
Du rien à perdre, au jour, à la semaine
L'on peut toujours imaginer ce qu'il en adviendrait
Quoique, les ouvriers et les ouvrières, sont maintenant, fascistes
Pas tous et toutes mais beaucoup sont de cette piste
Du stalinisme au fascisme, avec un brin de libéralisme
Nonobstant, chaque être humain
Cent milliards de milliards de milliards
De particules élémentaires, sans charre
De l'émotionnel dans du computationnel
Uxoricide de notre femme la Terre
Absolument tout y est compétition
L'occasion, pourtant, n'y faisant larronne ou larron
Ainsi des trains pour les riches
Ou pour les pauvres, du pain et de sa miche
La SNCF y en fait l'éclipse
Premier juillet 2013 en éclisse
Maintenance des voies déplorables
Et selon les intérêts du rien comparable
Certes, tout est voué au cimetière
Le bon endroit, on le dit en yiddish
Car c'est bien là, qu'attend tout finish
Comme quarante pour cent du personnel autrichien
Dans les camps d'extermination juive, c'est pas rien
Mais tout fut petit à petit et par les alliés
Au tout presque dédouané, et trop vite oublié !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Racailles fascistes et réactionnaires
Sous la Terre, tout travaille
Séismes partout, quatre par semaine
Dans l'Ouest de la France, et partout, qui nous raille
En fait, selon des degrés, régions, pays, fureur pas sereine
Comme un jour sans fin
Du destin de chaque être humain
Tout se répète
Tout se béguète
Tout nous végète
Rien ne nous banquette
Et de nos vies, nos véritables défaites !
Surtout
Pour les classes sociales en précarité
Et leurs enfants, dès la naissance, défavorisés
Car pour les classes sociales riches ou aisées
Le cerveau dès le berceau, plus stimulé
Et tout apprentissage y sera de plus grande facilité
Ainsi, les fortunes peuvent se perpétuer
De grandes familles comme en France
Ou d'ailleurs, du pur immondice
Il y est très élevé l'indice
Faudrait toutes les éliminer, sans faveur
Enfin, remettre les pendules à l'heure
Pour exproprier les expropriateurs
Se débarrasser des profiteuses et des profiteurs
Toujours là
Pour présidenter, monumenter
Potentater, iguanodonter
Mais, comme d'autres l'ont dit
En juillet 1936, Espagne libertaire, tout a été fait et dit
C'est là que tout a pu se jouer
C'est là que le présent d'aujourd'hui a été organisé
Quand les anarchistes espagnols
N'eurent que de faux amis, mais vrais guignols
Et maintenant, le peuple est devenu fasciste !
Le faux l'ayant emporté presque partout
Avec se le disputant, vraies folles et vrais fous
Pas seulement Poutine et Trump, mais tout pouvoir
Et l'anarchie n'est pas pour toute fausse démocratie, à savoir
Il faudrait des milices révolutionnaires
Non militaires, et sur une fréquence libertaire
Le peuple en armes ?
Mais il n'y a plus de peuple !
Car, toutes les racailles fascistes et réactionnaires
C'est évident, ne se laisseraient pas faire !
Alors, que faire ?
Car, élections, du piège à connes et à cons
Et donc tous les gouvernements du monde
Qui eux, n'ont pas que des frondes
Dommage
Car, sinon, quel carnage
Pas de procès
Une balle, une rafale, se payant de tous leurs méfaits
Mais ne cherchez pas
C'est de l'humour noir, au cas par cas
Car vous savez plus de choses que moi
De ne rien savoir, je suis le roi
Cela dit
Peut-être un peu de facétie
Mais vraiment, sans aucune forfanterie
Alors que nous sommes là, depuis environ 300.000 ans
Pour notre propre espèce particulière
Avec 294.000 ans sans guerre
La guerre, c'est seulement depuis environ 8000 ans
Avant notre ère, sédentarisation, fixation au sol, et en contingent
Apparition, surtout, de la notion de propriété, ce tout expliquant !
Depuis, aucun acte de contrition
Massacres divers, conflits, guerres, génocides, en continuation
Avec aussi, des antibiotiques, l'apparition
Santé humaine, élevage, alimentation
Et des accélérateurs de croissance
Autres dérivés, et devenant inactifs, trop d'abondance
Pas comme l'endémisme du virilisme
Qui déteint sur tout, même en faux féminisme
De plus, il n'est ni homme et ni femme, le genre humain
C'est simplement l'être humain et sa diversité, universaliste
Et si il y a bien la lutte des classes
Tant que les sociétés seront divisées en classes
Il ne peut y avoir de lutte des races
Car, il n'existe pas la moindre race
Mais, faut-il le rabâcher ?
Il n'existe que le genre humain, l'espèce humaine est unifiée !
Hélas, la technologie peut tout modifier
1948, invention du transistor, laissant présager
Et sans regimber, déjà, possible fin de l'humanité
Car en ce domaine, tout ne pouvant que s'accélérer
Du trust holding Rockefeller baron voleur
Du Singer, première multinationale du 19ème siècle
Déjà, sentant, de l'Irlande et du Luxembourg
Pour à la fiscalité, en détour
Ainsi
Pas de quoi s'étonner
De tout impérialisme étatisé fait pour nous névroser
Quand tout est fait pour nous maladiser
90 pour cent des gens de France, du médecin
Ressortant avec une ordonnance
76 pour cent en Allemagne, toute une connivence !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Appel aux femmes du monde entier
Pour que les guerres puissent cesser
Femmes, faîtes la grève du sexe
Et vous devez refuser de sexer
Pour de la chair à canon
Pour de la chair à profit
Que le virilisme machiste, s'en vexe
Et tant qu'une guerre continuera de se dérouler
Ici ou là, quelque part, pression forte, peu usitée
Voilà qui, peut-être, ferait réfléchir les salopards
Surtout, sus sans suce, aux tyrans et aux politicards
Seule solution de vraie efficacité
Retour à la case départ
Retour à Lysistrata du y'en a marre
Retour à feu ( vers 445 - 385/375 ) avant notre ère
Aristophane, en finir avec toute guerre
Et honte à celles qui voudraient s'y soustraire !
Certes
Le monde est aux mains de quelques milliardaires propriétaires
Et qui ne se laisseront pas faire
Cependant
Aussi, d'une méthode l'autre
Il faudra bien s'en défaire
Rien qu'en boycottant tout ce qu'ils savent faire
Même pas le besoin de troupes révolutionnaires
Dans l'organisation libertaire et non militaire
La production du divertissement infantile
La production de vêtements ou d'objets inutiles
Le capital expert dans tout un futile
Dans son manifeste comme dans son subtil !
Et depuis 300.000 ans
Car nous sommes de ce moment
Ce fut la paix pendant 294.000 ans
Mais il y a environ, 6000 ans
Et ce avant notre ère, donc en tout, 8000 ans
Fixation au sol, premiers villages
Notion de propriété, et la guerre au décollage
Et en formation
Inégalités, injustices, patriarcat
Finalement, assez récent, voilà
Et avec hommes et femmes qui se droguent
Et l'état du monde qui se renforce
Et faux artistes spectaculaires qui en sont sa force
D'où la boutade de feu les voyous politisés
Salut l'artiste et tant pis si je me suis trompé
Tout sachant bien nous piéger
Et du bouc émissaire souvent de précarité
Les bourgeoisies, contre lui, pour se réconcilier
Donc, comme une saleté
Métaux rares pour nos smartphones
Pour ne rien dire, comme aphones
Du coltan
En matérialité de l'esclavage de milliers d'enfants
Mais comme c'est au Congo
Et tout étant comme cela, rien de rigolo !
Perverse narcissique est notre société
Sa veste Dutronc toujours du bon côté
Elle sait bien se protéiner
Comme pour un kilogramme de boeuf
Il y faut huit kilogrammes de végétaux
Et deux kilogrammes de déchets organiques
Pour un kilogramme de protéines d'insectes
La rudologie, cette étude des déchets
Du hoquet comme indispensable hochet
D'une société, comprendre les agents et les faits
Des chiffonniers aux poubelles
Quand tout puait la contagion et même les belles
Médecine environnementale diminuant les décès
Mais le meilleur engrais
C'est l'urine, l'excrément, de toute personne humaine
Et jadis, contre des denrées, le paysan échangeait
Comme aussi le chiffonnage devenant du papier
Tout aurait pu être différent pour l'insalubrité
Mais le poubellocène avec de l'incinéré
1893, Javel, à Paris
Puis plus tard à Ivry
A fil du temps, réduire le volume
Métabolisme urbain comme enclume
Aucune échappatoire dans cette lie
Quand dans nos têtes, tout mort, plus de vie
Et en France, 2020/2022, espérance de vie
Plutôt de survie ou de sous-vie
Un cadre de 39 ans, c'est 5,3 ans de plus, et oui
Au minimum, que celle de la condition ouvrière, tout est dit !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
12000 à 15000 PFAS, SA, SS, tous les gouvernements
Les scientifiques virologues chinois
Ont travaillé, sur des armes bactériologiques
NBC, du nucléaire, du biologique, du chimique
Parfois, des accidents dans les laboratoires
Un virus, dans un bistrot, voudrait aller boire
Avec des pandémies devenant péremptoires
Et pas seulement en Chine
Mais ce danger fait si peur
Qu'on le tait, qu'on l'élimine
Quand d'un cadeau de feu ( 1932 - 2019 ) Chirac
La Chine en fit un horrible Fric-Frac
Rendre une virulence sans aucun trac
L'augmentant tellement, effet de gain, tout s'y détraque
Et puis
Toutes les mailles du capital
Sont toutes plus ou moins maltraitantes
Comme ORPEA, cette mafia de la vieillesse
Une balle, une rafale, pour cette fausse liesse
Toujours le même quorum
Pour tout ou presque, le même forum
12000 à 15000 PFAS, SA, SS, de tous les gouvernements
Et sachant bien se protéger mutuellement
Vraies fausses peines, jamais, exécutées vraiment
D'un monde politique gangster et très solidairement
Extrême gauche, gauche, droite, extrême droite
Avec les mêmes intérêts s'y confondant
Les chiens de Pétain sont en place, au capital, jamais, n'aboyant
De l'interopérabilité mamamouchi
Tout ce qui nous gouverne et nous conchie
Et là, jamais vraiment de sérendipité
Quand c'est juste le moindre profit qui est recherché
Alors qu'un corps humain
35.000 à 40.000 milliards de cellules, pas rien !
De plus, il naît, de quoi halluciner
Quand plus rien ne saurait nous étonner
Environ 50 à 70 millions de nouvelles cellules
Chaque jour dans un corps humain
En fait, le cerveau-corps-environnement
Comme le dirait Bruno Dubuc, un neurobiologiste, un savant
Ou environnement-cerveau-corps
Ou corps-environnement-cerveau
Une trilogie du fondement
Mais tout est devenu du vilain
Ainsi en 2020
Vingt milliardaires aussi riches
Que la moitié de l'humanité
Et tout ne va faire que s'accentuer
Toutes les fractions du capital en complicité
Et en 2025 ? 2035 ? 2045 ?
De toute une flopée du mal-baisé
Du mal-baisant, mal-baisante ou mal-baisée
Dans ce cas, autant ne pas le faire
Que mal le faire comme du va-t-en-guerre
Saillance origine de toute déferlante
Et si notre espèce a environ 300.000 ans
Ainsi donc, pendant 292.000 ans
Voire même pendant 294.000 ans
Et avant notre ère, s'entend
Ce fut la paix, l'entraide permanente, même avant
Sur notre si vieille Terre
N'en déplaise à l'internationale fasciste et réactionnaire
Comme aux USA, SA, SS
Au moins, depuis sa fondation, 400 guerres
Et sa place, chaque pays, voulant se la faire
Plus de vrai peuple, pour tout, refuser
Et d'innombrables complicités pour l'ambiancer !
En fait, cela a été souvent dit
Par feu ( 1903 - 1950 ) George Orwell, l'un des premiers
C'est en juillet 1936 en Espagne que tout a été joué
Et le futur sort du monde en fut scellé
Entre le fascisme et l'anarchie
Le monde politique et ce en très grande partie
Et avec aucune hésitation, le fascisme fut choisi
Maintenant, habile, il se vêt en démocratie
Comme tous les divers fascismes du prêt-à-porter
Avec son girouettisme de l'extrême centre
Extrême centre sachant bien se fasciser
S'y posant en porte d'entrée
Des faux compromis pour des clans mafieux, la survie
Moi, du vrai mort
Moi, du faux vivant
Moi, du faux mort
Moi, du vrai vivant
Quand encore sous la terre
Dix pour cent de bombes
De la guerre 1939/1945
25 pour cent de milliards de bidules en trombe
Tirés en 1914/1918, comme de futures bombes
Et aussi dans les mers et autres
Nous côtoyons le jamais ostracisé qui s'y vautre
Avec toute une VERMINE politique de tous les bords
Elle est de tous les pays, du vrai gore
Plus que jamais, REPUGNANTE, et qui jamais ne dort
L'énaction active de toute une minorité oligarchique
L'horloge du monde de toute sa tare frénétique
Hélas, presque tout le monde veut dominer
De par toute une pauvreté aspirant à ce tout synaptique !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Paraphysique de pyorrhée sommitale
Le numérique ou IA
Directement, indirectement, sans holà
Qui double, triple, quadruple, voilà
Pire que tout, ça
La bouffe pollue
Le tourisme pollue
Toute industrie pollue
Le travail pollue
Absolument tout ou presque, pollue
Une équation facile, c'est foutu
Foutu, foutu, foutu, foutu
Et bon débarras, basta, et voilà
Le fait de vivre, survivre, sous-vivre, pollue !
Il faudrait tout boycotter ( 1880 )
Terme inhérent à Charles Boycott ( 1832 - 1897 )
Qui aurait été charognard aux coyotes
Tout ce que produit le capitalisme
Et donc
Du fascisme
Du populisme
Du stalinisme
Du gauchisme
Du libéralisme
Hélas
Tout mot s'habille avec son costume
Sachant bien s'y déguiser, c'est la coutume
Ce qui fait en occurence
Tout différent de soi, vengeance
De tout un astroturfing fascisant
En joue, feu, sur tout ce dément
De la prédation et de divers prétendants
Il y a 130 millions d'années
Un superprédateur à l'échelle 7 sur 7
L'orque c'est 5,6 sur 7
L'être humain, c'est 2,2 sur 7
Quoi que l'on fasse
De plus en plus, la soupe à la grimace
Tant de gens à qui je voudrais casser la gueule
Toute pourriture fasciste, je la dégueule !
Avec des journaux toujours aux ordres
Banco, super banco, veillant au désordre
1836, déjà, La Presse, quotidien français
Et qui trois fois par jour, renaissait
D'Emile de Girardin que concurrençait
Le Siècle, quotidien fondé en 1836
Et en vente, que son confrère, le dépassait
Des France-Soir de l'époque
Et valets journalistes souvent de la défroque
Beaucoup de toc en stock
Comme faire sa machine à laver
Trois millions de microparticules
Dans les océans, tout devenant ridicule
Aucune pause dans l'apoptose
Vraiment, le capital ne sent pas la rose
Comme si y était sans cause
Ainsi, la culture, tout, l'ose
Les insectes les plus nombreux sur Terre
Pourtant, n'y a, n'y veut des repères
Hors de tout vernaculaire
Et un entomologiste
Pour cent ornithologues en piste
Difficile d'être magnanime
Quand, en toutes choses, la bêtise, prime
Quand de fait, tout est de la déprime !
La guerre civile sociale est menaçante
Dans une ambiance glaçante et désespérante
Dans tous les pays, précaire équilibre
Il faudra, sortir, bientôt, avec le calibre
Sortir avec sa ceinture de Kuiper
Avec des précurseurs de planètes
Orbites empilées, orbites elliptiques, chouette
Ce qui n'a pu
Ce qui aurait pu
Devenir des planètes
Du très drastique
Du tout élastique
Milliers ou millions
Et fissa dans les probabilités
Maintenant de l'espionnite satellitaire
De l'orbite basse, cinq-cents kilomètres
Et quand au géostationnaire
Là, c'est du trente-six mille kilomètres
Sommital de l'artefact si précaire
Tout façonné par la main
Donc, le cerveau du genre humain
Ainsi
Dix pour cent de l'Amazonie
Aussi modelée par des amérindiens et oui
Brésil, Chili, tout est dit !
Le monde est devenu une grosse merde
Plus possible d'y tirer la chasse, pour Phèdre
Ainsi, des vêtements non-recyclables
Pourtant et c'est assez lamentable
Il y a deux milliards de vêtements
Dans les magasins en France, c'est consternant
Sans compter cent milliards
De vêtements dans le monde
Et il y a tous les invendus
Transformés en serpillères
Plus que souvent donnés à des associations caritatives
Ou se retrouvant en poubelles géantes
Dans des pays d'Afrique, hideur rageante
Il y a de quoi, franchement
Mort aux gens, mort au monde
Tous cons, toutes connes, baignant dans l'immonde
Tout faisant partie de tout
Et tout réciproquement, c'est fou
Ellis Island vit passer aux USA
USA, SS, SA, Trump que voilà
Vingt millions de migrantes et de migrants
Et qui font partie et qui ont fait des petits
De l'Amérique impérialiste d'aujourd'hui
De toute une progéniture polluée et déjà tarie !
Charabia collisionneur oxymoron
Usine pétrochimique, Minamata
1950 et avant, après, au tout intoxique
Avec le mercure, tout fut fichu, voilà
Maladies induites
Pas qu'au Japon, qu'il y a des fuites
Pour le respirer ou pour le manger
De toute une industrie docile
Contre le genre humain, des missiles
De ma poésie techno-industrielle ductile
Car, produire pour produire
Et à n'en plus pouvoir en finir
Rodomontades crapoteuses
Discours logique du capital, fielleux
De toute une morgue avec peu de contre-feux
Tout ce qui touche au capital est hideux
Comme en France, toute une sarabande
Trois-quarts des sols français agricoles, qui scandent
Par des microplastiques sont contaminés
Comme un aède de bien désespéré
Avec de plus en plus
Cause du décès ?
Malbouffe qui nous étouffe
Industrialisée et à moindre coût
Au restaurant, chez soi, même souffle
Formation du goût au dégueulasse
Tout sucré, tout salé, même mélasse
Quinze additifs pour un seul faux cordon bleu
Dioxyde de titane, nanoparticules de plastique
Viande agglomérée et remplie d'eau
Tout y étant en porte-à-faux !
Donc, faut-il le répéter ?
Au tout dégueulasse
Au tout schlass
Quand tout est relié et interconnecté
Tout y étant, comme cela, organisé
Enfants et personnes âgées, du maltraité
De toute une déshumanisation généralisée
Quand directement
Quand indirectement
Nos sangs y circulant
Tous et toutes, plus ou moins, y participant
Certes, et heureusement
Des résistantes et des résistants
Contre ce monde effarant
Mais cela n'est pas suffisant
En tous domaines et un peu partout
Mais pour folles et fous, encore, passant
Que du progrès technologique
Mais peu au niveau psychologique
Et en théorique symbolique
Pour du calcul hypercomplexe, l'ordinateur quantique
Trois minutes et vingt secondes
Pendant que l'ordinateur classique
Dix mille ans
Secrets des codes inviolables en quantique
Friture sur la ligne du vidé de soi-même
Et souvent, je me suis vidé de moi-même
De mes ignorances qui me font tant de peine !
Et avec tous les films
Et avec tous les documentaires
Sur les nombreuses chaînes de télévision
Ou de la radio, toute une vie entière
H24, tout son temps cela pourrait bouffer
L'on y perdrait l'usage de la parole et des jambes
Avec surtout le temps pour ne pas tout regarder
Ou de tout écouter
Comme si tout s'y était solidifié
Riz gluant, liant mortier
Muraille de Chine informationnelle
De messager en messager
Trois heures pour mille kilomètres
De la poste et sa lettre ancêtre
Maintenant, en France, un chauffeur routier
Sur cinq, conduit une camionnette en surcharge
Transports divers, colis, avec ou sans marge
Et c'est en 2025, tout ou presque, sur route
Pour le fluvial, le ferroviaire, la déroute
Et donc
La marchandise et son tapon
Mais en 2025, toujours le même taxon
87 pour cent pour les camions
11 pour cent pour le ferroviaire
2 pour cent pour le fluvial
Un train, pourtant, valant quarante camions
Certes, de plus ou moindre grande cherté
Du tout moins empiré
Le capital y sera obligé
Tout au vrac
Mieux faire que l'emballage
Que le plastique et son enfumage
Du papier, quoique au tout patraque
Du capital et de ses nouveaux macs, sans trac !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien
Momification de l'involution
Certes
La soumission chimique est abjecte
Mais la loi patriarcale n'est pas son objecte
Des viols avec médicaments
Ainsi, d'abolir tout consentement
Cinq pour cent, GHB, seulement
95 pour cent, somnifères, anxiolytiques, divers, par des déments
Deux fois sur trois
De la pharmacie familiale et sans émoi
Mais il y a tant de diverses soumissions
La soumission idéologique
La soumission religieuse
La soumission économique
La soumission politique
Certes
Chaque soumission avec son spécifique
Toute soumission imposée de l'extérieur
Et semant la terreur dans son intérieur
Du viol des consciences
Du viol des sexes
Avec des traces, c'est entendu, avec trajectoires différentes
Et sans compter tout ce qui s'y tait
Et sans compter tout ce qui s'y fait
Hier, aujourd'hui, demain, pratiques différentes
Moi, l'intempestif, l'inactuel, mais toujours en tangente
Tout se reproduisant, hélas, d'une façon récurrente
Il en va ainsi aussi des guerres
Celle de trente ans, 1618 - 1648, déjà très meurtrière
Trois à cinq millions de décès, avec ou sans colère !
Et toujours, tout se recommence
Dans la bêtise, aucune sobriété ni tempérance
Pourtant, il faudra bien changer de danse
Changer de base, changer de transe
Sinon
L'inhumanisme emplira totalement la balance
Et fin de l'humanité comme une évidence
Et si la timidité
De faire des choses, peut empêcher
D'en cueillir les roses, même l'oublier
Ce qui a été parfois ou souvent mon cas
Pas très bon pour les nanas
Cela vaut toujours mieux que la témérité
Qui permet, tout forfait, de le perpétrer
J'étais
Solitaire n'aimant pas la solitude
Ermite se noyant dans la multitude
Finalement
Aucune raréfaction
De toutes les momifications
De toutes les contradictions
Des paradoxes de l'involution
Ce qui devrait faire notre stupéfaction
Comme le foie du requin des grandes profondeurs
250 à 300 kilogrammes, lui, n'est pas dormeur
Pour un poids total de 1000 à 1500 kilogrammes
Et ne pouvant être joint par aucun télégramme
Vivant si longtemps que l'on s'en alarme
Que tortues Galapagos, bivalves
Et pauvres baleines qui en bavent !
Plus rien n'est virginal
Plus rien n'est original
Du lit à louer à la chambre à louer
Déjà, 1920, Berlin, pour les ouvriers étrangers
Dans la tête de certains hommes, la virginité
Phallocrates, fascistes, divers, toute une débilité
Avec tout un horrible marché
Hyménoplastie, vaginoplastie, de l'hymen défloré
Des tas de sottises et de grande cherté
Alors qu'une fois sur deux, et encore, rien n'y a saigné
Oui, du coq à l'âne, je sais, c'est comme ma spécialité
Il suffit de s'y habituer
Pour la femme et de son rapport premier
Depuis, 1905, ce fut de grande subversivité
Aucune différence d'anatomie
Entre une femme vierge et une femme prostituée
La sexualité n'est pas impure
C'est l'idée qu'on peut s'en faire, qui est impure
Bref, la virginité ne peut pas se prouver
Et comme si la femme était une saleté
Ainsi de feu ( 1927 - 1963 ) Pauline Dubuisson
Qui tua, par accident, son ex-petit ami
Et qui fut lynchée médiatiquement , image et son
Par le patriarcat, et le matriarcat, aussi
Vaginocrates et phallocrates, un même combat
Elle qui fut vraie féministe, non-sexiste
Toujours calomniée, de vivre, fut empêchée
Cela partit de tous les côtés
Un peu comme moi dans tout mon élucubré
Et donc, au Maroc, dans sa chambre, suicidée
Elle aurait pu devenir une grande doctoresse
Et voulut être enterrée anonymement, tragédie et détresse
Et à quoi servent alors nos environ 86 milliards de neurones
Cortex cérébral environ 16 milliards de neurones
Cervelet humain environ 69 milliards de neurones
Si c'est pour de la sous-vie, ou survie, au tout atone !?
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien